Généralistes et laboratoires : même minimes, les cadeaux influencent la prescription
8 novembre 2019 11:18, par alderic-dit-le-microbeMoralité : il faut libéraliser le marché de la santé, et laisser le choix aux patients de passer par un de ces charlatans ou non pour obtenir les traitements.
Rien ne justifie que la vente de produits de santé soit soumise au bon vouloir de l’état, sauf d’un point de vue de l’oligarchie.
Le secteur de la santé est une grosse arnaque. Les indicateurs contraints par les institutions de santé, et permettant de définir une infection, et donc, donnant droit à traitement antibio, sont des dés pipés dès le départ.
Infecté avant la naissance, les réactions typiques de défense de l’organisme sont absentes et les analyses ne donnent rien. Seuls les infections par des organismes nouveaux donnent lieux aux cascades classiques de réponses immunitaires, et se constatent sur les analyses sanguines.
Par conséquent, on nous prend du pognon pour ne jamais nous guérir, car au lieu de se fier à la clinique, les bidules ne se fient plus qu’à des données indirectes, sans rapports avec la réalité des faits, tout comme les possesseurs d’un terminal de chez Bloomberg à propos de la santé de l’économie.
Le secteur de la santé étouffe sous les dogmes mensongers. Nos ennemis sont à l’intérieur de nos institutions, et à l’intérieur de nos corps. Et ce sont eux qui les y ont mis.