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Cortex, ou la monstrueuse créature de la gauche "antiraciste" et de la droite consumériste

"Les gens me disent, ralala, tu viens de donner 10 000 voix au FN... Pfff... C’est ta mère à qui j’ai donné 10 000 coups de bite, sale batard de facho !"

Cortex, rappeur, poète, artiste français

En d’autres temps, Sébastien Gozlin, né dans les banlieues d’Île-de-France, orphelin de mère à cinq ans, aurait été pris en charge par la République, élevé dans le culte de l’effort et le respect pour cet Etat qui prenait soin de lui. Peut-être serait-il devenu un honnète travailleur, un universitaire réputé, un père de famille aimant, un fonctionnaire consciencieux. Né en 1981, juste après l’arrivée de François Mitterand à l’Elysée, il est devenu Cortex. Une caricature de rappeur qui compense son inculture et sa nullité artistique par des vidéos chocs diffusées sur internet et par lesquelles, dans un français très approximatif ponctué de termes orduriers, il insulte, en vrac, la France, les autres rappeurs, les personnalités téléviselles, les partis de droite, les homosexuels, les femmes. Ce très lourd échec est celui de la France, et surtout de ceux qui l’ont dirigée au cours des 30 dernières années.

De l’antiracisme à la haine de la France

En 1983, alors que Cortex n’a que deux ans, la France amorce un virage d’une importance encore sous-estimée : renonçant au socialisme et aux nationalisations, François Mitterrand fait le choix de l’Europe et du libéralisme économique. Pour remplacer les électeurs des classes populaires, trahis et désapointés, la gauche française se cherche une cause et un électorat de substitution. Ce sera le début de la politique "antiraciste", lancée à la demande des socialistes au pouvoir, qui ont tout à y gagner.

Premièrement, l’idéologie "antiraciste" apporte à la gauche une nouvelle caution morale. D’autre part, elle lui apporte les voix des enfants d’immigrés, un électorat non négligeable. Enfin, elle provoque une réaction conservatrice qui fait émerger le Front National, permettant ainsi de couper la droite en deux.

"Marche des beurs", création d’associations (SOS Racisme, Ni Putes Ni Soumises et SOS Homophobie), Loi Gayssot-Fabius contre le racisme... les années 1980 et 1990, celles durant lesquelles grandit notre rappeur, pullulent d’initiatives destinées à servir cette politique. Pour des résultats brillants : le 21 avril 2002, la montée des haines et des revendications communautaires.

Cortex est l’exemple vivant de l’échec de cette politique qui, loin de combattre effectivement le racisme, a développé l’idée dangereuse que la France était un Etat raciste que les immigrés devaient craindre, et que de fait toute attaque contre un immigré était d’origine raciste.

Notre jeune rappeur noir en a tiré les enseignements, puisqu’au nom de cet "antiracisme", il "baise la France", "baise l’Etat français", "nique la France", pays raciste. S’inscrivant totalement dans cette logique victimaire, Cortex assimile toute critique contre lui à du racisme ou du fascisme. "Moi, je suis antiraciste, donc si tu m’aimes pas, c’est que t’es un raciste", avait-il déclaré sans gêne.

La France étant raciste, tous ses représentants et défenseurs se doivent de l’être. À commencer par les policiers, les "keufs", sur lesquels Cortex explique vouloir "tirer à sec". Dans cette même logique, Cortex "pisse sur la tête de tous les ministres", et s’en prend à tout patriote un peu trop zélé. Ainsi de "la pute Eric Zemmour", que Cortex se propose d’enculer. Ainsi aussi, bien évidemment, de Marine Le Pen, qui "fait des tournantes avec les Noirs et les Arabes", de son père "Jean-Marie le cochon" ou de maitre "Gilbert Connard". Ainsi enfin de Fabrice Eboué, "la grosse bouée", coupable d’avoir, dans un sketch humoristique, cassé un petit minaret. Donc raciste, donc fasciste.

Et que dire du peuple français, ces Blancs dont le rappeur se vante de "tartiner la soeur et les filles", tous assimilés à "des skins et des fachos" ?

Cet "antiracisme" calamiteux, qui pousse à la haine et la victimisation, a un responsable clairement désigné lorsque Cortex fait l’éloge de Ségolène Royal, de Martine Aubry ou de Dominique Strauss-Kahn, qui peuvent être fiers de ce genre d’électeur fidèle qu’ils se sont créés.

