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Dr J.-M. Sabatier et E. Fougères : covid long et effets indésirables du vaccin

Directeur de recherche au CNRS, titulaire d’un doctorat en biologie cellulaire et microbiologie et d’une habilitation à diriger des recherches (HDR) en biochimie, Jean-Marc Sabatier a dirigé plusieurs équipes de recherche académique (CNRS, INSERM et université) ainsi qu’un laboratoire de recherche mixte académique-industriel consacré à l’ingénierie des peptides thérapeutiques (ERT62, Marseille, France).

 

Il est aussi éditeur en chef des revues internationales Coronaviruses et Infectious Disorders - Drug Targets. Membre de comités d’experts pour 73 journaux scientifiques, il a également publié plus de 270 articles scientifiques ou livres spécialisés, déposé 55 brevets d’invention et reçu plusieurs récompenses pour ses travaux de recherche.

Estelle Fougères est journaliste scientifique indépendante.

 

Courageux Dr Sabatier

 






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13 Commentaires

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  • #3488426
    Le 5 février à 07:47 par Dresseur de Pangolins
    Dr J-M. Sabatier et E. Fougères : covid long et effets indésirables du (...)

    Beaucoup de "vaccinés" n’ont pas eu de problèmes parcequ’ils ont été piqués avec le placebo.

     

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    • L’idée se répand, depuis que d’aucuns auront compris la supercherie, d’un test mondial de produits différents très bien référencés par régions ou États, profitant de surfer sur cette fumeuse pandémie. Car ils se trouve des effets indésirables identiques cantonés par secteur cependant qu’il s’en trouve d’autres différents, mais là aussi regroupés dans celui d’à côté.

       
    • Oui, et il y a aussi une autre raison qui tient de la roulette russe : en l’absence du geste préalable d’aspiration pour une intramusculaire, il a pu y avoir des intraveineuses accidentelles qui ont réparti le produit rapidement dans tout le système sanguin.
      Ce geste dont l’oubli pouvait vous faire échouer à l’examen de soins infirmiers a été indiqué comme non nécessaire par l’OMS pendant le Covid...

       
    • En fait le pseudo vaccin n’a eu d’effets positifs que dans sa dimension "effet placebo", notion désormais attribuée au conspirationisme bien que prouvée scientifiquement.

       
  • La définition retenue par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) est précise : une préparation ne peut se voir attribuer le nom de "vaccin" que lorsque les effets secondaires ont été étudiés et acceptés selon des protocoles prédéfinis. Tel n’est pas le cas des injections prétendument efficaces contre les virus de la famille dite COVID. Par conséquent seule la dénomination "injection" est acceptable.
    Autre exemple d’appellation fallacieuse : le "handicap", (la main dans la casquette anglosaxonne, hand in cap) est en français l’invalidité et une personne en situation de handicap est un invalide d’où les emplacements de stationnement réservés aux "grands invalides", appellation ancienne correcte. Par ailleurs, le handicap attribué à un cheval de course devrait se nommer : la pénalité.
    Ces nombreuses déformations du sens des mots sont une source de confusions multiples et diverses, présentes et futures. S’en abstenir contiendrait quelque peu le désordre, au delà du langage, dans notre civilisation.
    Et s’il fallait évoquer les nuances des crimes vers les génocides...

     

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  • Ce virus créé dans le laboratoire de Fort Detrick n’a pas fini de faire parler de lui

     

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  • Ça n’existe pas le covid long, c’est un empoisonnement tout simplement.

     

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  • Ah la vache !!! Ils m’ont complètement démoralisée avec le coup des vaccins Arn pour les canards....Bientôt cela va être vraiment très compliqué de se nourrir !!!

     

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  • le père sabatier sort du bois ! intéressant ! un peu tard, dommage

     

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  • Les personnes non picousées, qui ont été victimes du coronavirus, peuvent-elles être victimes d’un covid long ou pas ?

     

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    • Difficile à dire car il y a des études et observations encore contradictoires à ce sujet. Certains dommages des cellules endothéliales ne seraient pas causés par la protéine Spike mais par d’autres agents présents dans les vaccins Covid.

      Cependant les non vaccinés n’ont en principe pas été en contact avec l’ARNm vaccinal, qui est un plan de construction de la protéine Spike, et dont aucune étude ne mentionne la cinétique. C’est à dire qu’on ne sait pas combien de temps il reste dans les tissus ni quelle quantité de Spike est produite. C’est probablement cette production induite et incontrôlée qui occasionne les symptômes du Covid long. Les non vaccinés ne devraient pas, en principe, développer ces symptômes.

      Depuis le départ il est difficile de distinguer le Covid long des dommages de la vaccination. Les éventuels Covid long des non vaccinés seraient liés à la persistance de dégâts liés à l’infection par le virus, et devraient être inférieurs en temps et en amplitude en comparaison.

      L’absence de statistiques fiables (voir le laborieux travail de Louis Chaillot) nous empêche de conclure davantage.