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Covid-19 : les vrais chiffres de l’occupation hospitalière en 2020

L’agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH) a sorti un rapport d’analyse sur l’impact du Covid-19 sur les hospitalisations durant l’année 2020. Ce rapport a notamment révélé que durant l’année 2020, les hospitalisations pour cause de Covid-19 n’ont finalement représenté que 2 % de l’activité hospitalière sur l’année. La lumière a été braquée sur ce rapport lorsque Martin Blachier l’a évoqué sur LCP, dans l’émission Ça vous regarde du 9 novembre 2021. La presse s’est bien évidemment empressée d’enterrer les résultats de ce rapport pour éteindre cet incendie qui menaçait de brûler l’histoire officielle.

 

Ce rapport a été enterré un peu vite et, surtout, l’autre rapport concernant l’activité totale des hospitalisations en 2020 a été passé sous silence. La vidéo nous montre que non seulement l’activité Covid-19 à l’hôpital est très loin d’avoir ressemblé à l’image que les médias ont voulu véhiculer, mais qu’en plus l’hôpital français n’a jamais été autant sous-utilisé qu’en 2020 !

Les lecteurs désirant lire les chiffres et voir les graphiques pourront se référer à cet article d’Agoravox

 

La tiers-mondisation de l’hôpital :

 






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22 Commentaires

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  • #2851453
    Le 27 novembre 2021 à 07:37 par shoushashounah
    Covid-19 : les vrais chiffres de l’occupation hospitalière en (...)

    Devant cette indiscutable imposture qui va finir par se savoir, si le Pouvoir invisible veut garder la main et protéger ses ouailles du Pouvoir visible, il va lui falloir comme on s’en douterait détourner l’attention...

    Par quel moyen je vous laisse deviner, on commence à connaître la musique.

     

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  • #2851464

    Au moment où ils nous annoncent une 5ème vague, ils nous sortent ça.
    Genre on s’est bien foutu de votre gueule et en revoilà une tartine !

     

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    • #2851752

      Les vagues, les variants, tout ça correspond plus à un agenda politique qu’a autre chose, il n’y a que les crédules qui n’ont toujours pas compris.

       
    • #2852342

      Le scénario suit son cours et c’est eux qui l’écrivent.
      Le système financier et capitaliste est à bout de souffle, il ne s’est pas non plus remis de la crise de 2008. Tout comme autrefois où une "bonne guerre à la Papa" permettait de relancer la machine (et maintenait au pouvoir ceux qui le détiennent vraiment), nos "maîtres du monde" (Bilderberg-trilatérale-Davos etc) nous ont concocté une 3ieme guerre mondiale d’un nouveau type, l’ancien modèle (ayant permis par 2 fois au monde anglo-saxon de s’en tirer à moindre frais) n’étant plus approprié car le monde anglo-saxon ne pourrait être cette fois-ci à l’abri de destructions et de morts civiles sur son territoire. Cette guerre, avec tous les effets qui vont avec (dont la peur largement entretenue par les médias) , est celle contre le VIRUS MONDIAL soit disant apocalyptique. L’ennemi invisible est le virus, les usines d’armements tournant à plein régime sont les laboratoires de Big-Pharma et tous les prestataires fournissant tests PCR, gants, masques, gel, logiciels de contrôle etc... les munitions sont autant de "vaccins" qu’il y aura d’ennemis-variants (et ça peut durer longtemps !). La société s’est mise en mode "guerre" (répété 7 fois dans la première allocution-covid de Macron, son appel du 18 juin !) = confinement, couvre-feu, attestation-ausweiss, restriction de déplacement, fermeture de lieu de loisirs, check-point et contrôles policiers, verbalisation, Union Sacrée des représentants de l’état, des partis politiques et syndicats contre l’ennemi virus (ce qui explique clairement qu’on ne les entend absolument pas dans leur rôle d’opposition). Propagande et censures des grands-médias. Tout, absolument tout est géré comme une guerre afin de produire les mêmes effets qu’une vraie guerre conventionnelle = prêts pour des centaines de milliards contractés auprès des grandes banques. Le tout pour sauver et relancer la machine capitaliste, voilà pourquoi quasiment tous les gouvernants des pays riches collaborent car pour eux, il faut sauver ce système "too big to fail" dans lequel ils sont particulièrement privilégiés.

       
  • #2851465

    Tout est faux depuis le début sur le Covid .Si comme l ’a dit C .Schmit "la politique c ’est d ’abord la désignation de l ’ennemi " le covid c ’est le faux ennemi agité devant le peuple pour lui masquer son ennemi véritable : le pouvoir invisible (élite bancaire ) qui est en train d ’évacuer la démocratie , l ’état de droit , le droit pour devenir lui même le pouvoir visible . Le peuple éternel naif croit au Covid comme il croyait naguère et jadis ( et y crois encore un peu ) à la politique , à l ’élection , à la représentation , à la constitution bref à la démocratie qui n ’ont jamais été qu ’un trompe l ’oeuil Or toutes les illusions s ’écroulent aujourd hui dans notre époque extraordinaire et la vérité apparaît sans toute sa nudité horrible : le fascisme de l ’argent , fascisme des prédateurs des peuples anti national anti social et aujourd hui ivre de destruction et de meurtres pour continuer à sucer le sang des hommes .

