Une amélioration de la survie pour la plupart des cancers est soulignée par un rapport sur plus de 420 000 personnes diagnostiquées entre 1989 et 2007, rendu publique jeudi.
Cette amélioration peut être attribuée au progrès dû aux traitements pour certains cancers mais aussi, pour une grande part, à un diagnostic plus précoce facilitant souvent la prise en charge, selon le rapport Survie des personnes atteintes de cancer en France, 1989-2007.
Ce document de 409 pages « confirme » que la survie des personnes atteintes de cancers varie considérablement selon la localisation cancéreuse : la survie 10 ans après un diagnostic varie ainsi en moyenne de 1 % pour le cancer de la plèvre appelé mésothéliome à 93 % pour le cancer du testicule.
Les cancers de mauvais pronostic (survie à 10 ans inférieure à 33 %) représentent 40 % des cancers chez les hommes et seulement 16 % chez les femmes.
Les cancers de bon pronostic (survie à 10 ans supérieure ou égale à 66 %) représentent 52 % des cancers chez les femmes et seulement 28 % chez les hommes.
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