C’est à l’armée de réagir.
Le peuple a fait preuve de courage, a dénoncé les problèmes, a payé cher, est désarmé, à la merci de vautours.
Ni l’armée ni le peuple n’ont intérêt à être commandés par de pareils baltringues à tête d’attal(i), aux ordres de l’étranger pervers et massacreur.