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Banques européennes : plus de 72 000 suppressions de postes en quelques mois

La banque Nordea vient d’annoncer la suppression de 2.000 postes, soit 6% de ses effectifs. Le triste bilan des banques européennes s’alourdit encore.

Après ABN Amro, Nordea alourdit l’ardoise des licenciements au sein des banques européennes. La banque nordique a annoncé, ce lundi dans un communiqué qu’elle se séparera d’environ 6% des 34.000 postes occupés au sein de la compagnie, soit 2.000 postes. Ces suppressions concerneront le Danemark, la Suède, la Finlande et la Norvège, pour des suppressions allant de 200 à 650 postes suivants les pays.

Dans la mesure du possible, la principale banque nordique précise qu’il s’agira de départs à la retraite non remplacés et de départs volontaires de certains salariés, d’ici à la fin de l’année prochaine. L’organisme ajoute que les suppressions de postes s’effectueront au sein même des pays nordiques.

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3 Commentaires

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  • #42517

    j’ai l’impression de lire le meme resume que la suppression de postes des us post aux etats unis :



    il s’agira de départs à la retraite non remplacés et de départs volontaires de certains salariés




    meme politique, memes decisions, dans n’importe quel secteur.

     

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  • #42639

    Il faudra un jour que le peuple regle une fois pour toute le conflit d’intèret qui l’oppose aux banques. Mettre dans la constition française " seul l’etat à le pouvoir sur la création monétaire" serai fantastique.
    Déja que les banques gagnet de l’argent à partir de rien, et en plus il licencie, c’est scandaleux.

     

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  • #42654

    La situation économique est devenue intenable. Ça tangue dur entre les financiers et Lagarde, c’est dire !!! Le calme à la Bourse et sur les indices du CAC 40 n’est qu’apparent. Le secteur bancaire soulève à nouveau des craintes... Armageddon est proche. C’est à présent le niveau de provision des banquiers et des assureurs qui interroge le marché. Les différents établissements ont en effet provisionné leurs comptes du deuxième trimestre pour se couvrir contre la dépréciation des obligations souveraines grecques qu’ils détiennent : 640 millions d’euros pour Crédit Agricole, 268 millions d’euros pour Société Générale, 158 millions d’euros pour La Banque Postale ou encore 92 millions d’euros pour Axa. Ça c’est pour les fonds propres. L’impossibilité de la Grèce de rembourser c’est le premier effet Kiss Cool. Et comme il n’est plus question de faire avaler par les États l’intégralité de cette bulle financière, le dernier recours passe par le partage du fardeau avec les établissements financiers, d’une manière bien plus ample que celle prévue par le sommet du 21 juillet dernier. La mutualisation de cette dette via l’émission d’euro-obligations est complètement obsolète. Cette mesure permettrait juste de la contenir plus aisément, mais la faiblesse durable de la croissance économique ne permettrait toujours pas de la résorber. D’autant que se profile à l’horizon, le deuxième effet Kiss Cool : les gigantesques besoins de fonds de roulement. Les emprunts et les prêts vont se raréfier. La restructuration du système financier et la réduction de la masse des capitaux sans correspondance avec « l’économie réelle » reviennent au premier plan. Comme un entêtement de l’Histoire. C’est la dernière carte qu’ils peuvent encore abattre pour que l’économie puisse repartir sur des bases saines. Je doute que Londres accepte quant à Tel Aviv, la question ne se pose même pas, aveuglés qu’ils sont par leurs visions millénaristes…

     

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