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Bac : à Versailles, l’usine à crétins tourne à plein régime

Les correcteurs pas assez indulgents menacés de sanctions

À Versailles, ils sont tenus d’être indulgents dans la correction de l’épreuve d’histoire, pour les copies sans plan ou sans problématique.

Le ton du message est comminatoire. Les professeurs d’histoire pas assez indulgents lors de la correction du bac 2015 « engageront (leur) responsabilité personnelle, encourant recours et sanctions ». Ce communiqué, publié sur le site de l’académie de Versailles le 14 juin – puis opportunément modifié mardi soir – par vingt inspecteurs pédagogiques régionaux, concerne l’évaluation de la nouvelle épreuve d’histoire-géographie des élèves de terminale scientifique. Puisque les heures de cette discipline sont plus faibles en section scientifique qu’en section littéraire, les correcteurs ne doivent pas être trop exigeants sur un plan méthodologique, expliquent-ils. Tant pis s’il n’y a pas de plan, pas de problématique ou pas de recul critique…

Ainsi, pour la « composition d’histoire », une introduction est attendue, mais « elle ne comporte ni problématique ni annonce de plan ». Une organisation de la démonstration en paragraphes suffit. Pour l’autre épreuve, « l’analyse de document », aucune introduction n’est nécessaire. « La présentation du document, d’essence universitaire, n’est pas demandée ». Là encore, « aucun plan n’est attendu. Le candidat peut, s’il le souhaite, analyser un texte de façon linéaire ». Enfin, nul besoin de « recul critique, si la consigne n’y appelle pas explicitement », indiquent les inspecteurs de Versailles.

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37 Commentaires

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  • #1211695
    Le 20 juin 2015 à 20:54 par Gerard John Schaefer
    Bac : à Versailles, l’usine à crétins tourne à plein régime

    "Puisque les heures de cette discipline sont plus faibles en section scientifique qu’en section littéraire..."
    Oui, mais y sont-elles tout aussi sombres ?

    Merde ! quand même ! ©

    Hé ! T’as qu’à rendre une copie toute noire comme du charbon, bien sombre, en joignant un mouchoir plein de pleurniche, comme ça, tu passes l’épreuve arts plastiques dans la foulée...
    coup double !

     

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  • #1211697
    Le 20 juin 2015 à 20:56 par Je ne suis plus là
    Bac : à Versailles, l’usine à crétins tourne à plein régime

    Génération "Je suis charlie" en même temps... il ne faut pas s’étonner et en demander beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup...

     

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  • #1211720
    Le 20 juin 2015 à 21:38 par babouin faché
    Bac : à Versailles, l’usine à crétins tourne à plein régime

    Je l’ai passé jeudi dernier en terminale S et c’était quand même très simple mais étant donné l’ignorance historique qui caractérise mes camarades scientifiques (contrairement à moi grâce notamment à ER et à mon envie de faire des études en histoire) je comprend qu’ils aient pû trouver ça dur au vu de leur inculture...

     

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  • #1211758

    Désolé, mais les profs sont choqués par ce nivellement par le bas. Je parle en mon nom, mais sans doute aussi en celui de nombre de mes collègues. Marre de ces consignes débiles, et des commentaires tout aussi débiles de ceux qui ne connaissent ni le métier, ni l’histoire, et qui trouvent leur petit plaisir et la justification de leur petite vie à critiquer tout le monde derrière l’anonymat de leur petit écran.

     

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    • #1211822

      Oui je connais également un professeur d’histoire d’un collège public, un passionné, pédagogue que les enfants écoutent sans rouspéter. Il manifeste en classe son ras-le-bol concernant le programme notamment celui de l’instruction civique et de la morale laïque autour du vivre ensemble, blablabla.

       
    • #1211842
      Le Juin 2015 à 08:04 par Gerard John Schaefer
      Bac : à Versailles, l’usine à crétins tourne à plein régime

      lol, lulu, désolé aussi, parce qu’à me souvenir de mes profs de lycée dans les 90’s du 9-3, en tant qu’élève, ou de mes ex-collègues de collège (toujours du 93, mais plus "défavorisé"), y’avait pas beaucoup d’admirateurs de Bossuet ou de Pascal, hein...

