Quand un navire est en train de couler du seul fait d’un équipage désastreux, que l’on mette à la barre un incompétent bis - pour y remplacer l’incompétent de départ - au lieu de s’assurer que les chaloupes sont prêtes et distribuer les gilets de sauvetage - ne changera rien au nombre des victimes - massivement de seconde classe - de leur totale incurie et de leur terrifiante incompétence.
"Les jours sombres de la France", dont on nous rebat les oreilles depuis plus de 70 ans, avec une constance sidérante, ne sont pas derrière nous, mais devant nous !
Et ce ne sont pas les responsables du désastre qui vont en payer le prix - ils ont fait tout ce qu’il faut pour s’éviter tout naufrage, de quelque ordre qu’il soit - mais les passagers, massivement de seconde classe, qui n’ont pourtant jamais eu voix au chapitre, quant au choix de cet équipage de m****.
Et cette pseudo élite de la navigation à vue, aux ordres de puissances œuvrant dans l’ombre, se partageront alors le pactole versé par la Compagnie d’assurances, laquelle a été grassement payée par tous les passagers - massivement de seconde classe - et la boucle est ainsi bouclée...
Jackpot pour tous les responsables, mais décrétés non coupables !