Nous ne doutons pas de la détermination de Nazeer, réfugié soudanais de 22 ans, à vouloir devenir français. Non, il s’agit plutôt de douter de l’indépendance éditoriale des reportages de l’AFP, l’Agence France Presse, quand elle s’aligne ainsi sur la propagande de l’oligarchie, dont on rappelle qu’elle a déclenché les grandes vagues de migrations depuis trois ans pour des raisons à la fois économiques (destruction de la protection sociale des pays hôtes), politiques (destruction des frontières) et eschatologiques (destruction de la civilisation helléno-chrétienne).

Agence France Presse ou Agence France Propagande ?

Nazir deviendra probablement un « bon Français », mais il semblait être le seul à avoir cette ambition parmi les 36 qui sont arrivés avec lui. Et un sur 36, ça fait un peu moins de 3% de « réussite ». Il va falloir sévèrement augmenter ce ratio, ou neutraliser quelques filières mondialistes à l’origine de ce déséquilibre planétaire.

Malheureusement, sans être racistes, certains peuples tiennent à conserver leur unité ethno-culturelle... si ça n’est pas un gros mot, voire un crime condamnable par la justice mondialiste. Récemment, dans presque tous les pays de l’est européen, qui ont été protégés des évolutions ethno-culturelles qu’ont subies les pays ouest-européens depuis les années 1970, la tendance est non pas au repli sur soi, mais à la résistance à cette planification destructrice.

Les agents du mondialisme ethno-culturel en profitent pour accuser les électeurs de ces pays de tous les maux, essayant de raccrocher la locomotive nationaliste au wagon du nazisme, toujours prêt à servir. En oubliant que ces pays ont subi plus que d’autres la tempête nazie il y a 80 ans maintenant. Mais les amalgames font fi de la vérité historique et font partie intégrante de l’arsenal utilisé à dessein pour culpabiliser les peuples, à qui il ne reste plus beaucoup d’options.

La méthode est simple : on divise les peuples « accueillants » en récompensant la tolérance – euphémisme pour soumission aux intérêts dominants – et en punissant toute résistance. Ainsi les forces de l’oligarchie ont pu rassembler grâce à leurs relais associatifs des milliers de manifestants à Berlin pour protester contre l’entrée de l’AfD au Bundestag.

« Mon cœur bat pour la diversité »

Mais la médiasphère aux ordres a beau relayer et multiplier les injonctions oligarchiques, rien n’y fait, même à l’Ouest, les peuples européens visés par ce macabre objectif commencent à comprendre. On observe bien sûr des rechutes sous la forme d’individus complètement retournés par la propagande, au point de se détester eux-mêmes :

La contradiction objective entre une réalité menaçante et un discours médiatique lénifiant est ce qui perturbe aujourd’hui l’occidental moyen qui n’a pas forcément la lucidité ou les outils conceptuels pour appréhender cette ingénierie subtile. Comme il ne peut pas rejeter le réel, sous peine de devenir fou, il doit rejeter le discours irréel, mais ce dernier lui est asséné au quotidien par tous les canaux possibles.

On subodore que si le système électoral continue à faire monter les « populismes », il va être retoqué. On verra alors les limites de la « démocratie ». Les peuples subissent une criminalisation flagrante dès lors qu’ils s’expriment autrement que comme il faudrait. Même tarif pour les hommes politiques dont la parole est considérée comme déviante dès qu’ils abordent le thème naturel de la défense de leur pays :

Une solution pragmatique consisterait à se couper de ces canaux de diffusion du mensonge oligarchique – devenir des ermites – mais le besoin d’information et d’échanges est primordial chez l’être humain, qui vit dans une angoisse permanente, celle du déficit informationnel qui le tient de la naissance à la mort. C’est ce besoin d’explication qui est détourné par les forces du Mal. Toutes les maladies modernes en découlent.

D’où notre définition : ceux qui sont en bonne santé (mentale et physique) sont ceux qui ont compris !

Manifestation de migrants et d’associations le 21 octobre 2017 à Paris :

Manifestation de dépit d’un commerçant de Ouistreham (Calvados) :