      Parce qu’au fond, au-delà des programmes, ce qui fait défaut, c’est la transmission des outils permettant de développer, d’articuler une pensée, de s’organiser, de se réaliser.
      Or, la plupart des profs sont paumés dans un tourbillon post 68.
      Ils ne savent pas pêcher eux-mêmes, mal nourris de poissons idéologiques.

      J’ai fait des études d’arts plastiques, titulaire d’une maîtrise universitaire, jusque et y compris ce cadre sinistré pire que dans Mad Max, aucun prof ne savait peindre, par exemple...
      Par contre, chacun avait sa p’tite idéologie, sa p’tite marotte hémorroïdale, ou son orientation girouette.
      C’est en séchant les cours pour aller dans les musées du Louvre et d’Orsay, gratos pour l’étudiant livré à son autodidactisme, que j’ai acquis volontairement les moyens, les outils.

      Au lycée, on a eu un remplaçant en Espagnol LV2, il était complètement ostracisé... très mal vu de ses collègues !
      Un véritable ovni dans cet univers inversé ! ça en dit long, de fait...

       
    • #1211860

      Pouvez-vous développer Gérard John Schaefer ? A la fois sur vos études d’arts plastiques et vos profs qui ne savent pas peindre et aussi sur le remplaçant d’espagnol ostracisé.
      Ce que vous dites m’intéresse et je suis curieux d’en savoir plus.

       
    • #1211901

      @jean du

      J’ai suivi également des études d’arts plastiques, comme shaefer, et c’était la même chose.

      Je vous fait part de mon expérience : des profs complètement à coté de la plaque, prenant les cours pour des séances de psy avec eux en guise de psy, et les élèves en guise de patients, le but étant "d’explorer et enrichir son parcours personnel".

      Donc en gros pour vous répondre, les cours consistent à vous forcer à faire une auto analyse de vos "oeuvres", et pas de vous apprendre à dessiner, à peindre, ou à sculpter, puisque eux mêmes en sont incapables.
      J’ai vu par exemple des étudiants, qui, après avoir pondu une merde ressemblant à du vomi, et avoir vendu leurs produit à la prof par un discours bien rodé, se sont vus attribuer la note de 20/20...
      C’est en effet ce qui m’a choqué, les profs d’arts eux même pour la plupart (il y a des exceptions), ne savent rien foutre de leurs dix doigts, et sont chacun enfermés dans leur petite idéologie, évidemment d’extreme gauche (la fameuse citation : "tout est art"... un tas de merde serait donc de l’art au yeux de ces gens) qu’ils exigent d’être comprise par les étudiants...

      Etudiants, qui, comme moi à l’époque, après un mois passé la dedans à essayer de déchiffrer leur langage abscons, a fini par laisser tomber et ne plus les prendre au sérieux lorsqu’ils participaient à leur cours, et ont fini par aller apprendre ailleurs par eux mêmes (l’illustration en ce qui me concerne).

      Les cours d’arts plastiques devraient plutôt s’appeler "psychologie de l’art" cela conviendrait mieux.

      De plus, non seulement ces profs ne savent rien créer, un comble pour des professeurs d’art, mais en plus ils se prennent pour des cadors, et le milieu dans lequel ces gens traine pue la merde je vous le dis clairement : arrogance, mépris de classe, nullité artistique mais promotion maximale à l’aide de réseaux internes... Le shéma habituel pour ces enfants nés avec une cuillère en argent dans la bouche.

       
    • #1211943
      Le Juin 2015 à 13:16 par Gerard John Schaefer
      Bac : à Versailles, l’usine à crétins tourne à plein régime

