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Il était une fois une quinquagénaire bretonne et un trentenaire sénégalais...

Le 6 juillet, Ouest-France contait, dans ses pages « Société », les mésaventures d’une Bretonne de 58 ans. J’avoue, après lecture du récit, ne plus savoir s’il vaut mieux en rire ou en pleurer. S’il faut plaindre cette dame ou la vouer aux gémonies. En tout cas, comme elle le dit elle-même, le seul côté positif de cette histoire est son exemplarité.

 

Voici le témoignage de cette dulcinée plus bécasse que bécassine qui, ayant trouvé un mari au-delà des mers, n’arriva plus ensuite à toucher terre :

« J’ai rencontré Joseph (prénom d’emprunt) à Saly (station balnéaire au sud de Dakar), il y a près de sept ans. À l’époque, j’avais l’habitude de me rendre au Sénégal. J’avais entendu parler d’hommes plus jeunes qui séduisaient des femmes plus âgées. Ce n’est pas ce que je recherchais. Et puis, il y a eu Joseph, beau, séduisant, de vingt ans plus jeune que moi. Nous avons débuté une relation.

Je me suis alors rendue au Sénégal deux à trois fois par an. À chaque fois, je restais deux ou trois semaines. Il me traitait comme une princesse. Il ne voulait même pas que je fasse le ménage de la maison que je louais. Il n’avait pas de métier, vivait du système D, mais j’étais séduite. Au bout d’un an, nous sommes passés devant le chef de quartier qui a validé un premier mariage coutumier. Cela n’avait aucune valeur légale, mais c’était important pour sa famille. Le 30 août 2013, nous nous sommes vraiment mariés à M’bour. J’avais auparavant établi un contrat de mariage devant notaire et en sa présence pour préserver mes biens  : un appartement et un bien de famille.

Lors de mes venues au Sénégal, il arrivait qu’il me demande de l’argent, que je lui paie le permis. Je n’avais pas voulu. C’était aussi ma façon de tester son attachement à moi. Lorsque je débarquais, il demandait parfois si j’avais un cadeau pour lui. Je lui répondais  : “c’est moi, le cadeau”. Le mariage a été une suite logique de notre relation. »

Quel malheur… ne pas comprendre dès le départ comme cela finirait est affligeant. Car si elle prétendait être le cadeau, n’importe quel connaisseur de ces coutumes africaines savait que cet homme n’en était pas un ! Mais laissons cette compatriote de Théodore Botrel nous compter la fin de son aventure conjugale :

« Joseph est venu me rejoindre en France en janvier 2014… Je l’ai d’abord emmené dans ma famille, puis à Paris. La capitale ne l’a pas tellement intéressé. Puis nous nous sommes installés dans mon appartement. Sa première réaction fut  : “Tu n’as pas d’écran plat  ?” »

Lire l’article entier sur bvoltaire.fr

Quand les rapports de classes déterminent les rapports de sexes,
lire sur Kontre Kulture

 

Sur le douloureux sujet de l’amour interculturel et intergénérationnel,
voir sur E&R :

 






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68 Commentaires

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  • #1782008

    Maison vendue, avec la hantise de la pension de ce futur bon français à payer... Si elle entend à la radio le chef-d’oeuvre du compositeur de lumière, Michel Berger, elle est bonne pour le cabanon : "J’ai ton coeur qui tape / Qui cogne dans mon corps et dans ma tete / J’ai des images qui s’entêtent. /J’ai des ondes de chaleur et comme des cris de douleur qui circulent dans mes veines... Quand je marche dans ma ville j’ai des moments qui defilent / de ton pays d’ailleurs ou tu meurs.

    Babacar
    Ou es-tu
    Ou es-tu ? Babacar
    Ou es-tu
    Ou es-tu ?"

     

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  • #1782013

    @ nairod #1781950

    « Elles sont dans la croyance et le mensonge victimaire pleurnichard permanent. »

    Tiens, j’ai entendu la même remarque à propos de la famille vérité-si-je-mens !

    Ce monde de la justice est cliniquement malade à l’image d’ailleurs des bisounours mâles ou femelles de cette dysociété en lambeaux ! Les quelques sérieux (ou sérieuses) encore dans ce titanique de parodie de justice, je ne sais pas comment ils font ?

    J’ai été assistant social durant de nombreuses années et je percevais les incohérences, les dérives des décisions prises par les JAF !

    Il y a une position idéologique prise systématique dès le départ avant et durant la procédure : de la manipulation à plein nez, des termes dévoyés, des présupposés psycho machins trucs, des contournements, afin de s’éloigner de plus en plus du factuel afin d’aboutir aux conclusions du présupposé idéologique toujours défavorable au conjoint mâle. Et si, ce n’est pas le cas, de toute façon le préjudice fait au père est minimisé, relativisé. Je pense qu’il y a une volonté d’infantilisation et de mépris du citoyen de la part de la nomenklatura judiciaire y compris des avocats. Ils ont compris qu’ils appartenaient à une classe sociale favorisée et que le peuple était une vache à lait idem pour la corporation médicale.

