Le premier texte vaut son pesant d’or : à suivre donc.
Quant au dernier et pour aller chercher à la racine du BIen.
Par le biais du questionnement (jusqu’au questionnement de soi), par cette forme de maïeutique, Platon en premier proposait à son interlocuteur de prendre conscience de ses propres croyances, de ses propres préjugés, des ses idées, de ses opinions, en cela et déjà de rechercher le Beau, le Bien, le Vrai afin de faire table rase de son ignorance : jusqu’à reprendre la maxime engravée au fronton du Temple d’Apollon, à Delphes, la maxime « Connais-toi toi-même et tu connaitras l’univers les les dieux ».
Voilà donc en quoi il faut être aussi vigilant, telle la sentinelle, car il est aussi des « frangins » (honnêtes et sincères au même titre que les bouddhistes zen qui proposent de descendre en soi pour une quête spirituelle similaire) qui s’inscrivent dans la même veine, recherchant, eux, le Bien, le Beau, le Véridique selon la même maxime du « Connais-toi toi-même... » et au sein desquels s’est installée la vermine prédatrice de la structure pyramidale, tout comme on a pu l’apercevoir le long de l’Histoire des hommes, Histoire qui mène de la pensée hellénique aux concepts revisités d’A.S., pour éclairer la contemporanéité de chacun : qui lui aussi a vu au sein de son nid, quelques faces camuses de vipères cracher leur venin pour s’en aller ensuite bâtir d’autres hérésies (au sens grec d’haíresis, ne soyons pas haineux... quand bien même elles nous déplaisent).
C’est cependant le mal nécessaire à avancer qu’il faille sans cesse faire attention à la gangrène, séparer le bon grain de l’ivraie, le subtil de l’épais, le faut pas du faux pas et comme le rappelait Boileau, « Remettre cent fois sur le métier, notre ouvrage ».
Quelle que soit la baffe dans la gueule, dirait le Christ, qui tendant la joue gauche rappelle que l’homme libre, émancipé de ses mentors menteurs, ne cèdera pas...