« On ne pense pas que Bill Gates veuille réduire la population mondiale car ce qui l’intéresse, lui et les puissances qu’il représente, c’est de vendre du vaccin à toute la Terre, et réduire les milliards d’êtres humains à l’état de consommateurs de médicaments ou de vaccins qui diminuent l’immunité »
=> Chercherait-on à se "respectabiliser" chez E&R ?
« Le génocide planétaire ourdi par Bill Gates, c’est too much »
=> Qui a dit qu’il était ourdi par Bill Gates ?
Pas certain que vous visiez juste sur ce coup. Bill Gates l’a dit lui-même plusieurs fois lors d’entrevues, toujours affublé de ce rictus psychopathologique : le but de ses campagnes vaccinales est, à long terme, la réduction de la population mondiale. Faut l’savoir hein. C’est vérifiable !
Quel intérêt ces milliardaires obscènes auraient-ils à s’enrichir encore et toujours alors que leur capacités financières actuelles les rend déjà plus puissants que beaucoup d’états ? Dit grossièrement : l’argent, une fois atteints de tels niveaux de richesse, ne les fait plus bander. C’est à autre-chose qu’ils aspirent ...
Leur but final, d’ordre malthusiano-transhumaniste, est de transformer radicalement la nature du genre humain afin de donner naissance à une nouvelle humanité, métissée, connectée et augmentée, et à un nouvel équilibre démographique planétaire. Les délirants comme le fameux cureur de prostates Laurent Alexandre ont entrevu le plan et y souscrivent pleinement, d’une bien triste manière.
C’est le diable qui œuvre ici, et le diable ne se nourrit pas avec de la monnaie de singe.
L’horizon qui se profile pour l’humanité n’augure pas grand chose de bon. Parfois, je me dis que les contorsions politiques qui agitent nos Nations sont bien vaines face aux rouleau-compresseur qui les guettent, elles et les peuples qui les constituent. Je me réconforte en me disant que le patriotisme est un devoir, et qu’au final, c’est un peu le peuple qui décide de s’emparer de la plume qui écrit l’Histoire. Une saine initiative, qu’importent les enjeux et les chances de succès ...
PS : Samuel s’est mis à la rédaction d’articles ? Le patron tolère ça ?
PS2 : Et bien alors, la modération ? On fait du zèle ? Aujourd’hui, ça censure encore plus promptement sur E&R que sur Facebook et Twitter ... Drôle d’époque.