Pourquoi la tour de Londres en flammes ne s’est-elle pas écroulée ?
19 juin 2017 21:04, par Jean RasczakSur l’aspect technique, il est absolument impossible de croire à la version officielle, et ce, sur de multiples points. En revanche, il est particulièrement instructif de voir qui a activement participé à l’enfumage (si j’ose dire) du public, et à l’inquisition contre tous les hérétiques... Et les similitudes qui affectent l’étude de certains évènements historiques du 20e siècle ;)
Sur le plan technique, même à supposer que ces conditions permettant l’effondrement des tours (par l’affaiblissement de leur structure) aient pu être réunies (ce qui est très, très loin d’être le cas), un effondrement "parfait" selon l’axe des tours pile dans l’empreinte au sol des immeubles, 3 fois de suite le même jour, avec pour origines des feux à la propagation non uniforme est juste impossible en termes statistiques... Cette première incohérence n’a jamais été expliquée, alors qu’on dispose d’outils de simulation permettant de reproduire les conditions supposées de ces feux et les effondrements en eux même. Même la propre simulation du NIST pour le WTC7 montre un début d’effondrement qui part de travers.
2) Il n’a jamais pu être expliqué l’origine de l’énergie ayant abouti à la quasi pulvérisation de l’essentiel de la masse du complexe WTC 1 et 2.
3) Il n’a jamais pu être expliqué comment les incendies ont pu persister plus de 3 mois après les évènements -malgré- les moyens titanesques engagés. Seuls les incidents nucléaires posent des difficultés comparables...
4) Les incroyables moyens de sécurité mis en oeuvre pour contrôler l’accès aux débris collectés avant leur destruction sont bien étranges. Il faut noter qu’il est strictement impossible aujourd’hui de procéder à la moindre analyse des poussières ou débris du WTC, plus grande catastrophe subie par des ouvrages de génie civil de l’histoire...
5) Le nombre de décès parmi les personnels ayant travaillé sur le site du WTC est hautement suspect ; là encore, aucune étude sérieuse sur le sujet.
Personnellement, même si cela semble fou, je pense que la thèse d’une démolition "nucléaire" (à l’aide d’un dispositif souterrain) mériterait d’être étudiée.