2 remarques :
1. Curieux que celui qui doute, se moque, questionne, met en doute tout cela soit menacé de prison, y compris les très sérieux comme Faurisson, Reynouatd, Ryssen, Roques...
2. Cette ’’souffrance’’ ne peut pas s’empêcher d’être kitsch, ’’too much’’, voire scabreuse, comme lorsqu’on convoque le petit-fils de Rudolf Hoess, exhibé tel une bête de foire, et qu’on lui demande ce qu’il pense de son grand-pere.
Il aurait dû dénoncer les aveux extorqués sous la torture, la fantaisie des chiffres qui passent du simple au double, et le délire complet qui entoure cette affaire...