      @ jeandu

      Tout jeune trentenaire tombé du Ciel en remplacement de sa collègue attendant un heureux évènement -pauvre môme, lol- le prof d’espagnol, était un mix d’apparence "catho tradi", toujours bien mis, propre sur lui, mais avec une lueur à la Gerard Schaefer, justement, dans le regard, qui trahissait une intense vie intérieure, chez ce type toujours calme, et presque excessivement mesuré, avec à l’occasion, parcimonieusement, des piques d’humour abyssales.
      Il poursuivait d’ailleurs ses études, et sa thèse de doctorat était liée au Tribunal du Saint-Office de l’Inquisition, quelque chose de pointu dont je n’ai pas les détails.
      D’un niveau d’études supérieur à ses collègues, et plus globalement, intellectuellement et dans ses préoccupations à mille lieues de nos profs habituels, c’était quelqu’un d’ouvert, de disponible, à l’écoute.
      Même lorsqu’il prenait sa pause petit-pot-de-yahourt-petite-cuillière avec une intense délectation pincée.
      En gros, il suscitait une sorte de jalousie mêlée de crainte, de dégoût et d’incompréhension dans cet établissement public, de l’Éducation Nationale.

      On se préparait à passer un bac arts plastiques - littéraire, et pour une poignée, il représentait une insulte permanente aux autres profs qu’on avait plus du tout alors envie de voir. Un ange d’élite, punk-fasciste, si tu veux...

      Rayon arts plastiques, justement, il faut considérer qu’au 20è siècle s’est développée cette idéologie de l’Art Moderne.
      "Table rase du passé, notions de progrès et d’universalisme", pas besoin de faire un dessin quand aux instigateurs de l’embrouille.
      Artistes, critiques, théoriciens, marchands, collectionneurs, commissaires d’expositions, responsables institutionnels, organes de diffusion, tous concernés et confondus, on obtient un profil pas si "moderne", lol...

      @ lordy a bien expliqué le côté "cours", j’ajoute juste que personellement, j’ai commencé à peindre depuis le collège dans l’optique du graffiti new-yorkais, jusqu’à la fac, jusqu’à ce que ma pratique tourne en rond...
      Au cours d’une dicussion avec un proche qui s’intéressait davantage à la Peinture européenne des siècles passés, j’ai relevé le défi du "ça doit pas être si difficile techniquement, t’as vu ce que je fais avec des aérosols" lol

      Concrètement, il "suffit de" procéder par étapes, en respectant les fondations, comme on bâtit une maison... voilà une image juste.
      Mes "profs", des SDF en la matière.

       
    • #1212224

      et qui trouvent leur petit plaisir et la justification de leur petite vie à critiquer tout le monde derrière l’anonymat de leur petit écran.

      La critique est nécessaire quand l’auto-critique est absente. Vous dites êtres choqués, mais visiblement personne ne moufte. Vous attendez quoi pour faire vous indigner réellement et pas pester de votre ras-le-bol en salle des profs autour d’un café ?

      Vous me direz, à chacun sa façon de pester. Dans une salle des profs, ou sur Internet. Ma foi, ça ne change rien au problème.

       
    • #1212435
      Le Juin 2015 à 08:50 par Heureux qui, comme Ulysse...
      Bac : à Versailles, l’usine à crétins tourne à plein régime

      @ lulu

      Marre de ces petites personnes inféodées au pachyderme hirsute mais au pelage pourtant bien lisse. Marre de ces révolutionnaires de salon en velours côtelé mais obséquieux envers leur hiérarchie et qui émargent à Science-popo ou défilent en Charlots. Marre de ces pleutres laïcards, fades succédanés d’une tambouille républicaine qui pue la moraline de bobos émasculés et suinte la médiocrité. Marre de ces donneurs de leçons qui, à défaut de savoir faire la leçon, ont la prétention de revendiquer l’excellence des maîtres du passé mais ne leur arrivent pas à la cheville.
      Pour l’anonymat aussi, quand l’hôpital se fout à ce point de la charité, cela devient comique, jamais vu de zenseignants dans le réel, ils doivent vraiment être très discrets lorsqu’il s’agit de monter au front !

       
  • #1211785
    Le 21 juin 2015 à 01:06 par la pythie
    Bac : à Versailles, l’usine à crétins tourne à plein régime

    Pourquoi ne pas autoriser les élèves à se noter eux-mêmes ?

     

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    • C’est dangereux, une part non négligeable se maintiendrai en échec définitif pour ne jamais avoir à quitter la terminale.
      On risque un engorgément définitifs des écoles avec vieillissement des élèves et dévellopement des activités mafieuses.

