Trump limoge John Bolton, conseiller à la sécurité nationale et homme de main d’Israël
14 septembre 2019 21:31, par MarcelloAu delà des insultes,expression légitime d’une rage et d’une indignation parfaitement justifiées envers un monstre et ses semblables qui ont les mains dégoulinant de sang,il est fondamentalement plus important de traiter l’événement,au moins sous ces angles :
comment des monstres pareils,arrivent à accéder aux places les plus en vue du pouvoir suprême. On peut prendre appui sur cette créature ,à faciès de diable,pour tracer son itinéraire et mettre en exergue quels servies avait bien pu rendre au peuple américain. Passer en revue, à titre d’information et de rappel,les itinéraires de ses semblables,tels ceux qui ont détruit l’Irak,la Syrie,la Libye et ceux,comme celui dont parle l’article,qui vise actuellement la destruction de l’Iran. En analysant ces profils,les mécanismes secrets qui les poussent à s’emparer des commandes du pouvoir suprême,on finit par éclairer le peuple américain,et tous les peuples de la terre sur la nature et l’échelle du Mal.
comment de tels monstres arrivent à bénéficier d’une impunité infaillible,alors que pour beaucoup moins que ça,un citoyen lambda se trouve en taule sans la moindre miséricorde.
Mr Trump,par le nombre important de ses collaborateurs qu’il a mis à la porte exprime,en fait,sauf quelques exceptions,que les gens chargés d’aider le président à servir le peuple,se révèlent préoccupés à se mettre au service d’une cause,qui loin d’intéresser les américains laborieux,se retournera contre le pays,et entraîne son effondrement.
Peut-être que par ces gestes audacieux,Mr Trump veut émettre des signaux à ses compatriotes qui ont compris l’ampleur du Mal,pour provoquer une lame de fond salvatrice. Mais aussi,et au delà de ses compatriotes,le président murmure à tous les humains intelligents pour les engager à impulser un ouragan pour balayer la bête féroce.
Évidemment,ni Mr Trump,ni les sages de ce bas monde,n’ignorent que la lutte,par sa dimension biblique,peut prendre plusieurs formes et un temps d’une échelle géologique pour aboutir à l’anéantissement de la tragédie,mais l’Histoire,nous apprend qu’un passage obligé est,et sera incontournable,est celui de nommer le Mal par son nom. Sans cela,la lutte ne bougera pas d’un iota.
Camus a dit : Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde.