1987 : Sean Connery maîtrise en douceur une journaliste anti-macho
31 mai 2021 20:26, par Henri
Moi ce que j’aime bien c’est qu’il assume ses opinions et ne baisse pas son froc devant la journalope, comme c’est systématiquement le cas de nos jours avec cette culture de l’excuse infantilisante.
Ca, messieurs dames, c’est la virilité, la vraie.
Par contre les journalopes sont décidément toujours égaux à eux-mêmes, avec leurs questions aussi idiotes que malhonnêtes...