Egalité et Réconciliation
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Humour & provocation : Pour en finir avec la repentance

C’est la mode, la repentance, la culpabilisation sur fond d’histoire décontextualisée. Une partie de nos amis noirs semblent décidés à imiter les sionistes en imposant une histoire officielle à charge et en tirer tous les avantages subséquents.

Pourtant, cet anti-colonialisme de pacotille, pleurnichard et ethnocentré, est paradoxalement raciste.

Le colonialisme fut en effet le moteur de développement de l’humanité depuis l’antiquité, et probablement la préhistoire.

Nous autres français "de souche", sommes de purs produits de la colonisation : celle de la Gaule par les romains.

De tous temps, c’est la colonisation, qui, pour le meilleur et pour le pire, a permis aux civilisations de progresser puis de s’affirmer selon des modèles propres.

Aussi est-il curieux de voir des noirs, aujourd’hui intellectuels, ingénieurs, médecins, artistes, écrivains et j’en passe, bénéficiant de tous les apports de la civilisation française, faire l’apologie d’un naturalisme pré-colonial.

Ils nous disent en substance que le destin et la vocation des noirs, c’était de vivre en slip au milieu des gnous, illettrés et édentés, avec étuis péniens, os dans le nez et 25 ans d’espérance de vie.

La femme noire devait continuer à accoucher dans la savane, les petits de mourir à la pelle, et le continent noir, concentré des "bons sauvages" d’Huxley, devenir le zoo de l’humanité pour l’éternité.

Qu’il me soit permis de ne pas partager cette vision raciste des noirs et de l’Afrique.

Je pense pour ma part que les noirs avaient, comme les gaulois, droit à la colonisation et à la civilisation.

Si malheureusement le processus colonial a avorté avant terme, du fait de l’effondrement de la France et de la prise du pouvoir planétaire du capitalisme sioniste, des hommes comme Senghor, premier agrégé noir de l’histoire, nous ont laissé témoignage de ce qu’aurait pu être une Afrique ayant assimilé la francité sans renoncer à ses spécificités.

On est triste en songeant au grand avenir qui aurait pu être le sien, à la voix neuve et originale qu’une Afrique puissante aurait pu et su faire entendre en ces temps troublés.

Yann - E&R