Misère identitaire

Cortex, en bien plus caricatural et monstrueux qu’eux, est hélas le triste symbole de ces jeunes tiraillés entre plusieurs cultures sans en connaitre aucune, et cherchant désespérément à se construire une identité de substitution. Ils ne peuvent pas se sentir français, puisque la France évoque ce pays raciste qu’on leur a appris à détester. Ils fouillent alors dans leurs origines, leur religion, leur ethnie, de quoi compenser cette pauvreté identitaire - en vain.

Cortex ne sait pas non plus où il en est. Cortex est noir. Il le revendique fièrement, ressortant au passage les pires clichés véhiculés sur ce groupe (se qualifiant de "gorille", le rappeur vante régulièrement sa "grosse b*te de renoi"). Mais ça n’est pas une Nation.

Cortex, alors, se revendique algérien. Il n’en a pourtant aucun trait. Mais puisque la majorité des immigrés en France le sont, il suit la mode. C’est ainsi que l’on a vu Cortex afficher fièrement le ridicule t-shirt montrant la France aux couleurs du drapeau algérien.

Cortex est musulman, aussi. Ou tout au moins, il le revendique régulièrement, parce que c’est l’identité à la mode dans sa banlieue. Pourtant, Cortex boit de l’alcool et en est fier, se vante de "tartiner une pute par soir", encourage le vol et l’agression violente - tout cela n’étant pas très pieux. Mais se proclamer musulman, n’est-ce pas un moyen bien confortable de se racheter une vertu et de se sentir appartenir à un groupe solidaire, parce que supposé victime de racisme ?

Cortex, enfin, fonctionne en termes racistes - ultime paradoxe de l’idéologie "antiraciste" dont il se revendique ! Ainsi divise-t-il les gens en "renois", "rebeus", "Français" (comprendre : "blancs"), "Chinois" (comprendre : "jaunes"), "Gitans" (comprendre : "Européens de l’est"). Cette séparation inconsciente qui est effectuée démontre un profond malaise : comme si le Français ne pouvait être que blanc et raciste, comme si le rappeur, parce que noir, excluait toute possibilité d’être français.

Un "rebelle" au service de la société de consommation

Tout en se qualifiant de "Robin de Bois", Cortex représente en réalité le consommateur décculturé tel que le rêve le capitalisme. Abruti par une gauche qui, au nom de "l’antiracisme", l’a empêché d’accéder à la culture française, il devient la proie d’une droite capitaliste qui profite de cette inculture pour lui faire absorber sa publicité.

Ainsi du culte de l’argent : Cortex ne cache pas son admiration pour les riches, à condition qu’ils se soient enrichis de façon immorale ou imméritée : du trader Jérôme Kerviel au pitre de télé-réalité Mickael Vendetta, le rappeur défend tous ces gens pour la simple raison qu’ils ont "fait du gros pognon", ce qui serait digne, selon lui, d’admiration. On admire là une pensée formatée par l’esprit individualiste, qui place l’argent en valeur suprême.

Cortex vante pareillement le trafic de drogue, qu’il assimile, par connerie plus que par malhonnèteté, à une lutte du pauvre contre le riche - alors même que la drogue, comme l’avait compris feu Georges Marchais, permet d’abrutir les plus pauvres et de les soumettre à la prédation sociale.

Inculte, drogué, américanisé, sans culture, sans valeurs, sans morale autre que l’argent : Cortex représente la parfaite victime de la société de consommation. Un conformisme qui, comble du vicieux, se dissimule derrière l’apparence de la rébellion. Dans le fond, si les années Mitterrand ont plongé Cortex au fond du trou, les années Chirac l’y ont maintenu avec plaisir. Une situation d’autant plus triste qu’elle touche aujourd’hui des millions de jeunes, notamment les plus pauvres, dans nos banlieues.

En fin de compte, le phénomène Cortex, insignifiant en lui-même, est terrifiant dans ce qu’il symbolise : une jeunesse, souvent pauvre, souvent immigrée, que l’on a parquée dans les banlieue. À qui l’on a refusé toute culture française, vue comme bourgeoise, par idéologie. Que l’on a élevé à quelques grandes leçons : la France est raciste, et chacun doit revendiquer son identité, même fantasmée, contre elle ; l’argent est la seule voie de la réussite. On a appris à Sébastien Gozlin que la lecture, le respect des professeurs, l’autorité, l’Etat, l’effort, le travail, le patriotisme, c’est mal. On l’a transformé de fait en Cortex, rappeur plein de cette haine qu’on lui a inculquée.

