Qui sont les Juifs derrière les vaccins contre le coronavirus ?
On ne peut échapper à leur présence à la pointe des entreprises leaders dans la course à la recherche d’un vaccin qui préviendra le coronavirus.
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Le vétérinaire et biotechnologiste grec Albert Bourla dirige Pfizer, et le médecin-chef de Moderna , le Dr Tal Zaks, est un Israélien qui a obtenu son doctorat à l’université Ben Gourion du Néguev et qui donne des interviews en hébreu aux médias israéliens.
Les deux hommes ont été assez secrets sur leur vie privée. Pour les Israéliens, il suffit de savoir que Zaks, malgré les différents postes élevés qu’il occupe en Amérique, est l’un des nôtres, mais en Grèce, en particulier à Thessalonique, où Bourla et sa femme sont nés et ont grandi, les réactions sont mitigées. D’une part, les Grecs sont fiers que l’un des leurs soit au sommet du totem d’une entreprise qui aidera à sauver le monde du COVID-19. De l’autre, il y a déjà eu de viles accusations antisémites contre Bourla et les Juifs en général, des accusations similaires aux commentaires négatifs du président américain Donald Trump sur les Chinois.
Bourla est issue d’une famille séfarade de bijoutiers et de promoteurs immobiliers qui a fui l’Espagne et vit en Grèce depuis plus de cinq siècles. Les membres de sa famille faisaient partie des rares survivants de la communauté juive autrefois florissante de Thessalonique, qui a été pratiquement détruite par les nazis. […]
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