Egalité et Réconciliation
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Dialogues désaccordés : Éric Naulleau seul et impuissant face à Alain Soral

Si les imbéciles osent tout, et c’est d’ailleurs à cela qu’on les reconnaît… avec l’ouvrage "Dialogues désaccordés", Éric Naulleau - ancien critique littéraire-éditeur, aujourd’hui animateur de télé -, prend le risque de monter sur un ring qui ne manquera pas d’exposer, dès le premier round, juste avant un K.O et la fin des hostilités faute de combattant, non seulement sa propre vacuité intellectuelle et autres insuffisances mais aussi, chez toute une frange dite « de gauche » qui se résume le plus souvent à un engagement auprès du PS et accessoirement aux côtés des Verts (la 2e droite), l’absence totale d’instruments et d’outils d’évaluation critique d’une modernité pourtant mille fois passée au crible d’une lecture et d’une interprétation sans concessions, de Marx le prophète à Michel Clouscard le penseur prémonitoire au jugement sûr, sans oublier de faire un détour par Guy Debord dont les analyses n’ont fait que se bonifier au fil du temps, Jean Jacques Rousseau couvrant d’une aile protectrice tout ce beau petit monde…

Une frange indissociable des médias dominants - médias qui n’ont pas cessé de sonner le glas de l’intelligence et de la création depuis trente ans -, sous le haut patronage des procureurs d’un Parti dont le terrorisme d’une bien-pensance de tartuffe – terrorisme qui cache mal un abandon des classes populaires jetées en pâture à une autre forme de terreur, nommément… la jungle mondiale ultra-libérale -, a figé les consciences, gelé les esprits, épuisé les personnalités, dompté les caractères, fait taire ceux qui hurlaient à la douleur, jusqu’à la promesse d’un verdict de mort sociale contre quiconque refuserait de s’y conformer.

Lire la suite de l’article sur sergeuleski.blogs.nouvelobs.com

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46 Commentaires

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  • #583907

    Naulleau n’aura jamais les couilles de soral
    allé naulleau encore un effort et tu retrouvera peut être ton froc

    dit les choses franchement arrête d’avoir peur d’une communauté qui représente que un pour cent de la france

     

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  • #583919

    Très surprenant un tel article dans ce type de presse. Suspect même...

     

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    • Ce qui est surprenant c’est votre commentaire ! Liberte d’expression, c’est tout. Pour une fois que quelqu’un n’a pas peur de parler avec Mr Soral c’est interessant, esperons que les autres autruches qui critiquent de loin le franc parler et les idees de Mr Soral sortent de leur tanieres, desquelles ils propagent le racisme, et argumentent un peu, a quand un face a face publique entre gens d’idees opposees ! Marre des pseudos intellos qui pensent plus ou moins la meme chose !

       
  • #583938

    Ce Monsieur Uleski... est très fort.

    Rien à voir avec pierre jourde le moins-que-rien. (Ce lien figurait dans l’article de M. Uleski.) Bien content de n’avoir pas acheté leur livre minable, à lui et à naulleau (le jourde et naulleau). Comme le relève Uleski avec brio à propos de naulleau et de sa posture de dissidence : à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Sans compter les passages mémorables et ridicules où naulleau s’est littéralement prosterné devant 50cents.
    Tous ces types n’ont pas le niveau.

    Uleski, en revanche, gagnerait à être connu.

     

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  • #583991

    Chers camarade ne soyez pas aussi fainéants, réveillez vos cerveaux, vous vous étonnez que cet article proviennent d’un journaliste du Nouvel Obs, eh bien oui, ce serait étonnant, vous n’avez qu’à lire le nom de la source pour comprendre qu’il s’agit d’un blog sur le site du Nouvel Obs (tout le monde peut en faire) par quelqu’un qui est manifestement un sympathisant d’E&R si vous lisez ses autres articles (enfin déjà je ne comprends pas comment cela a pu vous échapper à la lecture de cet unique article...).

    Ayez au moins l’intelligence de lire la source.

     

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  • #584001
    Le 11 novembre 2013 à 10:13 par Gerard John Schafer
    Dialogues désaccordés : Éric Naulleau seul et impuissant face à Alain (...)

    Je viens de terminer la lecture de Dialogues Désaccordés. Le format texte, sous forme de livre, d’un recueil entier, n’a évidemment absolument rien à voir avec les prestations télévisuelles de Naulleau, qui ne peuvent être qu’un spectacle de foire.

    Ces Dialogues Désaccordés ne sont pas dialogue de sourds http://www.noorinfo.com/photo/art/d..., il y a une attention, une écoute mutuelle, même si Naulleau a vite fait de botter en touche d’un coup de vernis culturo-mondain.
    Alain fait à son propos cette remarque : "Et que tu n’y comprennes rien ne m’étonne pas car d’une façon générale j’ai pu remarquer que tu ne pensais pas. Tout chez toi ressort de l’idéologie, jamais du concept, et ce n’est pas rare. Très peu de gens accèdent au concept, ça demande une virilité intellectuelle, une capacité à pénétrer l’objet justement, à se défaire de toute peur de la doxa, dont tu me sembles dépourvu..." p.189
    Il y a néanmoins dans le livre une vraie relance, et une volonté de dénouer la complexité de notre époque à travers la diversité des sujets abordés, qui se recouperont, ou pas, ou malencontreusement, selon la personne qui s’exprime...
    Et au fond, on s’en fout de souhaiter discerner la position de Naulleau, le constat final étant que chacun des deux est un "professionnel", l’un selon sa définition féminine, l’autre, masculine.

