Pr Perronne : "On est train d’inventer une deuxième vague artificielle !"
27 octobre 2020 13:54, par Heureux qui, comme Ulysse...Bon, puisqu’il faut toujours remettre son ouvrage sur le métier...
Christian Perronne semble être un honnête homme qui pourtant tient un discours s’opposant à la doxa.
Comment se fait-il alors que ce médecin dissident soit autant médiatisé ?
Tout simplement parce que malgré lui il ne comprend pas quel rôle objectif il est en train de jouer à son insu !
Il est là pour servir une vision alternative qui détourne l’attention de la plèbe au grand bénéfice de ceux qui ont tout intérêt à ne pas aborder les vraies questions.
Ainsi, il parle d’un virus qui serait à l’origine d’une mortalité correspondant en fait à une grippe saisonnière. La conclusion logique est donc que la pandémie invoquée n’existe pas et que nos zélites sont corrompues. Pas de quoi casser trois pattes à un canard ! Cela est vrai et rien ne viendra l’infirmer chez celui qui conserve une certaine salubrité mentale.
Mais l’imposture est (comme toujours) bien plus profonde. La Covid19 est comme le SIDA, essayez de trouver ce "virus" en effectuant un prélèvement sanguin sur un sujet prétendument infecté... et vous risquez de ne jamais y parvenir, et pour cause !
Ainsi et comme toujours, c’est l’image d’un virus à laquelle nous sommes confrontés, pas le virus lui-même.
Traduction : le système immunitaire sur-réagit inutilement à un agent pathogène dont seule la trace (image) est présente dans l’organisme et c’est cette réaction immunitaire inappropriée qui tue !
Je laisse les plus curieux envisager par quel truchement le système immunitaire des patients aura pu être invité à réagir contre un virus qui n’existe pas et avec quel outil il devient possible d’imprimer l’image d’une menace qui lui fout la pétoche au point de construire des barrières qui épuisent l’organisme qu’il est censé protéger au point de le ruiner.
Le seul a avoir tenu à ce sujet un propos d’une grande autorité intellectuelle (réellement dangereux) est le professeur Luc Montagnier.
Lui n’est visiblement pas acculé dans l’impasse épistémologique dans laquelle on a volontairement conduit une communauté "scientifique" complètement larguée.
La véritable connaissance progresse d’autant plus sûrement (dans l’ombre) que l’on invite les plus curieux à travailler et échanger au grand jour (imposture universitaire) sur des modèles foireux jamais remis en question.