C’est le côté hideux de la nature monstrueuse de ce régime, et de la nécessité vitale d’une police coercitive pour ’’dissoudre’’ toute forme de résistance chez ses victimes. C’est que l’inadmissible ne peut s’imposer que par l’hyperviolence dans l’hypercontrainte, et que l’acmé de tyrannie qui submerge ce triste endroit du monde marque le dévoilement de la véritable identité de la domination.