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L'actualité en bref
Juin 2010Source : lesindiscrets.com
Avec le lancement officiel de son parti politique, l’ancien premier ministre Dominique de Villepin doit répondre à une question primordiale : comment financer son parti politique ?
Le nouveau mouvement de l’ancien premier ministre bénéficie pour l’instant de ressources très limitées. Le Club de Villepin, présidé par Brigitte Girardin, ministre déléguée à la Coopération de Dominique de Villepin, a dû se contenter de bénévoles pour organiser la journée de samedi.
Pourtant la transformation de l’association en parti politique pourrait sur ce point changer la donne. Outre les cotisations, le mouvement de Dominique de Villepin va désormais pouvoir recevoir des dons, à hauteur de 7.500€ maximum par personne, qui donnent droit à une réduction d’impôts.
La solution pourrait venir de Dominique de Villepin lui-même, qui a repris depuis la fin du procès Clearstream son activité d’avocat d’affaire. Depuis 2008, l’ancien premier ministre noue des contacts avec des clients prestigieux, parmi lesquels Alstom ou Veolia. Henri Proglio, président de Veolia, n’a jamais définitivement coupé les ponts avec Dominique de Villepin.
"De toute façon, ça n’est pas le but premier de notre mouvement", relativise Jean-Pierre Grand. Ce qui est sûr c’est que Villepin n’investira pas de candidat aux sénatoriales, et visera plutôt l’Elysée. Et pour cela, les villepinistes assurent à qui veut l’entendre que l’argent n’est pas primordial. "L’important c’est pas combien on en a mais comment on l’utilise", lance Brigitte Girardin. "Notre site qui fonctionne très bien nous a coûté 15.000 euros. Celui de l’UMP ne marche pas et a coûté 500.000 euros…"