Quand les icônes déconnent
3 mai 2017 18:45, par guyaume d’amont
@ Félix Niesche
La seule question radicale qui s’impose à la dissidence est bien celle-ci : faut-il combattre Proudhon ? Etre radical c’est bien comprendre que le Capital ne peut se dompter par des réformes et des programmes politiques commissionnés, non ?
Le choix est simple, soit on croit au réformisme infini du capital - en pensant qu’il est possible de l’assujettir et de l’asservir aux valeurs humaines - soit on y croit pas.
Par conséquent la vraie bataille idéologique se situe bien entre le FN et les abstentionnistes, c’est à dire entre ceux qui croient et ceux qui n’y croient plus.