Excellente fulgurance synthétique soralienne du principe de "l’accident individuel et du génie collectif", en combinaison avec celui de "l’inversionisme accusatoire et du collectivisme victimaire" ; on a là les deux mamelles intarissables de la domination communautaire.

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Bonjour à tous,

Je suis entièrement d’accord avec Alain Soral, si quelqu’un travaille et participe, il est français.
Les identitaires ne nous diviserons pas. Comme disait Shia LaBeouf sur Trump, they will not divide us

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Tonton Soral, vous faites beaucoup de bien aux gens. Merci pour votre pédagogie. Vous êtes pour beaucoup, notre père ou oncle spirituel dans le sens où vous n avez énormément éduqués, instruits. Grâce à vous, beaucoup ont pu ne pas sombrer ou basculer dans le pire. Vous êtes salutaire et d utilité publique !!!

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Soral contemple le monde avec l’œil dur de celui qui a trop vu. Il a voyagé, il a comparé, il a jugé. Et ce qu’il a vu en Corée du Nord l’a frappé. Non pas les uniformes, non pas les statues, mais les corps. Ces silhouettes sèches, taillées par le manque et la rigueur. Ces hommes droits, tendus, fonctionnels, presque militaires jusque dans la chair. Il les a regardés avec une forme d’admiration. Non pas une admiration politique, mais une fascination corporelle, virile, brutale. Ce corps nord-coréen est un manifeste. Il dit : je ne cède pas. Il dit : je résiste.

Et face à cela, l’Occident se traîne. Un gros bonhomme occidental, suant dans son t-shirt trop court, respirant comme un moteur encrassé. Une masse sans forme, sans ligne, sans retenue. Ce corps-là est une démission. Il dit : j’ai cédé. Il dit : je prends sans fin, je consomme sans mesure. Il est le fruit moisi de la liberté transformée en caprice. Soral n’a pas eu besoin de grands discours. Il a vu, et ce qu’il a vu lui a suffi. Il a opposé deux visions du monde, incarnées dans la chair.

Je ne prends pas parti. Je ne flatte ni la maigreur disciplinaire ni la graisse permissive. Je regarde. Je jauge. Je mesure le poids des corps comme on évalue le prix des âmes. Car il n’existe, en vérité, que deux types d’hommes : ceux dont le corps est une forteresse, et ceux dont il est une capitulation. L’un oppose sa forme au chaos. L’autre épouse sa mollesse. Je n’ai pas besoin d’aimer. J’observe. Et quand vient le moment, je tranche. Car juger n’est pas une émotion, c’est un droit. Et ce droit s’exerce sans bruit, sans appel, sans pardon.

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En tant que fonctionnaire, je connais un peu la problématique. La clef d’une carrière réussie, c’est plus l’obéissance que la compétence. Un fonctionnaire (avec plus ou moins de discernement), applique la loi. Ce n’est pas lui qui la crée ou la modifie, c’est en théorie, le pouvoir législatif. Et le pouvoir judiciaire sanctionne les atteintes à la loi. Mais, à y bien réfléchir, plutôt que de faire régner la justice, son vrai rôle c’est de faire en sorte que le système en place se maintienne, comprendre quel type de décision est le plus conforme aux "valeurs de la République" quand bien même il faille faire preuve de plus en plus de créativité dans ses motivations. A la libération, ce n’est pas les juges qui avaient changé, c’était le pouvoir, par la force des armes. Le justice, elle s’est alors comporté comme toute bonne girouette !

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Alain a bien raison de faire des petits jeunes secs pour garder la forme, il m’a fait marrer quand il a parlé des "cons qui font des treks dans l’himalaya" (et qui font la queue au sommet de l’Everest). Le jeûne est un excellent elixir de jouvence et très bon pour stopper les addictions, et apprendre à ne plus être dominé par ses pulsions. Une fois, j’ai fais un jeûne sec de plus de 7 jours, une vraie aventure intérieure. A ce stade vous êtes en état de grâce, le parfum d’une rose suffit à vous ravir.

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Super intervention comme d’hab.
la meilleure partie est la partie où AS parle de la peur !
revoir l’excellent film de Mel Gibson : « apocalypto » , avec le dialogue au début du film où le père explique à son fils qui ne connaît pas là peur, que les esclaves persécutés qu’il a croisé en forêt sont malades… malades de la PEUR !!
ER avait d’ailleurs sorti un article sur ce film.
Bref, du très grand AS

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Le passage sur Pinault est tordant, je confirme, avec sa Hayek à forte poitrine, il veut en être, d’Hollywood chewing-gum : cela fait des années qu’il laisse pourrir la piscine de Dinard, piscine ancienne de la très belle époque, d’eau de mer, pour construire un musée d’art contemporain à sa gloire, comme un mécène, une sorte de George Soros of cheu nous, qui produit des sensations aux grands bourgeois dinardais gavés de fruits de mer et du reste, avec leur réseau de citoyens vigilants pour balancer le moindre suspect basané remarqué autour des grandes propriétés du bord de mer...

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Je me suis toujours dit que si, ceux qui nous dominent, connaissent nos faiblesses et nous en font baver par la suite, c’est parce que nous les leur avons divulguées.
Regardez le nombre de psychologues en France, et leurs patronymes.
Tout ça, ce sont des cabinets de collecte d’infos.
Ça me rappelle aussi un film qui parlait d’un photographe timide chez qui tout le monde allait se prendre en photo, et qui, désormais cartes en main, pouvait détruire des familles entières en leur envoyant les images de tromperies, d’adultères ...sans que personne ne sache qu’il était l’auteur de tout ce désordre.

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Si jamais Monsieur Montana et Monsieur Janvier lisent ici les commentaires, je souhaiterais leur dire combien le lecteur lambda d’E&R que je suis, les remercie de proposer à Monsieur Soral de venir s’exprimer sur leur propre chaîne internet (que je ne manque jamais de relayer, à mon infîme échelle), en le recevant si bien, et si longuement, preuve qu’ils ont parfaitement compris la puissance de la synergie des combats qu’ils mènent tous les trois, parmi la minorité des intellectuels français, qui ne sont pas des lâches, ni des larbins.

Je crois qu’ils n’ont pas été déçus hier soir, tant le "Patron" (comme à son habitude, et en sur-doué qu’il est) fût explicatif, percutant voire explosif, sur une montagne de sujets brûlants, jamais abordés par les journalopes, et pour cause.

Merci Messieurs, pour tous les risques que vous prenez, et que nous admirons, ainsi que votre courage.

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