Ce type est un grossier agent du système. L’autre jour sur RTL il était tout fier de nous dire que les riches américains qui voulaient se faire taxer nous avaient envoyé "une claque humaniste" ! Et comme il était bien fier de sa connerie il l’a au moins répétée une vingtaine de fois.

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Je ne comprends pas ces attaques sur Cespedes. Dire que Cespedes est un bobo, sans avoir lu ses livres, est équivalent du discours des personnes qui taxent Soral ou Dieudo d’Hitler.

Dans "Sinistrose", il est un des premiers à parler de "lobby bobo" et à l’attaquer sérieusement. Tout comme il est très critique sur la jeunesse des banlieues.

Et enfermer la philo dans le concept, dans le livre universitaire est pathétique. Justement, la philosophie doit sortir de cette guilde de doctorants, et être démocratisée : ce qu’il fait.

Il faut garder son esprit critique. Je n’idéalise pas Cespedes, son côté soixante-huitard est médiocre. En parallèle, il y a aussi de bonnes choses, comme "La Cerise sur le Béton"

Je ne pense pas qu’il soit invité par les médias pour les origines juives de sa mère ! Mais plutôt parce qu’il est beau mec, sympathique, et ça, la télévision aime. Tout simplement !

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De toute façon ces cours de morale ce sera quoi ? Des profs gauchistes imposant leurs idées métisseuses, homophiles et pseudo-tolérantes aux gosses (déjà assez aliénés par la télé comme ça) ?

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Peut être que cette mesure de l’état est à visée électoraliste mais Cespedes, en s’y opposant et en se forçant à chercher des arguments contre, sait que cela braquera les projecteurs sur lui. C’est donc aussi, de sa part en vue de quelque chose qui va lui profiter. Grâce à ça il passe à la télé et fait sa promo ! La preuve nous parlons de lui et de ses livres...

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Monsieur le Philosophe croit avoir tout compris aux problèmes de l’éducation nationale. Pour lui, c’est évident, il faut procurer l’envie à nos élèves. Il faut leur donner l’envie d’avoir envie. Or, ce qu’il ne semble pas avoir intégré, c’est que c’est exactement le mot d’ordre pédagogiste depuis 20 ans. C’est eux, les pédagogistes de gauche, qui mènent la danse, qui font les programmes, qui décident des formations des enseignants. Pour quels résultats ? Celui que l’on sait, une incapacité totale de plus de la moitié des élèves à s’exprimer à l’oral et à l’écrit. Que fait-on d’un élève qui dès le CP menace les autres de ne pas pouvoir étudier convenablement ? Rien, on lui donne envie. Il faut lui donner envie d’avoir envie de fermer sa gueule et de laisser l’instit pouvoir en placer une. Comment peut-on prétendre être philosophe et refourguer la vieille recette pédagogiste dont tout le monde peut voir les résultats ? Cette idée de donner envie aux élèves est l’aberration pédagogiste par excellence. Avant toute chose, il faut poser un cadre en classe, il faut refuser tout chahut et surtout il faut donner aux profs les moyens de sanctionner, ce qu’il n’a plus depuis belle lurette. Après, il faut revenir aux savoirs fondamentaux ( eh oui, n’en déplaise aux pédagogistes, il ffaut opérer une hiérarchisation dans les savoirs ) , à savoir français et math pour l’école primaire. Tout le reste, c’est du luxe pour les élèves qui marchent bien. Mais un élève qui rencontre des difficultés en français, on lui fournira une aide intensive et il ne fera que cela. Monsieur le philosophe dit qu’il faut que les élèves apprennent à écrire correctement leur langue. Très bien, mais que propose-t-il ? De continuer la voie tracée par la gauche. De donner envie, de ne pas sanctionner, de ne pas hiérarchiser les apprentissages... rajoutons : de multiplier les sorties pédagogiques inutiles et farfelues ( faire du vélo, par ex ), et surtout de mélanger tout le monde dans toutes les classes : bons, moins bons, nuls, calmes, pénibles... Au moins comme cela, on sait qu’on en a encore au moins pour 10 ans...

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Quand j’étais à l’école (fin des années 90) on nous dispensait déjà de cours de morale. En gros ça consiste à tolérer tout et n’importe quoi. De l’orientation sexuelle à la consommation de diverses drogues dont les élèves, pouvaient, à la demande du prof, en expliquer les bienfaits.

Tiens je me souviens encore du professeur qui nous expliquait que nous étions tous, plus ou moins consciemment, homosexuels. Puisqu’elle était vieille et moche je n’ai pas cherché à lui prouver le contraire.

Nous avions tous alors, dans les 12, 13 ans.

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Et les parents ils sont ou dans tout ça ? Ce n’est pas à eux normalement d’inculquer des bonnes valeurs à leurs enfants ? Pas que ça me dérange que l’école le fasse un peu, mais ce n’est pas son premier but, enfin ça ne reste que mon avis.

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Si vous pouviez éviter de me renvoyer sur des sites qui balancent subrepticement de la publicité, ça m’arrangerait.

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Comment une République qui dans les années 50, exposait un exemplaire de la Constitution de 1793, relié en peau humaine, pourrait-elle donner des leçons de morale ?
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Et comment l’éducation nationale qui est un repère d’immoraux athées, pourrait donner des cours de morale ? C’est du foutage de gueule. Ils ont blessé l’Église à mort, ils vont en subir les conséquences. Ca n’est que logique. Seul l’intérêt guide la République judéo-maçonnique. La morale est exclue de son horizon.

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"Inscrire la morale à l’école ? Mouais, çà pourrait se vendre, çà fait populiste". Encore la recette de 2007 déjà périmée pour 2012. Vous avez l’bonjour d’Alfred, les philosophes du talmud.

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