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Les faits contre l’antienne misérabiliste du pouvoir algérien

Bernard Lugan remet l’histoire à l’endroit

« Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. » Cette phrase d’Étienne de la Boétie résume la relation franco-algérienne. À chaque fois qu’il est en difficulté, le « Système » algérien sort en effet le joker-martingale de l’accusation de la France, sachant qu’il sera immédiatement relayé par les héritiers des « porteurs de valises », ethnomasochistes buvant goulûment au calice de la repentance et de la contrition.

 

Le 15 juillet dernier, montrant en cela qu’il n’est pas encore mentalement décolonisé, Mohand Ouamar Bennelhadj, membre essentiel du « Système » algérien puisqu’il est le secrétaire général par intérim de l’« Organisation nationale des moudjahidines », les « anciens combattants », a ainsi appelé le Parlement algérien à voter une loi criminalisant la colonisation française. Il a en outre demandé que cette loi ouvre la voie à des « compensations », osant écrire que les Français ont « génocidé » les Algériens et que, après avoir pillé le pays, ils « n’ont laissé ici que des broutilles, des choses sans valeur ».

Ces accusations ne relèvent pas de l’anecdote. Ce n’est pas de sa propre initiative que ce pâle apparatchik dont l’association constitue le pivot du « Système » et dévore 6% du budget de l’État – plus que ceux des ministères de l’Agriculture (5%) et de la Justice (2%) –, a lancé ces accusations gravissimes. Depuis deux ou trois semaines, acculé par la rue, le général Gaïd Salah a en effet ordonné qu’une offensive anti-française destinée à tenter de faire dévier la contestation populaire soit lancée. Face à cette véritable déclaration de guerre, le président Macron garde un étourdissant silence…

Alors, puisque, comme ils en ont hélas l’habitude, les « lapins de coursive » qui dirigent la France se tairont, il est donc nécessaire que les « réseaux sociaux » s’emparent de l’affaire, à la fois pour exiger une réponse officielle des autorités françaises, et pour « remettre les pendules à l’heure ».

En 1962, la France a légué à l’Algérie un héritage exceptionnel et non des « broutilles » et des « choses sans valeur », à savoir 54 000 kilomètres de routes et pistes (80 000 avec les pistes sahariennes), 31 routes nationales, dont près de 9 000 kilomètres étaient goudronnés, 4 300 km de voies ferrées, 4 ports équipés aux normes internationales, 23 ports aménagés (dont 10 accessibles aux grands cargos et dont 5 qui pouvaient être desservis par des paquebots), 34 phares maritimes, une douzaine d’aérodromes principaux, des centaines d’ouvrages d’art (ponts, tunnels, viaducs, barrages, etc.), des milliers de bâtiments administratifs, de casernes, de bâtiments officiels, 31 centrales hydroélectriques ou thermiques, une centaine d’industries importantes dans les secteurs de la construction, de la métallurgie, de la cimenterie etc., des milliers d’écoles, d’instituts de formations, de lycées, d’universités avec 800 000 enfants scolarisés dans 17 000 classes (soit autant d’instituteurs, dont deux-tiers de Français), un hôpital universitaire de 2000 lits à Alger, trois grands hôpitaux de chefs-lieux à Alger, Oran et Constantine, 14 hôpitaux spécialisés et 112 hôpitaux polyvalents, soit le chiffre exceptionnel d’un lit pour 300 habitants. Sans parler d’une agriculture florissante laissée en jachère après l’indépendance, à telle enseigne qu’aujourd’hui l’Algérie doit importer du concentré de tomates, des pois chiches et de la semoule pour le couscous…

Tout ce que la France légua à l’Algérie avait été construit à partir du néant, dans un pays qui n’avait jamais existé et dont même son nom lui fut donné par la France. Tout avait été payé par les impôts des Français. Daniel Lefeuvre a montré qu’en 1959, toutes dépenses confondues, l’Algérie engloutissait 20 % du budget de l’État français, soit davantage que les budgets additionnés de l’Éducation nationale, des Travaux publics, des Transports, de la Reconstruction et du Logement, de l’Industrie et du Commerce !

