Soral qui débarque chez Dechavanne pour calmer Alonso (très beau moment) :
https://youtu.be/KKhrCpreNh0

Je ne résiste pas à l’envie d’y ajouter une vidéo, suelement trouvable sur dailymotion qui résume la manière dont AS a torpillé Maffesoli (les gourmets apprécieront) :
https://www.google.com/url?sa=t&amp...

à Esteban
En effet la vidéo Alonso est excellente.
Le débat était pénible, jusqu’à l’arrivée de Soral, qui casse la baraque !
La tête d’Alonso, obligée de supporter la présence d’AS !
Et vue pour ce qu’elle est : une bourgeoise auto-servie et servie par la bonne, auto-satisfaite, sans humour, ni plus ni moins.
Il y a un argument auquel personne n’a pensé dans ce débat.
Il y est question des hommes qui doivent aider les femmes après le taf, parce que leur femme travaille aussi à l’extérieur. Et donc les femmes qui doivent aider les hommes pour la même raison.
D’abord, si les hommes peuvent faire la vaisselle, leur femme peut-elle réparer la bagnole ?
Ensuite, pourquoi diable les femmes ET les hommes devraient-ils travailler ENCORE après le taf ?
Les années 50 avaient résolu la question : tous les hommes avaient un emploi ou une source de revenus, et presque toutes leurs femmes évitaient à l’homme des dépenses ou des corvées en travaillant à domicile comme : restauratrices, ménagères aidées par les machines, jardinières, coursières ; et surtout éducatrices de jeunes enfants. Tout cela relève de la petite entreprise : madame était la patronne à la maison.
C’est plaisant, quoi que prétendît Alonso. Adieu collègues hostiles, chef, métro !
Et ni madame ni monsieur ne travaillaient APRES le taf du jour.
Qui profitait le mieux de ses parents ? Les gosses ! A 4h, après l’école, ils avaient un bon goûter plus leur mère à la maison ! Petits, ils apprenaient tout d’elle !
Aujourd’hui, la situation est différente : monsieur ne gagne pas assez pour madame et l’enfant . Solution : favoriser l’industrie, l’artisanant, l’entreprise familiale ! Et l’armée, qui garantit l’indépendance d’un pays. La paie augmentera. Madame et monsieur pourront travailler ensemble à leur entreprise COMMUNE, quelle qu’elle soit : atelier, ferme, salaire pour l’un, maison pour l’autre ! et vive les robots-esclaves mécaniques !
Tout s’arrangera.

Ma mère n’a jamais travaillé, elle aurait pu le faire facilement à l’époque, dans les années 65 -70, on pouvait rentrer dans beaucoup d’entreprise, mes parents avait eu leur bac en 1947 avec mention, tous deux avaient fait " latin- grec", et cette décision ’était prise d’un commun accord avec mon père, ( qui était officier dans la Marine marchande), elle a préféré nous élever moi et mon frère aîné, et au final, la chef de la maison et des finances c’était elle, mon père partait loin et longtemps !
De tout cela, je l’en remercierai toujours. Elle était toujours présente, quoi qu’il arrive, dans mes joies et mes peines d’enfant ou d’adolescent.
Présente pour les devoirs jusqu’au collège ou les réunions de profs au lycée, le retour de l’école en fin de journée ( le goûter), le soir je me souviens encore des bonne odeurs de cuisine du repas du soir fait avec amour. Et tout le reste, toujours bienveillante et discrete. mais ferme dans sa volonté de tout faire au mieux, et ce, jusqu’à notre envol pour une vie d’adulte ( et même a distance elle était toujours à l’écoute, si besoin). Tout cela n’a pas de prix. La contrepartie, pas de retraite.. Heureusement celle de mon père était correcte......
Les temps ont changé.
Hommage a eux.......

Merci pour votre beau témoignage @olivier. Si ça c’est le méchant patriarcat, alors va pour le patriarcat !