Au Japon, on étudie Mein Kampf à l’école
19 avril 2017 22:47, par JayPas étonnant, le japon avait suivit beaucoup d’idées nationales socialistes dans les années 30, ce qui lui a permis de devenir si puissant économiquement que les anglos américains lui fait un blocus, l’obligeant ainsi à entrer en guerre contre les USA.
Le Major Clifford Hugh Douglas, l’un des plus importants réformateurs monétaires du 20ème siècle, entreprit une tournée de conférences au Japon (1929).
La théorie économique de Douglas préconise le transfert de la fonction de création monétaire à des banques privées, qui créent à partir de rien de l’argent, pour l’État, sous forme de dette portant intérêt. Par ce moyen, le gouvernement crée de l’argent appelé crédit social.
Depuis sa création en 1882, le premier actionnaire de la Banque du Japon (Nippon Ginko) était la Maison impériale du Japon. Sa réorganisation en banque d’État, administrée de manière à se plier exclusivement aux intérêts nationaux, fut mise en œuvre en 1932.
Les propositions financières de Douglas en faveur d’un système monétaire honnête, reposant sur la création, par le gouvernement, de l’argent et du crédit sans intérêt de la nation, furent accueillies avec enthousiasme par l’industrie et le gouvernement japonais.
_ La réforme de la banque centrale s’acheva en février 1942, au moment où le statut de la Banque du Japon fut remodelé sur celui de la Reichsbank de l’Allemagne de 1939.
Dès l’abolition du carcan de l’usure, le résultat de ces réformes fut visible dans l’amélioration soutenue installée au sein de l’économie japonaise. De 1931 à 1941, les productions manufacturière et industrielle montèrent respectivement de 140% et 136%, tandis que le revenu national et le produit national brut (PNB) se majorèrent respectivement de 241% et 259%. Ces revalorisations remarquables dépassèrent d’une large marge la croissance économique du reste du monde industrialisé.
Quant au marché du travail, le chômage passa de 5,3% en 1930 à 3,0% en 1938. Les conflits du travail diminuèrent, le nombre de grèves chutant de 998 en 1931 à 159 en 1941. (Source : Dr Ingrid Rimland Zundel)
Vous voyez chers amis, il faut toujours revenir à la Banque pour comprendre l’histoire, la vraie !