 

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110 Commentaires

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  • #2243489
    Le 20 juillet 2019 à 14:56 par Nabil,m
    Les faits contre l’antienne misérabiliste du pouvoir algérien

    Fidèle à lui ce clown pour qui le soldat français est aller en Afrique pour défendre la veuve et l’orphelin. L’Algérie n’a jamais pris son indépendance !voir le discours de de Gaulle à tlemcen avant la prise de pouvoir par les anciens de l’armée française comme partout en Afrique.expliquez moi comment sous Sarkozy son ennemi De Villepin va à Alger pour désigner le ministre des finances (fait vérifier et vérifiable )voyage officiel .un historien relate des faits ne disserte pas comme ce troll de lugan

     

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  • #2243991
    Le 21 juillet 2019 à 01:55 par Grindsel Tirédunevi
    Les faits contre l’antienne misérabiliste du pouvoir algérien

    On peut aussi rappeller les siécles d’esclavage des Algériens musulmans sur les chrétiens... Quelle repentance de leur part ??? Aucune.

    On peut rappeller aussi la responsabilité écrasante de la Franc-Maçonnerie dans la colonisation si peu française (Comme le rappelle Bernard Lugan, les français ont surtout payé pour la colonisation, plus que profité. Et la France post-révolution est elle-même dans un état de colonisée, de fait, par l’oligarchie judéo-britannique). La même franc-maçonnerie qui organise l’immigration de masse. Il y a un rapprochement à faire avec le comportement honteux de nombreux Algériens en France en ce moment même, sous nos yeux... Là encore, quelle repentance ??? Aucune.

    Certains critiquent les idées françaises supprémacistes, là encore, ajustez votre cible, dénoncez les Franc-Maçons, les "Lumières"...

    Certains comparent avec le massacre des indiens d’Amérique, et bien non, justement, renseignez-vous sur ce que fut la conquète vraiment française du Nouveau Monde, et quel respect avaient les indiens pour les français et réciproquement.

    Qu’on le veuille ou non, le Maroc, vrai pays avec une grande Histoire et une vraie indépendance, est le contre exemple parfait : jamais il ne demande de repentance.

     

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    • #2244368

      On peut rappeller aussi la responsabilité écrasante de la Franc-Maçonnerie dans la colonisation si peu française (Comme le rappelle Bernard Lugan, les français ont surtout payé pour la colonisation, plus que profité. Et la France post-révolution est elle-même dans un état de colonisée, de fait, par l’oligarchie judéo-britannique).




      C’est là que le bas blesse... Camarade faite une différence en ce que vous nous encourager à nous rappeler et ce que font d’autres..

      Bernard Lugan ne dénoncera jamais la franc-maçonnerie... ni la France Afrique et encore moins le fait que quasiment tous les présidents africains sont franc-maçons... Il parlera volontiers de la Chine en Afrique mais pas d’Israel...

      Quant au Maroc et les affinités de Bernard avec la couronne... qu’il explique pourquoi Benbellah le premier président algérien était un marocain... le clan de Oujda au pouvoir depuis des décennies aurait il confisqué l’indépendance ? https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Cla...
      Kontre Kulture est en rupture de stock du livre de Louniis Aggoun mais croyez vous que Lugan pourrait aborder les questions brûlantes ? https://m.youtube.com/watch?v=hic3S...
      C’était qui les DAF ? Bernard Lugan parle t il une seule fois de la real-politik ? Ou peut être qu’on est des enfants à qui on doit cacher la vérité ?!

      J’ai appris récemment que le président du MAK, indépendantiste Kabyle (fleurtant ouvertement avec Tel-Aviv) avait affirmé à un moment recevoir chaque mois 250 000 euros de la couronne marocaine.

      Que cela soit soit très clair... nous avons la nécessité de nous défaire d’un sentiment de repentance mais pas au dépend de la vérité et pas pour servir une propagande.