     

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  • #2851492
    Le 27 novembre 2021 à 08:48 par Jérômeproudhon
    Covid-19 : les vrais chiffres de l’occupation hospitalière en (...)

    Donc ,à part l’arme nucléaire médiatique utilisé contre le peuple, cela aurait dû être des années normales ? Bien joué nos dieux.

     

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  • #2851505

    Une question me taraude l’esprit.
    Comment une personne peut-elle être discriminée et/ou pénalisée financièrement parce qu’elle n’applique pas une mesure qui n’est pas rendue obligatoire par la loi ?

     

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  • #2851517

    Savez quoi ? Apres le Veran delta, le nouveau variant s’appelle omicron !

     

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  • #2851670

    J’aime bien cette chaîne et je regarde souvent ses vidéos. Toujours très bon.
    La seule limite, c’est que les statisticiens ils sont bloqués dans les chiffres.

    si vous lisez les rapports et c’est pas long du tout, cumulé ça doit peser 50 pages max avec des graphiques, on se rend compte dans cette vidéo de la limite du chiffre.

    par exemple si l’hôpital a été sous utilisé c’est essentiellement par suppression de chirurgie bénigne pour les mineurs en particulier type dent de sagesse ou amygdales.

    sauf que 1 gars en réanimation intubé avec sa vie entre en vos mains, ça vaut combien d’adolescents qui se font retirer les dents de sagesse, en terme de pression et de travail pour le personnel ?

    Ça reste le fond du débat une fois les chiffres analyser. Dommage qu’il n’en parle pas dans cette vidéo de l’aspect qualitatif.

     

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    • #2851847

      @ Jojoyoyo

      Votre remarque constitue une critique pertinente d’un aspect de l’analyse que propose Pierre Chaillot (de la chaîne Youtube Décoder l’éco) dans la vidéo.

      Le problème que vous soulevez n’est pas celui de la réduction aux chiffres dans l’évaluation de la situation, mais le choix des critères d’évaluation.

      Lorsqu’on analyse une situation pour établir un état des lieux, on observe les entités en jeu — au pluriel, sauf cas simple — et les relations entre ces entités, notamment les relations de cause à effet. Cela aide à lister les critères prépondérants permettant d’évaluer la situation. Considérant un critère retenu, il faut déterminer une collection d’informations pertinentes qui permettent de mesurer la situation sur ledit critère. Parmi les informations récoltées, certaines sont quantitatives et c’est là qu’apparaissent les chiffres récoltés. Dans ce processus, il ne faut pas s’égarer à l’étape de l’établissement des critères.

      Les critères d’évaluation du volume d’activité de l’hôpital retenues par Pierre Chaillot sont-ils pertinents ? Autrement-dit, caractérisent-ils avec une bonne approximation le volume d’activité de l’hôpital ? Réponse : ce n’est pas certain et il est difficile de répondre dans le cas d’espèce sans analyse complémentaire.

      Pierre Chaillot a estimé que les deux informations que sont le nombre de patients pris en charge à l’hôpital ; d’une part, et le nombre de séjours à l’hôpital, d’autre part, permettent d’obtenir une bonne mesure du critère d’occupation de l’hôpital, ce qui correspondrait — c’est là qu’il se trompe, ou au moins qu’il fait une approximation probablement abusive — à une bonne mesure du critère du volume d’activité dans l’hôpital... Pour bien mesurer le différentiel de volume d’activité de l’hôpital entre deux périodes de nature différentes — l’une comprenant notamment une sur-activité dans les services de réanimation — il convient de mesurer l’impact de la nature des activités relatives à un patient sur le volume d’activité (particulièrement le volume horaire d’activité) des soignants.

      [Tetar 1er, au message (de premier niveau) suivant, relève un autre problème, le fait de considérer le volume d’activité d’un hôpital pour évaluer sa saturation, sans considérer la saturation d’un service donné.

       
    • #2851977

      Je détaille un peu plus pour aider à structurer les concepts. L’explication qui suit permet notamment de comprendre mon usage du mot critère pour caractériser un autre critère (un critère parent, en fait), dans mon message précédent.

      L’épistémologie est une science subtile et on a vite fait de faire dire aux chiffres ce qu’ils ne prétendent pas dire, notamment par manque de rigueur sur la détermination des critères d’évaluation. Du coup, j’ai présenté des principes généraux de la démarche d’enquête (ici une enquête statistique) pour mettre en évidence ce qui peut constituer un problème, à une étape de la démarche de Pierre Chaillot, à savoir la prise en compte de critères qui pourraient ne pas suffire à déterminer la situation dont il parle.