       
    • #1211832
      Le Juin 2015 à 07:26 par Gerard John Schaefer
      Bac : à Versailles, l’usine à crétins tourne à plein régime

      Voilà, tu ne rends plus une copie réactionnaire-nauséabonde, mais un selfie de bogoss !

      Et le prof qu’est pas d’accord, tu le pourris sur les réseaux sociaux !
      Trop bogoss ! wesh, les boloss ?

       
    • #1211856

      Tu rigoles mais je me souviens bien qu’en cours de français une prof (proche de la retraite) nous faisait corriger notre dictée par notre voisin de classe.
      Et à la fin, elle faisait l’appel et demandait les notes de chacun.

      Sur le coup ça m’avait pas choqué car j’étais jeune collégien un peu niais mais avec le recul je trouve la méthode grotesque et le je-m’en-foutisme de la prof absolument scandaleux.

       
    • #1211930

      Pourquoi ne pas autoriser les élèves à se noter eux-mêmes ?




      Je suis pere d’un enfant en classe de 6e dans un college (jugé recommandable), donc je confirme que l’auto-correction et aussi correction entre voisins est une pratique courante, mais non (encore) systematique.
      J’ai été stupefait de constater que non seulement les copies etaient outrageusement surnotées entre eux... mais aussi que, de temps en temps, la notation n’etait pas objective... c’etait selon les affinités au sein de la classe.

      Jamais de notes sous la moyenne evidemment... l’autorité décandente amenant la possibilité de contester.
      Le corps enseignant dudit college appelle ça « la responsabilisation de l’eleve ».

       
    • #1211954

      Comme dans un jury d’inspiration maçonnique ? celui-la est pas apprécié, on lui mettre un mauvaise note, héhé, allez pein de mort même.

      Si il n’y pas de vérité alors oui la jungle.
      Si la qualité existe, ben faut évaluer avec des gens compétents et le plus objectif !

       
  • #1211824

    Trouver vous normal que l’on ne demande pas une maitrise historique pointue à un scientifique ?

    Formulée différement, la majorité des commentateurs répondent non.

     

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    • #1211859

      Définissez "maîtrise pointue".
      Parce que savoir faire une intro et un plan j’appelle pas ça "maîtrise pointue de l’histoire".

      Mais soit, vous avez raison. Les littéraires ont tout juste besoin de savoir compter, multiplication et divisions, ils ont les smartphone pour ça. Les scientifiques n’ont pas besoin de maitriser le français, le language sms est amplement suffisant pour résoudre une équation.

      Nous devrions même envoyer les enfants des leur plus jeune age dans des écoles spécialisées pour leur futur travail. Apres tout, l’école nous enseigne tout un tas de choses inutiles.
      A quoi bon connaitre l’histoire pour ceux qui ne sont pas historiens ?
      A quoi bon comprendre comment fonctionne l’électricité si t’es pas électricien ?
      Thales, pythagore, P = mg, U = RI , Ec = 1/2 MV², ne sont pas utiles pour tes enfants qui loueront leurs bras et leurs ventres à des usines manufacturières, ou des usines à bébé. Quelle différence demanderont certains.

      Envoie tes enfants à l’école, parle leur du vivre ensemble, de droits et de progrès.

      Mais je ne suis pas d’accord avec ce raisonnement. Et je pense que ma caricature t’en montre bien tous les défauts. A être trop spécialisé on en devient incapable. Dans l’antiquité, au moyen-age et encore à la renaissance, les scientifiques étaient aussi poètes, philosophes, hommes politiques, commerçants etc etc. Et c’était justement le fait qu’ils fassent beaucoup de choses différentes qui les rendait réceptifs au monde et qui leur permettait de faire de grandes découvertes (tant sur le plan scientifique que philosophique par exemple).

      Plus proche de nous, il y a Einstein, qui a publié plusieurs articles, la même année dans des domaines complètement différents, et qui ont marqué leur temps. (N’étant pas spécialiste du sujet, je me garderai bien d’essayer de développer).

