Luxembourg : un homme poursuivi pour avoir minimisé la Shoah
17 février 2017 17:23, par Le Pen, vite !
« Cheveux rasés (à cause des poux), des tas de chaussures et de vêtements (les prisonniers recevaient des uniformes), des tas de bidons vides de Zyklon B (pour la désinfection), des photos de prisonniers décharnés (qui souffraient du typhus), autant d’éléments qui nous font frémir et suscitent notre compassion, tous ces éléments ne sont pas la preuve d’un holocauste par le recours aux chambres à gaz. »
Si ce passage est incriminé, cela veut dire qu’il est mensonger, donc que la vérité est contraire à ce qu’il dit. Il faut donc logiquement en déduire que, selon le tribunal, le rasage des détenus, le port d’un uniforme, le fait que certains étaient atteints de typhus sont la preuve d’un holocauste par le recours aux chambres à gaz.