« L’échec du « Printemps arabe » en Syrie était prévisible. Il a été prédit, dès ses débuts, par la Russie. D’une part, parce que la démocratie est difficilement compatible avec l’Islam, qui récuse toute autre loi que la Charia pour orienter la vie de ses fidèles. A ce jour aucun modèle démocratique n’a pu imposer une prédominance durable sur la loi islamique, hormis dans le cadre de sociétés au sein desquelles les musulmans sont minoritaires. »