    Ils sont déjà morts !

     

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  • #1782027

    Dans le texte entier, il y a une erreur (volontaire !) : ce monsieur ne pourra pas demander la nationalité après 4 ans, car l’une des conditions ne sera pas remplie :

    Communauté de vie
    "La communauté de vie affective et matérielle ne doit pas avoir cessé avec votre époux qui doit avoir conservé sa nationalité".

    Il pourra rester en France, comme résident, cependant !

     

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  • #1782028

    Ah ben à M’bourmoi c’est pas gratuit .Après tout pourquoi ne pourrait on pas se payer du bon temps avec de la jeunesse à 58 ans ? Je ne vois pas quel est le problème .Chacun son Life style après tout ! Faut bien utiliser sa retraite à qq chose .Pourquoi elle pleure Bécassine ? C’est une posture d’avare .

     

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  • #1782031

    BVoltaire devrait nous rappeler les viols commis par la coloniale au Sénégal, pour que le match se termine par un score de parité ! La bêtise, la cupidité, la méchanceté et autres tares n’ont ni couleur, ni pays ! Remercions M. M’Bala père et sa Bretonne de nous avoir donné Dieudonné !!!

     

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  • #1782148

    je ne vois pas ou est le problème... Elles vont là bas pour se faire baiser, elles se font bien baiser !!

     

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  • #1782217
    Le 10 août 2017 à 18:29 par Georges 4bitbol
    Il était une fois une quinquagénaire bretonne et un trentenaire (...)

    Les deux sont pitoyables et méprisables. De la lie qui s’ignore.

     

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  • #1782289

    Le gigolo des tropiques a "obligation de quitter la France" mais reçoit quand même 700 €/mois de son ex-femme ????!!!!!
    Donc nos juges mondialistes et anti-français ont forcé cette gourdasse a payer une pension à un clandestin faisant objet d’une demande d’expulsion du territoire français ?????????
    Et elle en plus elle la paye chaque mois sans moufter au lieu de saisir la justice pour avoir gain de cause et se sortir de cette situation ubuesque ???
    Une telle chose ne peut arriver aujourd’hui qu’en France (et éventuellement aussi en Belgique mais pas coté flamand),franchement nos ploutocraties d’Europe de l’Ouest ont fini par toucher le fond,la France en tête...

     

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    • #1782602

      C’est une façon de punir sa bêtise.
      En 2017 tout le monde sait à quoi ressemble un mariage. Son couple était une caricature, elle mérite de payer pour sa bêtise. Sans parler du fait qu’en France des quinca célibataire ce n’est pas ce qu’il manque.

       
  • #1782477
    Le 11 août 2017 à 02:53 par PER CAPITA .................
    Il était une fois une quinquagénaire bretonne et un trentenaire (...)

    Bon !.. l’avantage au moins c’est qu’à l’âge qu’affichent généralement ces naïades, elles ne risquent pas de se faire "coller un polichinelle dans le tiroir" ... cela évite donc de surcharger la DASS qui l’est déjà suffisamment ...
    Et puis si elles sont cons à ce point et se font voler appartement, argent et le reste, on dira qu’elles participent à l’aide à l’Afrique !!! Après tout chacune est libre de faire le bien autour d’elle à sa manière ...

    C’est qu’un certain Sarkozy en son temps appelait le "gagnant gagnant" !!!

     

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  • #1782525

    Moralité de l’affaire : Se payer un bel étalon, pourquoi pas. Aller plus loin, surement pas !
    Je ne suis pas contre la consommation du moment que ça reste conscient donc éphémère et que ça ne vire surtout pas aux sentiments. Si on est un minimum lucide, on sait très bien à quoi s’en tenir avec ce qui convient d’appeler tout justement : un escort-boy. 50aine depassée, nevrosée, en manque, la meuf veut s’amuser avec un jeune. Pourquoi pas ? Mais voulant le beurre et l’argent du beurre, elle pensait vraiment pouvoir s’élever philosophiquement avec un mec qui ne vit que pour son physique ? La blague. Et le pire : se marier avec ... Voilà encore une preuve que le mariage n’a plus de sens de nos jours, quand on voit que des escrocs peuvent l’utiliser de manière aussi mesquine et calculée pour legaliser leur vol. La victime se fait dépouiller de manière légale, n’a aucun recours judiciaire et risque des poursuites si elle ne se soumet pas à son bourreau.
    Merci E&R pour cet article qui ne fait que me confirmer une fois de plus, qu’en dehors de la famille, il faut toujours rester sur ses gardes. Quand je vois cette femme sans aucune défense, je me dis qu’est-ce que j’ai de la chance d’avoir une famille pour me protéger.

     

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