Le cinéma d’Alain Soral : un entretien avec Alain Soral disponible pour tous en vidéo à la demande
30 mai 2020 19:03, par Matth
Naked est effectivement un chef d’œuvre, ça fait vachement plaisir de voir le père Soral conseiller cette pure merveille encore bien trop méconnue (mais c’est aussi le propre des vrais films cultes). À voir c’est tout, avec une ambiance unique et la regrettée Katrin Cartlidge. Il y a des scènes sublimes de vérité, comme celle dans laquelle David Thewlis déblatère sur l’apocalypse (et d’autres choses) en suivant un veilleur de nuit.
En cinéma français "art total" qui a réussi sans trop de concessions à une époque où les possibilités étaient déjà très réduites : Baxter me semble un cas à part. Mais on est depuis longtemps très loin du niveau des années 60-70. Des films comme Calmos ou La Grande Bouffe par exemple, c’est du radical impensable aujourd’hui.