On pensait à tort les Syriens tirés d’affaire après leur victoire sur les jihadistes. Il n’en est rien. Israël et les États-Unis n’ont pas abandonné leur objectif de guerre de destruction des structures étatiques. Ils
Alors que les États-Unis avaient annoncé la veille qu’ils se retiraient du traité sur les forces nucléaires intermédiaires (INF), Vladimir Poutine a fait savoir que la Russie suspendait à son tour sa participation.
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Le président Donald Trump a-t-il renoncé à changer la politique états-unienne ? S’est-il soumis à l’ex-classe dirigeante de son pays ? Au cours des deux derniers mois, son administration semble avoir recadré l’AfriCom, le
La trahison européenne :
« Donald Tusk, le président du Conseil européen qui représente les 28 Etats membres de l’UE, a dit "espérer que toute l’Europe va être unie en soutien des forces démocratiques au Venezuela", dans un
Le spectacle anti-iranien des États-Unis, prévu le mois prochain à Varsovie, a échoué avant même de commencer : le sommet est déjà boycotté par la chef de la diplomatie de l’Union européenne Federica Mogherini, et même la
Syrie, Russie, Iran, USA, Turquie, Israël et Arabie
Le nouvel ordre moyen-oriental n’est pas encore défini, les lignes rouges pas encore indélébiles. La région traverse depuis quelques années une phase de recomposition marquée par le retrait relatif des Américains, le
Honni par une grande partie de la communauté internationale, Bachar al-Assad semble aujourd’hui plus que jamais proche d’un retour en force en Syrie et en grâce dans la région, près de huit ans après une guerre
La décision stratégique du président Trump de retirer les troupes étasuniennes de Syrie a des répercussions importantes. Le borg [État profond] américain et international est furieux qu’il ait mis fin à une occupation
Et Gilles-William Goldnadel dérape dans l’inversion accusatoire
En ce jour de Noël, les chrétiens d’Occident doivent avoir plus qu’une pensée pour les chrétiens d’Orient qui souffrent depuis des décennies du violent remembrement du Proche-Orient décidé par l’axe américano-israélien.
L’annonce du retrait partiel des forces étasuniennes d’Afghanistan et total de Syrie a sonné comme un coup de tonnerre, le 19 décembre 2018. Il a été suivi le lendemain par la démission du secrétaire à la Défense, James
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a invité son homologue américain Donald Trump à se rendre en Turquie, alors qu’Ankara et Washington resserrent leurs relations afin de coordonner le retrait attendu des troupes
Bernard Kouchner, ancien ministre des Affaires étrangères, réagit à la décision de Donald Trump de retirer ses troupes de Syrie. Il dénonce l’abandon par les États-Unis de ses alliés européens, mais surtout celui des forces
Le secrétaire d’État à la Défense Jim Mattis démissionne
Prendre prétexte de l’attaque de Strasbourg pour justifier la station de troupes françaises en Syrie est un risque politique. C’est pourtant la position du ministre Loiseau, qui semble être obligée de justifier
L’US Air Force est condamnée à la défaite si elle affronte l’armée arabe syrienne qui dispose désormais des matériels anti-aériens russes, les meilleurs au monde. Elle n’a d’autre choix que de partir avant l’humiliation.
Alors que les États-Unis ont maintes fois communiqué sur leur souhait de se désengager de Syrie, la décision semble avoir été prise ce 18 décembre. Selon un responsable américain, ce « retrait total » interviendra « aussi
Petit à petit les partisans de la doctrine Cebrowski avancent leurs pions. S’ils doivent cesser de créer des guerres au Moyen-Orient élargi, ils le feront dans le Bassin des Caraïbes. Avant toutes choses, le Pentagone