Mouais, là, on voit tout de suite la manip, le parallèle avec les torches de la liberté de Edward Bernays, plans serrés sur une cinquantaine de participants. Les vielles techniques semblent toujours fonctionner pour impressionner les boomers. En fait, il y a autant de journalistes que de participants !

Ce n’est pas l’orientation sexuelle que le bon sens devrait remettre en cause, c’est l’instrumentalisation politico-sociale qui en est faite, des lobbies et des think-tank vassaux des institutions néolibérales de l’hégémonie US.

Une idéologie qui use de ce qui nous divise pour régner, orienter l’opinion, substituer l’esprit de vie, en flinguant la natalité et la famille, l’essence même de l’évolution. Le wokisme est un l’alibi ploutocrate.

Efficace et concis le point de vue.

Pourtant il reste comme pour les Basques les Bretons ou les Chti’ts un enracinement culturel profond, un attachement à la terre ancestrales pluri millénaire, à base de métissages ethniques sur des générations et non sur 20 ans, et de remix de leurs anciennes cultures avec les moyens technologiques et de communication d’aujourd’hui, en continuelle auto adaptation avec les époques jusqu’à notre époque qui paraît forcément la plus merdique, et qui a souvent un parfum triste d’humains se raccrochant à leur terroir de naissance pour essayer d’y survivre , terroirs souillés par tout ceux qui n’en ont rien à foutre de devenir des coquilles vides malléables à la merci des conjectures , parfois bonnes pour l’approfondissement personnel, mais souvent ignobles pour les collectifs régionaux dès que ça dépasse le cadre de la famille et amis proches, eux même plus ou moins déconnectés de leurs traditions et comptant sur les retrouvailles pour les faire vivre un minimum, a l’Eglise au Pmu ou à Noël...

Quand t’es attaché à la terre qui t’as vu naître, c’est elle qui te préserve des égarements de ton âme.
Sans attache physique et spirituelle avec un lieu ou un territoire , ça donne le lgbtisme des déracinés spirituelle sans territoire à cultiver autre que vouloir la déstruction du territoire des autres , ne pouvant comprendre que le mix avec leur anti traditionnalisme ne peut mener qu’a la déstruction du traditionnel, ils ne peuvent le comprendre car leur programme de penser /de vie, c’est la déstruction des traditions millénaires pour se sentir des avant gardistes sauveurs d’une humanité qui se serait égarée depuis son origine avant qu’ils arrivent avec leurs drapeaux arc en Ciel...
C’est très pernicieux leur propre manipulation/programmation, ils pensent vraiment servir l’humanité en détruisant la leur sans le réaliser....

Rien d’autre à dire.

Les corses c’est comme les basques, ça parle le patois local, chante et se fout des bérets... mais avec un doigt de progressisme dans le fion

Il vous faudra réécouter le discours de Rocard, un 12 avril 1989, à l’Assemblée nationale française pour vous mettre un tantinet sur la piste.
Puis, vous lancer sur celle des voyous infiltrant les nationalistes (ceux au sens idéal du terme, la Corse étant la première nation née au gré d’une Constitution démocratique, où même les femmes eurent à voter : avant même les (13) États-Unis et la République Française. Ce fut un peuple, une nation, une langue, un drapeau, un hymne national.), ces faux nationalistes pour mieux accepter les valises de l’état français (Merci au Grassois de Casevecchie, pris la main dans le SAC), et se faire passer pour Natio tout en mangeant au ratelier de l’État français : ainsi, la Corse restant française par leur soutien actif en sous-marin, ils continuent leurs opérations illégales au nom de ce pseudo idéal, touchent les subsides et autres dessous de table et ne sont pas obligés de bosser. Tandis qu’avec l’autonomie, l’indépendance...
Voilà tes termes qui offrent tous leurs sens.
Demandez-vous pourquoi des types de 70 piges, qui s’en reviennent d’exil en Amérique latine ou autres, tombent comme des mouches lorsqu’ils reposent le pied sur l’île, après tant de temps : parfois leurs descendants.
Plus loin, lisez « Le piège d’Aleria ».

Les corses donnent des gages, technique du 2 pas en avant, 2 pas en arrière, finalement, on bouge pas et c’est très bien comme ça !
Parce que faire du surplace, stagner , c’est quelque part accepter le progressisme
Comme les basques, mais aussi les bretons et les catalans