Le mot qui me vient, et me semble faire écho à cette jolie scène de communion de l’être humain avec la nature, est « pur ».
Cultivons et exerçons nos sens, restons sensiblement humains. Ne laissons pas la machine nous suppléer au quotidien, dans les moindres de nos actes. Lutter contre la facilité confortablement corruptrice de la machine-outil (sous toutes ses formes) est peut-être la chose la plus difficile à faire aujourd’hui, et pourtant le combat fondamental qu’il faut mener, toutes opinions et croyances confondues.
Des fois, quand j’observe le monde et pense à tout ce que nous sommes en train de perdre en matière d’humanité sensible, j’ai juste envie de pleurer...
Merci pour le partage ;)