100 scientifiques dénoncent la politique de l’Union européenne en matière de santé publique
29 novembre 2016 18:32, par hélèneOn a tous dans nos entourages maintenant des couples qui rencontrent de grosses difficultés à avoir des enfants, même des gens jeunes qui sont obligés de recourir à l’aide à la procréation parce que la fécondation ne parvient pas à se faire naturellement ou bien parce que les embryons ne tiennent pas aboutissant à des fausses couches répétées.
Sans compter les nombreux cas de malformations et de trisomies 21 passés sous silence par le biais de la pratique de l’amiocentèse qui permet de résoudre le problème avant qu’il ne s’affiche publiquement dans toute son ampleur grâce à l’interruption médicale de grossesse.
A noter que l’amiocentèse est privilégiée sur la recherche par prise de sang (non remboursée) de l’Adn circulant du foetus dans le sang de la mère alors que l’amiocentèse représente un danger pour la survie du foetus comme si les laboratoires avaient besoin de résultats très poussés en la matière ( les médecins freinent des deux pieds pour le choix de la prise de sang et encore quand ils en font état aux intéressés qui souvent ne découvrent son existence que sur internet)pour une raison X qui n’est probablement pas seulement financière.
Il me semble que tout ceci est assez révélateur d’un problème de santé publique mais visiblement dissimulé.
Lorsqu’on en parle avec la génération antérieure, nos parents, nos grand-parents ces difficultés n’étaient pas aussi courantes qu’elles le sont aujourd’hui.
Qu’est-ce qui a changé ? Tout le contenu de l’article qui précède et la catastrophe de Tchernobyl.