      Mais aujourd’hui, nous sommes dans un monde de spécialistes, où une maison se construit après le passage successif de 10 corps de métiers différents et tous parfaitement incapable de replanter un clou mal enfoncé par le précédent corps.
      Est-ce le monde auquel vous aspirez ?

       
    • #1212007

      Un beau passage de "La lettre volée" d’Edgard Poe, en parlant du Ministre qui a subtilisé la lettre, et qu’on ne retrouve pas :
      "il est mathématicien ET poète. S’il n’avait été que mathématicien, il n’aurait pas raisonné du tout"

      L’hyper-créativité des Français du 19eme et de la moitié du 20eme laisse songeur.

      Viréz vos télés, lisez les Classiques.

      Bon texte de Gerard John Schaeffer.

       
    • #1212443
      Le Juin 2015 à 09:23 par MerciSeigneur
      Bac : à Versailles, l’usine à crétins tourne à plein régime

      @jeandu
      La spécialisation est inévitable.Elle permettra à chacun de trouver sa voix(intersection du talent,de la passion,de la nécessité et de la conscience).C est juste la suite logique de l’ère industrielle et je pense dire sans me tromper qu il est grand temps de quitter cette triste période industrielle pour enfin sortir de l état d esprit "les autres sont des choses" .
      Les ouvriers de l ère industrielle étaient remplaçables,les ouvriers spécialistes sont trés difficilement remplaçables,il faudra donc bien les payer,les traiter aimablement,donner un sens à leur travail,donner libre court à leur créativité.
      On aura enfin des gens compétents qui feront le metier qui leur correspond.
      Pour la première fois l homme aura la possibilité de choisir,mais il n est pas encore prêt,il préfère suivre pour le moment.
      Bien à vous.

       
  • #1211876
    Le 21 juin 2015 à 09:57 par Heureux qui, comme Ulysse...
    Bac : à Versailles, l’usine à crétins tourne à plein régime

    vingt inspecteurs pédagogiques régionaux

    Traduction pour les profanes : vingt frères la truelle qui vont chercher en loges leurs instructions auprès de ceux qui écrivent aussi les programmes scolaires.

     

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    • #1212226

      L’art de la synthèse chez ce cher Heureux qui, comme Ulysse...

       
    • #1212437
      Le Juin 2015 à 09:12 par Heureux qui, comme Ulysse...
      Bac : à Versailles, l’usine à crétins tourne à plein régime

      @ MaxC

      Marrant que vous me disiez cela, je me souviens avoir retourné tout un amphi’ contre l’attaché parlementaire d’une politichienne très connue qui avait eu l’outrecuidance de s’engager dans l’arène sans être équipé pour. Après les deux heures de billevesées vomies avec l’ardeur et l’assurance du crétin qui s’ignore, j’avais si bien "synthétisé" l’intervention de l’aboyeur que celui-ci n’était jamais revenu...

       
  • #1211982
    Le 21 juin 2015 à 14:13 par chris 777
    Bac : à Versailles, l’usine à crétins tourne à plein régime

    Ils peuvent bien donner le bac a tout le monde ,de toute façon ,il n’y aura pas de boulot a la sortie...

     

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  • #1211996
    Le 21 juin 2015 à 14:48 par la pythie
    Bac : à Versailles, l’usine à crétins tourne à plein régime

    L’école française ressemble au cinéma français, qui lui-même ressemble à la littérature française, laquelle ressemble comme deux gouttes d’eau au personnel politique français etc. un gigantesque chantier de démolition - certes, contrôlée-, une agonie entamée depuis 30 ans et qui n’en finit pas !
    Rien ne viendra même ralentir la chute, tout sera détruit, selon la prophétie de Francis Cousin...Qui le contredira ?

     

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  • #1212440

    Un diplôme c’est comme une bouteille et ça ne vaut que par ce qu’il y a dedans. Quand ce qu’on y met est de qualité de plus en plus médiocre ça devient imbuvable et fini même par devenir toxique. la France est intoxiquée par ce que distille ’l’éducation nationale’ devenue une espèce d’élevage de crétins/nnes procéduriers/ières destinés/ées à la traite en batterie dans un casino truqué. ’Car pour être pétrie, une terre doit restée molle’...

     

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