La consommation de porno progresse chez les adolescents
20 mars 2017 12:20, par WhyldmanD’un côté on "s’inquiète" et même on crée des "commissions" et autres groupes d’études machin-bidule-truc... pour y remedier.
Et de l’autre le ministère de la culture de Mme Azoulay modifie les réglementations afin que les films avec pénétrations sexuelles explicites ne soient plus interdits aux mineurs... cherchez l’erreur (ou le foutage de gueule plutôt !!)
On dirait la même mécanique qu’avec le terrorisme, d’un côté tout est fait pour pointer du doigt "le musulman" quel et d’où qu’il soit, et de l’autre on fait carrément venir en masse des "im-migrants" à plus que très forte majorité musulmans de pays où ont fait régner le chaos et donc la rancoeur contre nous...
Avec entre temps, histoire de se donner bonne conscience dans les meilleur des cas voir la aussi se foutre carrément de notre gueule => "#padalgam"
Sinon concrètement, moi qui ai passé mon adolescence juste avant internet, je me rappelle que ça n’empêchait en rien l’accès au porno et encore moins les "dérives hormonales".
Que ce soit par les K7 VHS et autres magazines des parents (ou quelques adultes de l’entourage), et j’en passe.
Par contre j’ai l’impression que là où à mon époque, on avait le sentiment d’accomplir un acte particulièrement transgressif en matant ça en douce entre potes...et finalement pas très souvent non plus.
Aujourd’hui ça n’a peut-être plus rien à voir, et plus les mêmes répercussions, quand c’est quasi livré en masse sur smartphones y compris dans les cours d’écoles...
Encore que, on a pas attendu internet pour que les hormones poussent les jeunes à faire n’importe quoi... si il y a eu autant d’avortements à l’aiguille à tricoter au siècle dernier c’est pas pour rien.
Il semble aussi qu’aujourd’hui comme il y a 20 et 40ans, que l’âge du 1er rapport est aux alentours de 17-18ans.... donc bon...
Ca doit sûrement aggraver les cas les plus extrêmes j’en doute pas, mais peut-être pas l’ultra-majorité.
Ce qui m’amène à me dire que le vrai but est sûrement plus "idéologique" et indirect, amener à toujours plus de soumission à la société matérialiste y compris du corps lui-même, pulsionnelle et in fine marchande.
Sans oublier en attendant l’abrutissement, puisque pendant qu’on matte du porno, on se cultive moins .... forcément...