Il est facile, aujourd’hui, de lui taper dessus. Il est encore plus facile, et totalement minable, de se servir de son cas pour illustrer des théories racistes. Mais il faut bien voir que Cortex, dans le fond, est une victime. Pas une victime de la France, comme lui ont appris certains politiciens. Mais une victime de ces derniers qui, en le coupant du peuple et de la culture française, en nourissant en lui des sentiments de haine, en ont fait ce qu’il est devenu. Avoir créé de tels monstres restera sûrement le pire crime des idéologues de l’antiracisme et de la société de consommation, cousins.

Aurélien Denizeau

 






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71 Commentaires

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  • François Mitterrand fait le choix de l’Europe et du libéralisme économique




    François Mitterrand n’y est pour rien. Dans les autres pays, les autres dirigeants prenaient la même direction que lui, au même moment. Si un autre que François Mitterrand avait été élu, ça aurait été exactement pareil, car pour qu’un type soit élu, il faut qu’il soit dans l’ère du temps. Il n’est pas un élément isolé qui s’auto-détermine et entraine le reste du pays avec lui envers et contre tous. Il est un des produits de la société dans son ensemble. Il serait donc peut-être judicieux d’oublier François Mitterrand et de se demander quelles sont les causes plus globales qui ont mis notre société dans cet état. Sinon autant s’abstenir de se moquer de Cortex.

     

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    • Je crois au volontarisme politique (le Général nous en a donné de beaux exemples) et réfute la thèse selon laquelle "c’est pas la faute de Mitterrand parce que ça vient de plus haut etc." Il a tapiné pour d’autres intérêts que ceux de la France et c’est un connard (hors sursauts comme celui de l’interview de 94), point barre. Il ne faut pas tout penser au niveau de la structure ! Sinon pour Cortex, et dans la même veine, cet imbécile est aussi responsable de la profondeur de sa bêtise que les politiciens de la société dans laquelle il est né.

       
    • #67806

      Je refuse cette analyse un peu facile : "parce que les autres le font, il est normal qu’il l’ait fait".

      D’abord, seuls les autres dirigeants EUROPEENS faisaient les mêmes choix que lui. Or, la France a toujours su dépasser le cadre de l’Europe pour s’ouvrir à l’ensemble du monde. Ensuite, Charles De Gaulle avec l’OTAN, ou même Jacques Chirac lors de la guerre en Irak, ont su agir différemment du reste des dirigeants européens.

      François Mitterrand aurait pu écouter Jean-Pierre Chevènement, qui le dissuadait à l’époque de suivre cette voie. Donc, il a certes agit dans un contexte global, mais il n’en reste pas moins coupable et responsable.

      Bien cordialement

       
    • Il y a toujours deux niveaux d’analyse, le niveau individuel, et le niveau global. Individuellement, un jeune ado qui écrit en SMS le fait parce qu’il ne se donne pas la peine de s’appliquer. Mais d’un point de vue sociologique, il est engendré par son époque. A son époque, des millions d’autres font comme lui. Avant son époque, pas un seul ne le faisait. Son professeur aura bien raison de lui mettre un zéro en dictée et de l’engueuler, car il est "coupable". Pourtant si on veut que les ados n’écrivent plus en SMS, il ne suffira pas de leur demander de ne plus le faire, tout comme on ne leur a pas demandé de le faire pour que ce style d’écriture apparaisse. Il est apparu sans que personne ne le demande explicitement. Mais il n’est pas apparu tout seul, il y a eu des causes qui l’ont engendré. Si on ne se débarrasse pas de ces causes, alors il sera vain pour les professeurs de faire la morale à leurs élèves : on verra toujours ce style d’écriture. Il en est de même en politique. La politique est le fruit des hommes, et les hommes et leur pensée sont le fruit du contexte sociologique de leur époque. Ce contexte comprend les hommes mais ne se limite pas à eux. Si nous ne faisons qu’accuser les hommes en les considérant comme des entités indépendantes auto-déterminées, alors on ignore forcément une bonne partie du problème, ce qui implique qu’on ne pourra pas résoudre le problème. Je ne sais pas qui sera le président de la République en 2012 ou en 2017. Mais je sais, par exemple, qu’il ne voudra pas sortir le pays de la société de consommation, ou interdire l’homosexualité, ou rendre le voile obligatoire pour les femmes. Je le sais parce que notre époque ne permet pas cela, et quelqu’un qui aurait cette idée ne pourrait pas être élu. La population protesterait vigoureusement et ne l’élirait pas. A d’autres époques, il en aurait été autrement. Il y a 100 ans, ça ne gênait personne que l’homosexualité soit interdite par la loi, et celui qui aurait espéré se faire élire en promettant de la légaliser aurait eu bien du mal. Nous pensons globalement contre notre époque. Et notre époque est constitué par l’ensemble des éléments qui interagissent entre eux dans la société : les hommes, mais aussi tout ce qui interagit avec eux : les outils technologiques, les moyens de transport et de communication, l’argent, l’économie, le climat, etc. Nous ne sommes pas indépendants de tout cela. Notre environnement nous façonne en bonne partie.