      La liberté c’est justement d’admettre la realpolitik, la médiocrité de nos dirigeants depuis des siècles et la franc-maçonnerie... la repentance n’a pas de sens lorsqu’on comprend que partout les peuples sont victimes des mêmes prédateurs cherchant à monter les uns contre les autres tout en protégeant toujours les mêmes commanditaires. Cdlt

       
  • #2244198
    Le 21 juillet 2019 à 12:47 par bobforrester
    Les faits contre l’antienne misérabiliste du pouvoir algérien

    Oui il faut lire "contre la repentance"du regretté Daniel Lefeuvre un ancien communiste qui n avait pas la langue dans sa poche, et dont le livre est un démenti écrasant à la propagande des inspirateurs voire des commanditaires des exactions commises par la racaille anti française, soutenue en loucedé par des millions de Maghrebins occupants sur notre sol.

     

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  • #2244257
    Le 21 juillet 2019 à 14:12 par Laverdad
    Les faits contre l’antienne misérabiliste du pouvoir algérien

    Bernard Lugan pense que l´Algérie est « un pays qui n’avait jamais existé et dont même son nom lui fut donné par la France ». Cette affirmation répétée à satiété par les adeptes du colonialisme, n´a de sens que par rapport à la vision française coloniale. Avant la conquête, les français désignait cette partie du Maghreb par le nom officiel de Royaume d´Alger. Après la conquête ils ont décidé de lui changer de nom et de l´appeler Algérie (ils en ont fait de même en Tunisie). Étymologiquement, le mot Algérie dérive du mot ALGER . Je ne sais pas si on peut réclamer la paternité d´un mot en y ajoutant deux voyelles. Ainsi le royaume d´Alger est devenu Algérie, un peu comme le royaume de France est devenu la France et le royaume de Tunis, Tunisie. En fait il est important de souligner que le changement de nom n´avait eu lieu que pour les français car les maghrébins ainsi que les arabes, les turcs, les asiatiques désignent cette contrée toujours de la meme façon : Argel pour les espagnols, Algeri pour les italiens, Aljazair pour les arabes, DZAIR pour les maghrébins, Cezayir pour les turcs, etc.) que ce soit avant, pendant ou après la colonisation. Bernard Lugan se doit de nous expliquer comment "ce pays qui n´existait pas" fournissait du blé à toute l´Europe du Sud y compris la France. Il se doit de nous expliquer comment et pourquoi les puissances occidentales de l´époque y compris les USA entretenaient des relations diplomatiques avec "un pays qui n´existait pas". Ces délégations consulaires constituaient une reconnaissance de facto de la nation algérienne. "Ce pays qui n´existait pas" était déjà dans ses frontières bien avant la plupart des pays européens ; avec un pouvoir central et des divisions administratives. Pour l´histoire, le premier traité entre le royaume d´Alger et le royaume de France remonte au 14eme siècle. En 1802, le royaume de France et le royaume d´Alger signèrent un autre traité dans lequel il est clairement stipulé que « 1´état de guerre sans motif et contraire aux intérêts des deux peuples » . Dans ce traité il est fait mention textuellement du mot ALGERIE (M. Habart, 1963)

     

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  • #2244258
    Le 21 juillet 2019 à 14:15 par LaVeritéSiJeMens
    Les faits contre l’antienne misérabiliste du pouvoir algérien

    La scolarisation dont parle Bernard Lugan n´est venue que bien tardivement, après le déclenchement de la guerre de libération. L´objectif recherché était bien entendu de détourner le peuple et d´isoler la révolution. Après 132 ans de colonialisme, il y avait en Algérie au lendemain de l´indépendance, pour une population d´environ 9 millions d´habitants, 28 ingénieurs et assimilés (Ageron, 1999), 340 médecins, 70 pharmaciens et 36 chirurgiens dentistes (ONS, 2011). A travers ces chiffres, il devient évident que l´accès à la formation était sévèrement contrôlé. D´ailleurs, ceux qui avaient la chance de fréquenter les écoles primaires furent systématiquement bloqués au certificat d´études primaires. Comme quoi, le savoir ça peut donner des idées aux indigènes !