      J’ai expliqué la démarche consistant à rechercher des critères prépondérants caractérisant une situation, de manière à l’évaluer au mieux, c’est à dire de manière à l’évaluer assez correctement en économisant les moyens intellectuels et d’investigation.

      Notons que si le temps d’enquête est illimité, on peut chercher à tendre vers l’exhaustivité des critères, or ils sont typiquement aussi nombreux qu’on le veut, la réalité étant très subtile. En effet, lorsqu’on isole un critère, on peut l’étudier pour envisager de le décomposer en sous-critères. On crée ainsi une arborescence de critères, avec des critères parents et enfants, chacun étant un noeud de l’arborescence, et avec des liens de parenté entre les noeuds. Cette arborescence (ou cet arbre) comporte des feuilles terminales qu’on pourrait appeler des critères atomiques (non décomposables en sous-critères), chacun des critères atomiques menant à mesurer la situation pour en tirer une information unique sur ledit critère. Cette démarche peut être nommée une analyse descendante, en référence au fait qu’on mène une analyse en descendant vers les feuilles terminales de l’arbre (vers les critères atomiques de l’arborescence des critères).

      Une situation s’évalue sur des critères. Les critères retenus sont autant d’angles d’observation de la situation. Cette démarche mène à faire des mesures sur la situation (éventuellement via des prélèvements), des analyses, pour aboutir à des informations qui sont soit qualitatives soit quantitatives. On obtient, pour chaque critère, une collection d’informations pertinentes (une seule information si le critère est atomique).

       
  • #2851677
    Le 27 novembre 2021 à 14:14 par tetar 1er
    Covid-19 : les vrais chiffres de l’occupation hospitalière en (...)

    Un petit doute cependant au sujet de l’interprétation des chiffres de faible pourcentage d’hospitalisation covid (y compris en période de "vague" épidémique), et le fait qu’on puisse dire que les hôpitaux n’étaient donc jamais saturés par les patients covid
    oui, c’est vrai, ils ont fermé les autres services et ont considéré qu’ils focaliseraient les forces des hôpitaux sur le pbm covid. Cela ne peut avoir pour effet que de réduire drastiquement l’activité (ce n’est pas un dermato ou un spécialiste du ménisque ou que sais-je qui va traiter les patients covid).

    Mais peut-on en déduire pour autant qu’il n’y avait pas de saturation des services respiratoires et autres au moment de ces pics ? vu le faible équipement avec la réduction des lits depuis des années, ce serait pourtant assez logique.

    il ne faudrait pas tout nier en bloc non plus (ou être plus rigoureux dans le message et l’analyse), c’est comme cela qu’on perd l’attention des médecins ; attention qu’il est déjà si difficile de capter, vu comme cette clique ne fonctionne qu’à l’entre-soi et bouffe de l’étude bidon par transpalette de 12 depuis 40 ans.

     

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  • #2851701

    N’oubliez pas que pour exécuter un plan aussi démesuré à l’échelle mondiale avec une telle synchronisation des gouvernements occidentaux et autres, il faut pour cela avoir corrompus les têtes de services clés. Le H1N1 ne permettait pas une tel imposture notamment la synchronisation des confinements, pass sanitaire etc... Pour le reste, l’institution se base sur le comportement psychologique tel illustré dans l’expérience de Asch ainsi que Milgram (lien : Expérience de Asch).

    L’après H1N1 a fait suite à des enquêtes de membres de l’OMS corrompus ainsi que d’autres, mais dont les protagonistes ne sont jamais tombé (de toute façon les même et leurs descendants sont aux manettes depuis des siècles).

    On créait un virus très contagieux, mais contagieux ne veut pas dire dangereux et on instille la peur (bon ça on savait).
    Tout le problème réside dans le devoir et comment partager des informations plus percutantes pour les moutons aveugles sachant que les GAFAM ont resserré l’étau de la censure sur les réseaux sociaux en l’accélérant durant cette période de covid.

    Nous sommes au-courant, mais la majorité des moutons ne le sont pas. Il reste une bonne partie, ne serait-ce que le tiers déjà, à faire percuter dans le groupe des masses ignorantes.

     

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  • #2852011
    Le 27 novembre 2021 à 23:34 par LeForgeron
    Covid-19 : les vrais chiffres de l’occupation hospitalière en (...)

    Et les pages 10 et 11 du rapport covid-19 sont absolument essentielles. Deux vraies bombes qui montrent non seulement que le "tout le monde peut aller en réa" est un mensonge absolu, mais qu’en plus la grippe est proportionnellement nettement moins sélective que le covid et touche bien plus de gens sans comorbidité. L’âge moyen des hospi covid est sans appel, on dépasse allègrement les 60 ans (on monte à 75 ans avec comorbidité).

    C’est à imprimer, à conserver, à diffuser.

     

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