Loin des banlieues, la misère invisible des villages français
16 avril 2017 14:06, par Ali baba
1) Tous ne sont pas dans le même cas , avec un bémol , en se rappelant que plus de 80% de petits fermiers ( souvent même pas propriétaires de leurs terres mais locataires ) ont dû plier bagage entre 1960 et 1975 , et vendre le peu qu’ils avaient à leurs " voisins " qui n’attendaient que ça pour créer des " exploitations agricoles " modernes ! Mais c’était sans compter sans les Banquiers qui se frottaient les mains pour mettre à genoux ces derniers en quelques générations ( d’où les suicides etc ) .
2) pour les salariés , ce fut l’exode obligatoire vers les villes les plus proches pour survivre , ceux qui ont tenté de rester ce fut la précarité assurée .
3) ce chaos rural ,instigué après la seconde guerre mondiale par les vainqueurs , sous prétexte de " modernité " fut le terreau de la désagrégation voulue et programmée d’une vie sociétale existant depuis des centaines d’années . Là egalement ( ils ) leur fallait cela pour accéder à leur suprématie.