Le "pony play", ou homme-cheval, métaphore d’une soumission bestiale voulue par le Système
16 novembre 2017 19:31, par BoucherChevalin
Ouais...
l’homme-cheval (enfin, bref) est un « freak », un malheureux taré, un dégénéré ;
Il est, quand même merde, moins atteint (si possible) que la licorne, la femme-homme-cheval. Enfin, selon moi ;
Je suis plus outré par le cow-boy moustachu qui fait ça pour le fric sans doute, profitant du malheur des autres ;
Je suis encore plus outré par la Bonne-femme (sa femme ?), qui fête la journée du canasson américain ;
Enfin, et je n’ai pas de mots pour ça, je suis écœuré par celui qui a fait cette merde de film. Film distribué par « Vice » si j’ai bien compris avec à sa tête un autre taré genre Attaloche ou autre Soros ou je ne sais quel philosophe...
j’ai une pensée émue pour la gamine du monstre, la petite tatouée, qui souhaite bon anniversaire à Mamie...
je vais me prendre un double-Scoth et regarder BFM. Parce-que c’est bien BFM, l’après-midi le dimanche, y’a les courses.
Pour conclure ? Il ne faut pas qu’il aille dans un Pays du Maghreb le freak, des coups à être étêté comme dans le Parrain ou, parce qu’il faut regarder les choses en face en matière de déviance, des coups à se faire... enculer, par certains