J’ai lu qu’il y a deux polices, comme il y a probablement deux armées : l’une qui a le sens professionnel et pas de compte à régler avec une population dont elle fait partie. L’autre qui tire au visage des Français avec jubilation. Ces deux polices cohabitent, mais les premiers méprisent les méthodes (ou sentiments vidicatifs et psychoses) des seconds. Il y a fort à parier que les seconds sont plutôt du style daesh ou racailles, rameutés (ce serait criminel et de haute trahison) par le ministre de l’intérieur qui s’en sert comme milice des oligarques, factions et dirigeants voire colons, non déclarés, du pays. Qui les arme et les casque (masque).
L’armée et la police françaises (vraiment françaises) qui ont gardé du respect pour leur fonction, leur métier et eux-mêmes, pourraient considérer soutenir la population dont ils savent désormais qu’elle appuie à 70 ou 80 pour cent la rébellion fluorescente. Jusqu’à présent, les patriotes de l’armée et de la police se disaient que la population avait mal voté, tant pis pour elle, qu’elle n’appuierait pas un élan de leur part en faveur du pays. Que la population les trahirait, comme ce fut le cas pour les soldats retour d’Indochine et d’Algérie.
Ce n’est plus vrai. Aujourd’hui, les GJ votent avec leurs actes et sont sur le front.