     

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    • #2247525

      La scolarisation dont parle Bernard Lugan n´est venue que bien tardivement, après le déclenchement de la guerre de libération.




      Durant la colonisation française, la scolarisation des jeunes autochtones dépendait des autorités religieuses musulmanes qui régissaient la vie des communautés.

      La République des hussards noirs ne lésinait pas avec l’éducation. Ils avaient pour mission de laïciser le maximum de citoyens et comme l’ambition républicaine se voulait impérialiste, peu lui importait la couleur, il fallait alphabétiser et franciser au passage. Du reste cette école a formé de nombreux résistants algériens.
      De même, les maghrébins qui voulaient s’engager dans l’armée française, devaient obtenir l’aval des autorités musulmanes.

      Il s’agissait d’un accord entre les parties qui devait remonter à la capitulation de l’émir Abdelkader.

       
  • #2244264
    Le 21 juillet 2019 à 14:25 par bobforrester
    Les faits contre l’antienne misérabiliste du pouvoir algérien

    1 Aït Ahmed ( eminent dirigeant révolutionnaire du FLN ) a déclaré avant de mourir : " l Algerie c était le Paradis quand les Français y étaient".
    2 15millions d Africains ont été émasculés par les Arabo-musulmans "Le génocide voilé". Quid des "reparations" ?
    3 la colonisation est un fait universel avec ses crimes et ses progrès comme le capitalisme qui a décimé des millions de travailleurs des villes et des campagnes durant 5 siècles.
    4 la répression de la Commune a fait 40000 morts hommes femmes et enfants...français, massacrés par des Français ! L époque n était pas tendre pas plus avec les Français qu’avec les Arabes.
    5 les asiatiques dont Chinois et Vietnamiens notamment n ont pas été mieux traités que les Algériens et ne demandent rien car eux ont compris le sens de l histoire.
    6 il y a un probleme avec les Arabes notamment de religion musulmane et avec un nationalisme incompatible avec notre culture répubicaine laïc égalitaire.
    Je tire la même conclusion que NDA : qu ils s en aillent s ils ne peuvent s adapter. Mais ils ne partiront pas, de mèche avec un pouvoir qui leur ouvre grand la porte ils le remercieront en nous tirant dans les pattes. Cf leur absence dans les gilets jaunes

     

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    • #2247529

      La majorité des magrhébins n’est pas arabe. Les populations sont majoritairement de type caucasien. Après avoir été christianisées, elles ont été islamisées. Cependant, la culture amazigh a persistée malgré les diverses occupations.

       
  • #2244267
    Le 21 juillet 2019 à 14:32 par Lagriculteur
    Les faits contre l’antienne misérabiliste du pouvoir algérien

    L´Agriculture coloniale, résolument tournait vers l´exportation, était florissante pour le colonat. Les indigènes fournissaient la force de travail souvent gratuite ou très mal rémunérée. Soumise à l´idéologie marchande et capitaliste, cette activité favorisait les cultures a haut rendement telles que le tabac et la vigne. Cultures sans intérêt pour les autochtones mais hautement rentables pour les colons devenus bedonnants et ventripotents. D´ailleurs grâce ou plutôt à cause de cette agriculture florissante, l´Algérie pays musulman est devenu l´un des plus grands exportateurs de vin au monde. Ce dilemme fut résolu de manière radicale, en procédant à l´arrachage des vignes et à la transformation de ces immenses vignobles en parcelles de terres aptes pour le maraîchage. Tant pis pour l´agriculture florissante.