       
    • #67914

      Fred, il y a une différence essentielle avec les exemples que vous donnez, et le cas Mitterrand : c’est que la population française était tout à fait prète à accepter un socialisme souverainiste, plutôt que le libéralisme européen. Peut-être y aurait-il eu des divergences, mais pas tant que ça. On disait déjà, auparavant, qu’il serait impossible à De Gaulle de quitter le C M I de l’OTAN !

      Par ailleurs, quand bien même le poids du contexte général pèserait, il faut dire dans ce cas que ça atténue les responsabilités de Mitterrand. Pas que Mitterrand y est "pour rien", car cette politique résulte d’un choix qu’il a fait librement.

       
    • Aurelien362 : Voulez-vous dire que si Mitterrand avait fait le choix du socialisme souverainiste, on y serait encore ? Cela me semble extrêmement peu probable. Les pays modernes prennent tous plus ou moins le même chemin. L’antiracisme, les "cortex", et autres joyeusetés modernes peuvent se trouver dans à peu près tous les pays qui en sont à un stade avancé du capitalisme. On est bien obligé de faire une analyse sociologique de ces phénomènes de masse, une analyse qui ne consiste pas à faire la liste factuelle de qui a décidé quoi. Je prends le pari avec vous que la peine de mort sera bientôt abolie aux Etats-Unis, qu’il y aura bientôt une Gay Pride au Maroc, que la Chine légalisera bientôt la pornographie, etc. Pourtant, je ne sais pas qui seront les futurs dirigeants de ces pays, quelles seront leurs personnalités, et quelles décisions ils vont prendre. Je sais par contre que la machine globale des sociétés capitalistes prend toujours ce genre de direction à un moment ou un autre, et la situation économique de la France obéit aussi à cette machine globale. On ne dirige pas l’économie parce que l’économie et sa forme sont engendrés par la structure capitaliste de la société. C’est la nature même du capitalisme qui impose de faire toujours plus de profits, plus de croissance, et de battre la concurrence sous peine d’être battu soi-même. Il est impossible de faire autrement tant que l’on reste dans ce système. Plus exactement, ça devient impossible à partir d’un certain stade d’avancement dans le capitalisme. Si c’est impossible, alors ça l’est aussi pour Mitterrand. Quand un prochain président des Etats-Unis abolira la peine de mort, vous penserez que sa décision vient de lui, qu’il possède un libre-arbitre pur sur lequel rien n’a d’influence. Pour ma part, je crois que la machine globale de la société américaine est sur le point d’engendrer un président qui prendra cette décision. Ceux qui seront déçus auront beau le lui reprocher, la véritable cause de l’abolition de la peine de mort sera ailleurs. Si la décision de Mitterrand était uniquement liée à son libre-arbitre, alors elle aurait pu surgir n’importe où et n’importe quand dans l’histoire. Mais on voit bien qu’elle ne surgit qu’à notre époque, dans de nombreux pays, quasi-simultanément. Sacré coïncidence que tant de gens prennent tous les mêmes décisions, au même moment, dans divers pays du monde, au bout de 200 000 ans d’histoire, et pas une seule fois avant.

       
    • #68152

      Je ne sais pas, Fred, si on y serait encore. Mais force est de constater que si l’on y est, c’est parce qu’il a fait ce choix. S’il l’avait refusé, il n’aurait pas été tué, il n’aurait pas mis la France en guerre. Non, il a choisi, librement, d’engager la France sur la voix de l’européïsme libéral. Suivant certes une grande tendance de l’époque, mais De Gaulle, lorsqu’il a quitté le CMI de l’OTAN, n’a pas hésité à aller contre les tendances de son époque...

