Malgré le désastre absolu du covidisme, sauf pour Big Pharma, la justice ne parle plus de responsabilités, mais de « dysfonctionnements ». Cela nous rappelle que la commission d’enquête parlementaire sur les attentats de 2015 parlait de failles, plutôt que de complicités, ou de complot. Nous dirons complocité. Et pourtant...
La branche judiciaire du Système protège sa branche politique
En langage diplomatique, c’est-à-dire employé pour balader les petites gens, ça donne :
Selon les informations du « Monde », les trois membres de la commission d’instruction de la Cour de justice de la République devaient rendre, lundi, cette décision, estimant que les éléments constitutifs d’un délit n’étaient pas réunis. Mais l’enquête judiciaire a mis au jour de nombreux dysfonctionnements aux conséquences dramatiques.
Même pas un délit ! Une population entière confinée à trois reprises, des mensonges d’État, des états d’urgence bidon, la destruction des libertés les plus fondamentales, l’achat pour des milliards d’euros de doses surpayées, l’injection massive de produits inutiles ou dangereux dans une population désorientée à dessein, une hiérarchie médicale complice et corrompue, le couple médiatico-politique à la manœuvre pour berner la population, une tyrannie sanitaire avec une répression aussi surréaliste que féroce, et au bout du compte, après des milliers de morts en Ehpad pour cause d’abandon de soins, de milliers d’AVC et de thromboses, de dizaines de milliers d’effets secondaires graves (sans oublier ceux qui vont encore arriver), rien. Et pourtant...
Le Cercle Aristote de Pierre-Yves Rougeyron a invité Marion Saint-Michel qui décortique la perversité du pouvoir pendant le covidisme.
Excellente conférence de la psychologue Marion Saint Michel. Elle y décrypte, avec une clarté saisissante, la gestion de la crise Covid : du confinement jusqu’à la vax, en soulignant la logique perverse d’une gouvernance qui a instrumentalisé la peur. https://t.co/oi1JJtZe3G pic.twitter.com/Ejd4zrNd42
— LE GÉNÉRAL (@le_General__Fr) July 3, 2025
On efface tout et on recommence !
Puisque la justice nous intéresse tous, voici l’explication rationnelle par Le Monde de ce non-lieu inouï.
Cette décision des trois juges est tout sauf une surprise, plus personne n’étant poursuivi dans ce dossier depuis l’annulation par la Cour de cassation, en janvier 2023, de la mise en examen d’Agnès Buzyn, ministre de la Santé, au début de la pandémie (2017-2020), pour « mise en danger de la vie d’autrui ». Le parquet général avait lui-même requis, le 21 mai, un non-lieu général dans cette affaire hors norme.
Pauvre Agnès Buzyn, accusée à tort d’avoir empoisonné des innocents, d’avoir inscrit l’hydroxychloroquine sur la liste des « substances vénéneuses » dix mois avant l’arrivée miraculeuse des premiers pseudo-vaccins des grands labos, et qui a subi en plus des persécutions en tant que juive, ou en tant que ministre de la Santé, c’est elle qui a le plus souffert, au fond.
DEVOIR DE MÉMOIRE
01/2022 Agnès Buzyn a rendu 11 vaccins obligatoires pour les enfants. Elle a fait interdire l'hydroxychloroquine qui était en vente libre depuis presque 70 ans. Son mari, Yves Lévy, n'est rien d'autre que l'ancien président de l'Institut Pasteur. Et pour… pic.twitter.com/JiSCqq3Er4
— Ni Oubli Ni Pardon (@NiONiPardon) June 26, 2025
Le terrorisme dit islamiste de 2015 n’avait pas de commanditaires clairs, juste des exécutants, qui ont été exécutés. Le terrorisme sanitaire de 2020-2021 n’aura donc pas de responsables, juste d’honnêtes dirigeants soucieux de la santé de leurs administrés et désorientés par une épidémie de grippe qui aura été traitée comme une pandémie de peste noire, pour reprendre les mots du directeur général de la Santé de l’époque, Jérôme Salomon.
Le même homme viré de l’institut Pasteur en 2012 pour avoir été le « corbeau » de la maison… Comme Buzyn en 2021, il sera exfiltré à l’OMS, à Genève, en 2023.
Les larmes d’Agnès