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Affaire du colloque de Téhéran : Robert Faurisson à la sortie du tribunal

Le 7 juin 2017 après-midi, au palais de justice de Paris, le professeur Robert Faurisson sort de l’audience d’appel dans l’affaire du colloque de Téhéran (2006).

Délibéré le 20 septembre 2017.

 

Pour comprendre pourquoi Robert Faurisson est persécuté,
chez Kontre Kulture :

Sur cette affaire :

Voir aussi, sur E&R :

 






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43 Commentaires

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  • #1742625

    La vérité pour toujours...

     

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  • Quand on me casse les couilles et que je suis convoqué à la direction,
    Je pense au Professeur Faurisson.

     

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  • #1742631

    Les ordures qui traînent ce gentleman en justice n’ont pas un millième de son humanité, de son intelligence, de son courage, de sa gentillesse et de sa classe.
    Honte à eux, communautaristes haineux usurpateurs de l’Histoire qui ne reculent devant rien pour asseoir leur domination mafieuse et fasciste.
    La France ne sera jamais un terre promise aux crapules.

     

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  • #1742678

    Faurisson est l’homme et ce qu’il doit être. Tout le reste, c’est de la parlote de lâches qui ne peuvent s’assumer

     

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  • #1742736

    Un héro ....sans héroïne.... confortablement insensible (chanson des Floyd’s, au quand dit raton, il sait et veut savoir de 1ere main, Robert au pays des merveilles !!!!!!

     

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  • #1742753

    Quel homme ce Faurisson. Il fait pas de boxe mais il punche bien, sur les timides. (visait-il la dissidence organisée ?) Dans une autre comparution la procureur avait prié "Yahvé de protéger son peuple élu des lèvres trompeuses de Faurisson". faut le faire.

     

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  • #1742796

    Je prononce le nom de Faurisson à table et tout le monde hurle, ma tante (prof de gauche) se mets à pleurer et dit aux enfants de ne pas écouter, elle quitte la table.

    Je rattrape mes cousins qui me traitent d’antit sémite, je les coince et les assois devant la fameuse vidéo phare de Faurisson "le problème des chambres à gaz" et la Lumière fut.

    Comment écouter cette homme sans vouloir l’avoir comme grand père ? Il respire la bonté, la gentillesse, la sincérité, l’objectivité. C’est assez facile de voir qu’il est passionné par la vérité et non pas par sont égo.

    Merci Professeur !

     

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  • Ils n’oseront jamais affronter le professeur Faurrisson par un débat ,parce qu’ils n’en ont pas le courage et n’ont aucuns arguments et bien sur bien moins intelligent que le professeur .En fait ,ils en ont peur .Peur de la vérité .

     

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  • #1743245

    Vous savez pourquoi rien ne va changer....Parce que beaucoup écrivent des commentaires mais ne font rien de concret. Cet homme a quasiment 90 ans. Et aussi cruel que ce soit il va disparaître... Et beaucoup le pleureront puis ils passeront à autre chose au lieu de se lancer dans le combat pour la liberté de dire non à trop de mensonges.

     

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  • #1743749

    Si la tribune de "Henry Rousso [...] historien" (c’est écrit comme ça) dans Le Démon du dimanche, intitulée "Faurisson débouté, l’Histoire enfin respectée" reste - comme il est probable - sans soulever de réprobations par ses pairs, cette publication marquera l’abandon total de ce qu’il pouvait rester de crédibilité dans l’érudition universitaire française. Et ce, quoi que l’on puisse penser des thèses de Robert Faurisson qui aura réussi ce tour de force en demandant au tribunal de rappeler le nécessaire respect dû - sauf preuve du contraire et pour lui comme pour tous - à son honneur et à sa probité, de faire admettre par un historien la nécessité d’une "protection" judiciaire de l’ "Histoire" !

    Et cette "Histoire" serait "enfin respectée" parce qu’un tribunal décide d’amalgamer une série de décisions de relaxe au bénéfice de la bonne foi pour l’assimiler à un apport de preuve. Et cette "Histoire" outragée se trouverait désormais rassurée non par l’intervention de la justice dans ses débats (l’avouer reviendrait à loufer dans un salon) mais par la "protection" dont elle bénéficierait désormais contre les "vérités alternatives"...

    Il est possible que le texte du jugement ne puisse être publié in extenso avant l’appel. Henry Rousso ne prétend pas, par ailleurs, dans sa tribune, avoir été présent lors de l’audience.

    S’il y était, que ne donne-t-il son avis d’historien quant à la valeur des preuves concrètes fournies tant par les accusés que par le plaignant au cours de cette audience-là ? Il s’agissait bien en effet d’étayer ou de réfuter les qualificatifs de "menteur professionnel", "faussaire" et "falsificateur" à l’encontre de Robert Faurisson.

    Rousso et les juges eux-mêmes, semble-t-il, se trompent de procès. Ce n’est pas en premier ressort celui de la "falsification de l’Histoire", mais celui d’une possible diffamation. "Menteur", "faussaire" et "falsificateur" ne sauraient être lancés à la tête de quiconque pour la seule interprétation - même tenue pour abusive, elle demeure libre par définition - de données historiques admises, mais seulement en cas établi de tromperie, de bénéfices retirés d’une tromperie ou de production de faux.

    Cela fait un moment qu’on se demandait où allait cette "Histoire" sous surveillance judiciaire. La voilà tombée au plus bas : pauvre orpheline de la raison elle doit être désormais mise SOUS PROTECTION !

     

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