Ben alors Robert, qu’est-ce qu’il t’arrive ? T’as pété un obus ou quoi ?
On surestime toujours nos hommes politiques. Ils parlent bien, ils parlent fort, d’autant qu’on leur tend tous les micros (nous, on nous les retire), et puis quand on veut avoir leur avis sur les trucs essentiels, c’est comme les poissons exotiques multicolores qu’on sort de l’eau : c’est tout moche, tout gris, tout naze. Bons à refoutre à l’eau.

 

Les acteurs, c’est pareil : on les trouve envoûtants, exaltants, ils nous donnent l’envie d’être des héros, et puis quand on en rencontre un, que ça commence à causer, hors promo, c’est en général la misère, intellectuelle et morale.

 

Avant, on sait pas pourquoi, mais on avait envie d’aller au cinéma

 

Aujourd’hui, nos stars nationales (ou plutôt antinationales), qui ne déclenchent plus trop l’envie d’aller au cinoche, n’ont rien d’autre à dire que « on va tous mourir sous les eaux », « il faut sauver les migrants », « non au racisme », « le fascisme c’est mal », « Hitler = SS » et autres balivernes. Comment voulez-vous construire un idéal avec ce ramassis de bulots ?

Bulots, océan... C’est le moment de parler de corail. On en apprend de belles, sur Twitter :

 

 

On n’a pas trop compris où le gars voulait en venir, mais c’est original, ça n’emmerde personne, et ça peut faire du bien à nos grands fonds. Transition toute trouvée pour le fait divers de l’année :

 

 

On vous sent rigoler du malheur d’autrui, mais c’est une anecdote assez intéressante au sens propre (si l’on veut) et au sens figuré : on a l’impression que les double ou triple-vaccinés se font tous carrer deux ou trois obus dans le fion, et du 155 (mm).

 

 

Mieux : on ne sait pas quand la dose de protéines (spike) va exploser, car elle explosera un jour, dans les cellules, le sang, le cerveau. Notre comparaison n’est donc pas si insensée. Cette rubrique donne l’impression d’être idiote, mais pas toujours.

Transition toute trouvée vers cette petite pique sioniste – de droite –, car l’Anne a donné tellement de gages au sionisme qu’elle ne devrait pas se trouver du côté des indésirables. Or, là, gauchisme et sionisme n’ont pas suffi :

 

 

Avec 4 % des intentions de vote, l’Anne ne sert plus à rien. Le sionisme est sans pitié pour les gentils qui le servent et croient être à l’abri. Mieux vaut être comme nous, incorruptibles, insionisables !

On parlait d’obus dans le derche, on se demande si ça peut faire partie des « petits gestes » que la Véran nous demande de faire, au quotidien, pour éviter la 125e vague...

 

 

On va faire un jeu. Prenez la Véran, replacez-la, mettons, en 1983, laissez-la débagouler son discours de chabraque des montagnes, on vous parie qu’elle se fait interner dans la journée. C’est donc le contexte historique ou social qui fait le fou, ou la folle.
Van Gogh aurait été diagnostiqué schizophrène, il aurait pu être traité, stabilisé comme ils disent, les psychiatres. Mais il a souffert, il a peint, et s’est fini dans la mouise intégrale.
Malgré tout, le Vincent est largement moins détraqué que la Véran. Il a laissé des merveilles, alors que notre ministre du Big Pharma ne laisse que des merdouilles. Pire, la Véran ment en permanence, ignorant les faits malodorants à ses narines qui remontent du réel.

 

 

Tout cela n’existe pas, dans le monde merveilleux du Big Pharma de la Véran. Ça fait pschitt, ça s’évapore dans l’atmosphère, dans le néant. Et puis là-dessus, comme si on n’en avait pas assez avec la Véran, la petite Attal nous promet un Noël version Ehpad :

 

 

 

Comme si on avait besoin des conseils à Tatale pour « passer Noël ensemble » ! Non mais, pour qui se prennent-ils ? Bientôt ils vont nous expliquer comment pisser, comment penser...
Non aux suppositoires mondialistes, à ces obus dans le rectum de la nation, qui n’a rien demandé. Pourquoi est-ce qu’ils ne nous lâchent pas la grappe ? Il y a tellement de belles choses à faire dans ce bas monde, plutôt que d’emmerder les autres quand on détient un peu de pouvoir.

C’est pourquoi nous allons vous rappeler le serment du chevalier, qui est tout à fait d’actualité, pour nous tous, les résistants. D’abord la version originale tirée du film du grand Ridley Scott, et puis la traduction française, avec une image un peu dégueulasse, mais ne vous y arrêtez pas, c’est le texte qui compte.

 

 

On met quand même la version frenchy pour ceux qui ont envie de refaire le 2 décembre 1805 dès qu’ils entendent un mot de rosbif.

 

Sois sans peur face à tes ennemis
Sois brave et droit pour être aimé de Dieu
Dis toujours la vérité, même si ça doit te coûter la vie
Sauvegarde les faibles, et garde-toi du mal
Tel est ton serment
Et ceci pour ne pas l’oublier
Debout, chevalier !

 

On peut s’amuser à inverser complètement ce serment, et on tombe sur celui du Diable, enfin, que le Diable exige de ses serviteurs !
Bien sûr que le Diable existe, mais c’est comme Dieu, on ne peut pas le toucher. On peut travailler pour Lui, ou pas, s’opposer à lui, et tout cela a des conséquences dans la vie de tous les jours. Ce n’est pas anodin.

Maintenant, on va rigoler un peu.