Peter Ford, ex-ambassadeur GB en Syrie : "Assad n’est pas l’auteur des attaques chimiques"
7 avril 2017 16:02, par RrexX
Le "revirement" brutal à 180° de Trump indique clairement qu’il est contraint. Poutine le sait. Le Chinois également.
Cette attaque US ordonnée par Trump peut être vue comme une demi-mesure pour contrer les néo-cons à l’intérieur de son propre camp en attendant mieux. Le père Trump s’il veut gouverner doit s’en débarrasser à moyen terme. Là on est dans le court terme. Un multi-milliardaire ne se coltine pas la présidence de la première puissance mondiale pour se lever tous les matins en se disant : qu’est ce qu’ils vont bien encore m’obliger à foutre aujourd’hui ? Non, il dirige, il commande, il impose ses convictions. Sinon, il est mieux chez lui à Mara Lago.
La réaction russe indiquera si Poutine l’aidera dans cette démarche...
Cà semblerait logique.