    Ce coup-ci, je n’ai pas ri, l’alchimie n’a pas fonctionné dans ce sens, et le constat final provisoire où les deux auteurs s’accorderaient presque, est glaçant d’avenir...
    Le livre s’ouvre aussi sur les dédicaces de chacun. Celle d’Alain : "A Dieudonné M’Bala M’Bala pour son courage et sa lucidité."

     

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  • Le petit monde virtuel de la télé de Naulleau doit maintenant s’immiscer dans le vaste monde réel de la discidence.Desormais, être un bon journaliste c’est être "adoubé"par nous (les commentateurs d’ER)
    Serge Uleski l’a compris avant les autres.La résistance est en marche.

     

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  • #584643

    Attention, Uleski n’est un journaliste encarté, il est blogueur.
    il ne s’agit que d’un blog hébergé par le Nouvel Obs, et non pas du journal lui-même.
    "Les blogs hébergés par le Nouvel Obs n’engagent que leurs auteurs" blablabla.

     

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  • #585358

    Il me reste encore environ 80 pages à lire (ça se lit vite c’est écrit gros, haha) mais, même si j’apprécie toujours Éric Naulleau pour son "esprit sportif" on va dire, je dois avouer que je suis vraiment déçu de son "combat" dans le livre. Des questions, des citations, de l’ironie et c’est à peu près tout... A un moment j’étais content que Soral lui fasse quand même la remarque mais pour l’instant cela n’a rien changé. J’espère que Naulleau aura quelques arguments "massues" à la fin du livre, parce que pour l’instant c’est zéro.
    Alors dois-je me poser la question qui fâche ? Suis-je "trop Soralien" pour accepter la contre argumentation de Naulleau ? Suis-je complètement sourd et de mauvaise foi ? Franchement je ne pense pas, car si j’ai acheté ce livre ce n’est pas pour la partie Soral , car je sais grosso modo ce qu’il va dire. Je l’ai acheté pour la partie Naulleau. Et je pense qu’on est beaucoup dans ce cas là. Pas mal d’entre nous seraient complètement ébahis et, je pense au fond, presque contents, si quelqu’un pouvait contredire Soral point par point avec une argumentation béton. Car celà voudrait dire que, non, nous ne vivons dans un monde aussi merdique que Soral le décrit. Mais pour l’instant c’est toujours Soral qui gagne par K.O.
    Au suivant !

     

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    • #586663
      Le Novembre 2013 à 11:24 par Gerard John Schaefer
      Dialogues désaccordés : Éric Naulleau seul et impuissant face à Alain (...)

      "Je l’ai acheté pour la partie Naulleau. Et je pense qu’on est beaucoup dans ce cas là."

      Pour ma part, si je ne l’ai pas lu d’une seule traite, je désigne Naulleau comme coupable.
      Ca me rappelle un devoir de fiche de lecture en 3ème où j’avais dû me taper un Camus... excellente note au final, et commentaire avisé de la prof sur la copie : "on sent que vous avez beaucoup aimé le texte !" pas lol...

      "Et je pense qu’on est beaucoup dans ce cas là. Pas mal d’entre nous seraient complètement ébahis et, je pense au fond, presque contents, si quelqu’un pouvait contredire Soral point par point avec une argumentation béton."

      S’il-te-zeupli, évite à nouveau de parler pour les autres ; ceci dit, ce n’est pas comme si Alain était la face nord d’un sommet infranchissable, c’est juste qu’il est juste, il a justement raison...
      Donc, à moins de se renier, d’être traitre à soi-même, de se fabriquer une réalité de carton-pâte pour l’occasion, on ne peut que nourrir une conversation de guerriers unis sur des bases communes, et chercher à ouvrir des brèches, des perspectives d’avenir à partir de là...
      Tout le reste ne serait que branlettes mondaines.

       
    • @ Gerard John Schaefer
      Je ne parle pas pour les autres. Dans la phrase que tu cites je commence par "je pense". Donc tout ce qui suit c’est ce que je pense. Et je pense qu’on est pas mal à être curieux de ce que dit Naulleau. Car Soral on connait. C’est pas plus compliqué que çà.
      Sinon je ne comprend rien à ce que tu me dis dans le reste de ton commentaire. Faudrait voir à simplifier tes phrases et à aller droit au but.
      Fais pas ton Naulleau ! (je lance l’expression !)
      _ ;)

       
  • #591729

    J’aime NAULLEAU et DIEUDONNE. Les prairies sont remplies de couleurs et odeurs et autres riches multitudes qui meurent et se régérent en d’autres différentes couleurs odeurs et autres multitudes encore plus riches si on laisse la vie faire son oeuvre ...
    Le fils peut croire le père au temps des cavernes tout comme on peut croire aux savoirs du jour.
    Tout sera toujours en expansion et donc avec une vacuité temporelle mais aussi une richesse plus large.
    Le passé est déjà riche mais le futur le sera davantage.
    Pour en revenir aux problèmes du jour : La France d’aujourd’hui est simplement dans l’état que seraient les enfants grandissant avec toujours les mêmes injonctions du père.

     

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  • #593444

    Des races il y en a partout pour ceux qui en veulent.
    Il ya des pommiers, des poiriers des cerisiers....
    Être raciste c’est n’aimer que des poires et ne vouloir que des poires pour tous. Être raciste c’est ensuite vouloir que les fleurs soient toutes blanches, les arbres aussi : tous blancs et pourquoi pas le reste de la nature...tout que du blanc comme les pages. Même l’hiver avec sa beauté enneigé ne dure qu’un temps...

     

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