Présidentielle : le ministère de l’Intérieur n’exclut pas des "débordements"
16 avril 2017 15:25, par The Médiavengers
Tout est dans ce paragraphe et fait de ce ministre le complice objectif de ce qu’il prétend dénoncer. Sa place est d’ors et déjà en prison.
"Face aux risques de mobilisation que pourraient susciter les résultats, comme la présence de Marine Le Pen pour le second tour, Matthias Fekl affirme que, « quel que soit le scénario, la République ne saurait tolérer des troubles à l’ordre public ». « Il peut y avoir des débordements venant d’extrémistes de tous bords. Mais nous envisageons aussi de fortes mobilisations citoyennes et sincères dont il faudra assurer le bon déroulement », explique-t-il."