Epstein, pédocriminalité, porno : Karl Zéro glace Pascal Praud
4 décembre 2020 13:35, par FREDERIQUECes sites pour adultes souffrant d’une sexualité perverse et morbide car ne pouvant plus jouir autrement - ceci étant leur problème, il n’est donc pas question de morale les concernant ! - ne doivent plus être accessibles aux mineurs, point final !
Et ceux qui envisagent froidement et délibérément de violer psychiquement - car, c’est un viol psychique ! - des enfants de 4/5ans avec ce genre d’images d’une violence effrayante - même pour des adultes équilibrés - devraient interroger tout parent digne de ce nom, quant à leurs motivations réelles et profondes, parce que c’est prendre le problème à l’envers...
Il ne s’agit pas - en effet - de mettre de jeunes enfants sans défense devant ce genre d’images déviantes au prétexte qu’ils y seront peut-être soumis un jour, mais d’empêcher qu’ils puissent y accéder tant qu’ils sont mineurs !
Imposer à des enfants très jeunes le porno d’aujourd’hui - d’une brutalité, pour ne pas dire bestialité, insoutenable, avilissante et indéfendable - c’est faire entrer le loup dans la bergerie au prix de leur santé psychique, et de leur équilibre sexuel à venir.
Les y soumettre est un traumatisme inouï pouvant rester à vie, et c’est - de toute façon - marquer leur sexualité future de façon indélébile/irréversible/définitive, qu’ils soient seuls ou accompagnés de parents ou d’enseignants.
Et l’on ne parle même pas du phénomène bien connu d’addiction provoqué par ce genre d’images...
Il y a bien des systèmes pour empêcher les mineurs d’accéder aux sites de jeux en ligne.
Pourquoi pas pour ces sites ?!
Quand des gouvernements veulent interdire/fermer des sites qui les dérangent, ils le font.
Pourquoi pas pour ces sites ?!
Déformation et formatage volontaire et dégradant de millions de jeunes esprits sans défense, c’est un crime contre l’Humanité, dans ce qu’elle a de plus essentiel : ses enfants !
Un crime qui ne se chiffrera pas à quelques millions, mais à dizaines de millions, cette lèpre intellectuelle/psychique/sexuelle se propageant de façon exponentielle.
Quant à la question du "QUI BONO", elle reste - bien évidemment - centrale, mais elle fait partie - tout aussi évidemment - de ce dont il est interdit de parler...