Michel Drac sur la question migratoire
14 janvier 2017 10:11, par annaMichel Drach : "La communauté internationale suivra un gouvernement français... qui s’abstiendra de racialiser le problème ... le traitera dans une perspective raisonnable.... dans ces conditions, pourra ... faire preuve... d’une grande fermeté, parce que personne en Europe n’a envie d’avoir une situation incontrôlable sur le territoire le plus nucléarisé de la planète". Il répondait ainsi à quelqu’un qui objectait que la fin de la recréation (alloc coupées, marchés noirs liquidés, sur fond de politique de remigration / assimilation) entraînerait nécessairement des émeutes en France. Personnellement, j’ajoute l’objection suivante : penser que les nations européennes ou certaines d’entre-elles ne verraient pas d’un mauvais oeil la dislocation de la France est un présupposé. Penser qu’elles se positionneront en fonction de considérations humanitaires ou de simple police (ordre/ désordre) est une naiveté à l’échelle de l’Histoire, où rien n’est jamais acquis et tout est périssable, y compris et surtout les plus grandes civilisations (pensez au Moyen Orient qu’ était-il ? Qu’est-il devenu ? après sa conquête plurielle, sa fragmentation, les remplacements et déplacements de populations, et le coup de grâce, l’islamisation de l’ensemble, y compris celles de ses parties les plus vives telles que la Perse et l’Egypte mais aussi la Grèce sous domination ottomane pendant sept siècles qui depuis lors n’est jamais que l’ombre lointaine de son passé civilisationnelement réduit à rien au contact et sous la férules des dominants ). Quant à l’argument nucléaire, je serais tentée de dire que comme les émeutes, ça se gère.
(Cf. Michel Drac dans la discussion sous sa video on Youtube : " Une émeute, ça se gère. La communauté internationale suivra un gouvernement français de salut public qui s’abstiendra de racialiser le problème et le traitera dans une perspective raisonnable. Et dans ces conditions, on pourra d’ailleurs faire preuve sans doute d’une grande fermeté, parce que personne en Europe n’a envie d’avoir une situation incontrôlable sur le territoire le plus nucléarisé de la planète. Bref, à mon humble avis, dans le scénario (tout à fait possible) que vous évoquez, la riposte ne prendrait pas la forme d’une reconquista blanche. Si un tel scénario est avéré, il faudrait en revanche procéder au nécessaire rétablissement de l’ordre républicain, n’est-ce pas ?)