       
    • Tout comme Sarkozy va contre la tendance de son époque lorsqu’il crée la loi HADOPI, qui sera obligatoirement abrogée dans peu de temps tellement il est de bon ton d’être contre cette loi. Une tendance dans la société, c’est une tendance, c’est-à-dire que 100% des gens ne basculent pas d’un coup d’une position à une autre, comme si on appuyait sur un bouton pour déclencher le changement. Mais le mouvement global se fait petit à petit. Dans 10 ou 15 ans, je pense qu’il y aura peu de gens à l’UMP qui seront contre le mariage gay, par exemple, même si aujourd’hui, beaucoup de gens dans ce parti semblent très hostiles à cela. Ces gens vont finir par prendre leur retraite et être remplacés par des plus jeunes, qui auront une pensée plus "à jour". Bien sûr, il y aura toujours des gens contre le mariage gay, parce qu’aucun mouvement de masse ne peut affecter tout le monde. La preuve, c’est que même à notre époque hyper-moderne, il existe des gens qui militent pour le retour à une civilisation primitive dans laquelle on vivrait comme les premiers hommes. Mais personne ne peut réussir à imposer cela au reste de la société, parce que c’est totalement à l’opposé du mouvement dominant de la société. Un mouvement qui est le résultat de quantités de facteurs qui dépassent largement l’individu, fut-ce un individu au pouvoir.

       
    • #68198

      Donc, les dirigeants politiques n’auraient aucun compte à rendre sur leur action, à cause du contexte dans lequel ils la mènent ?

       
  • #67818

    Il faut le prévenir au lieu de le lyncher. Le type n’a pas l’air très intelligent. Il est peut-être un outil mais il ne le sait pas. Il faut le réveiller et le prévenir de ce qu’il ne sait pas.

     

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  • #67838

    bon sans commentaires et c’est le résultat de l’éducation nationale...
    c’est bien au moins on sait à qui on a affaire ,un idiot utile du système, avec ce qui vient il crachera beaucoup moins à la gueule de la France qui l’a nourrit et fait grandir. Amis idiots utiles à vos mouchoirs c’est pour bientot.

     

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  • #67848

    Mais ferme ta gueule à tout jamais Crottex  !

    Espèce de Robin de Palais, il crache sur les femmes de ménage, pour défendre le satyre DSK.

     

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  • on connait le bonhomme, mais pour l’article je ne suis pas certain qu’un membre de la troupe de ce bozo puisse lire le francais s’ils tombent dessus. Cortex est le negre de la ville de DSK, seba parle de ce genre de mec comme de negre et cortex est un negre qui defend et soutient dsk... Pour son buisness, c’est trafique : d’arme, de drogue, clips "musicaux" pour blanchir le pognon et un resto aussi : son kebab sans client, c’est vieux comme le monde de blanchir le fric avec un resto a la mord moi le noeux. Tout est creux chez lui : la tete, ses chansons et son resto, pas de famille, des faux amis, pas d’honneur, enfin bref que du bonheur pour moi. Merci cortex.

     

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  • En 1983, alors que Cortex n’a que deux ans, la France amorce un virage d’une importance encore sous-estimée : renonçant au socialisme et aux nationalisations, François Mitterrand fait le choix de l’Europe et du libéralisme économique.




    Traumatisme dont il ne se remettra jamais....

     

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  • solex ,spontex..représente sur mon bultex avec un verre duralex..
    voila c’est tout.

     

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  • #68123

    Mr Soral dénonce dans ses prises de paroles le fait que les personnes mises en avant par le système , quelque soit la profession (journalistes, politicars ...ect), sont en général sélectionnés pour servir ce même système .
    Cortex c’est personne ,cortex c’est pas le rap ... Je crois d’ailleur que vous êtes un des seul site à lui faire tribune . Pourquoi ?
    Mr Soral, vous vous méprisé sur la culture hip-hop , qui je peux vous l’assurez est respectable est utile .Vous n’avez pas pour habitude de tirer des conclusions hâtives en général , prenez donc le temps de vous y intéressé .Ce genre de raccourci a tendance à mettre dans un même sac idiots utiles et véritable artistes oeuvrants au quotidien .
    Etant vous même issu de la culture PUNK et moi même n’appréciant guère celle-ci , ce n’est pas pour autant que je vous ai fermé les portes de mon attention .

     

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  • .....Cher Aulien,

    En quelques lignes, vous venez de résumer le conteste dans lequel j’ai vécu quasiment toute ma vie et dans lequel je n’étais pas à l’aise, sans pouvoir expliquer pourquoi à l’époque.

    Simplement , merci.

     

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  • Cortex, cortex...

    A chaque visionnage d’une de ses vidéos, je deviens violent, je n’arrive plus à dormir tellement il me répugne.
    Ce gars finira mal.

    Il faut préciser qu’il est nourri dans sa haine, par une horde de forumeurs du 15 18 de jv.com qui l’insultent de nègre etc.. dans les commentaires.

    Ce mec fait bien plus de vues que soral.

     

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