Je ne suis pas pour, mais de de toute façon, l’accélération de fin de vie ca existait bien avant...c’était à la fois disons..."actif" et "passif"
Actif : En stage quand j’ai vu la première fois DLP sur le tableau de soin...je disais "je dois préparer quoi ?"
"laisse y’a qu’un anesthesiste qui peut le faire..." en général 2 DLP matin/soir la personne qui était en général dans un état très très....douloureux, cancéreux, ou meme la morphine était quasi inefficace...(c’est dire l’état)
C’est qu’au bout de 3 semaines où au bout d’un moment j’ai demandé mais bon sang c’est quoi ? "Droleptan , lysanxia, propofol"...
Et là ou ma tutrice m’expliquait que la famille généralement savait que c’était de toute façon sans espoirs, et qu’il valait mieux que le patient parte ainsi doucement plutôt que de prolonger les souffrances...
Le médecin annonçait le décès le lendemain...
Passif : dans le sens où dans certains cas, la morphine ("mort fine") accèlère le "processus" et la dose administrée bien qu’elle soulage, fait décompenser les autres symptomes comme les emphysèmes, les détresses neurologiques, cardiaques...mais comme le patient ne souffre pas...il part...
Les soins palliatifs faut savoir encaisser...