     

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  • #2244269
    Le 21 juillet 2019 à 14:42 par Leprojeteur
    Les faits contre l’antienne misérabiliste du pouvoir algérien

    Le réseau routier au lendemain de l´indépendance était constitué de 8 500 km de routes nationales et 12700 km de routes départementales, soit 20700 km de routes auquel s´ajoutait 12200 km de pistes. A titre de comparaison le réseau routier algérien actuel est estimé 108 302 km de routes (dont 76 028 km goudronnées). L´on sait que ces routes et pistes réalisées durant la période coloniale étaient initialement destinées à la poursuite de la conquête coloniale et surtout pour faciliter la pénétration des troupes dans l´arrière-pays pour mater les rebellions qui du reste n´ont jamais cesser. Il a fallu 40 ans à l´armée française d´Afrique pour « pacifier » l´Algérie, après avoir massacré quelques millions de personnes et interné ou déporté des centaines de milliers d´autres.
    Mais peu importe les chiffres, l´essentiel est de savoir que ces réalisations furent destinées au bénéfice quasi-exclusif des européens, et se faisaient dans une perspective de conquête coloniale. En fait toutes les infrastructures coloniales (routières, portuaires ou autres) étaient intimement liés à la conquête. Qui plus est, l´idéologie discriminatoire et raciale qui sous-tendait le colonialisme français ne tolérait pas d´envisager des projets de développement au profit des populations indigènes. Le racisme et la discrimination étaient tels que l´administration coloniale a instauré deux formes de gestion administrative : les communes de « plein exercice » à la française pour les européens et les communes mixtes régentées par l’administration coloniale, pour les indigènes . Cette discrimination a un nom : l´Apartheid

     

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    • #2244808


      Qui plus est, l´idéologie discriminatoire et raciale qui sous-tendait le colonialisme français ne tolérait pas d´envisager des projets de développement au profit des populations indigènes.




      La vérité est par définition intelligente... Les phéniciens, les romains, les vandales, les arabes, les turcs se sont tous installés en Algérie pour ne jamais repartir.... la seule exception c’est nos pied-noirs et pourtant la ripoublik rechignait à les intégrer en France (sans parler des harkis) lors de leur rapatriement.

      Si la ripoublik franc-maçonne avait ouvert les écoles aux petits indigènes, le projet colonial aurait été tout autre. Si les pied-noirs avaient voulus rester en Algérie, ils y seraient encore. Une trop grosse partie influente ne voulait pas vivre sur un pied d’égalité avec l’autochtone ; c’est dommage mais c’est comme ça. Impossible de donner à quelqu’un ce qu’il ne réclame pas.

       
    • #2248557

      Albert Camus militait pour l’indépendance de l’Algérie avec toutes ses forces vives qu’elles furent de culture arabe ou européenne, mais les chefs du FLNA, mouvement formé, financé et armé par le PCF, n’en voulaient pas.

      En 1956, suite aux massacres perpétrés sur des civils, en grande partie des enfants, Albert Camus (pied-noir) a appelé à la trêve civile, ce qui a été refusé par les membres du FLN qui exigeaient une indépendance immédiate sans contrepartie.

      Albert Camus meurt le 4 janvier 1960, l’indépendance sera prononcée le 5 juillet 1962 pas comme l’aurait souhaité Camus qui se considérait algérien.

       
  • #2244274
    Le 21 juillet 2019 à 14:47 par Dissensus
    Les faits contre l’antienne misérabiliste du pouvoir algérien

    Allo Bernard ! tu passes en revue avec une certaine désinvolture les « réalisations » françaises et tu nous les présente comme s´il s´agissait de projets d´investissements au profit des autochtones, c´est a dire des algériens, qui du coup passeraient aux yeux du lecteur non-averti, pour des ingrats. Tout le monde sait, y compris toi, que rien, absolument rien, n´a été investi au bénéfice des indigènes mais que tout a été planifié et pensé pour le bien être de la population européenne et surtout pour assurer un niveau de vie élevé aux gros colons qui pour eux l´Algérie fut un vrai pays de cocagne, un Eldorado.

     

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  • #2245172
    Le 22 juillet 2019 à 19:27 par LiliDesBellons
    Les faits contre l’antienne misérabiliste du pouvoir algérien

    Entendu (à plusieurs reprises) lors d’interviews d’algériens ces derniers mois : "Le peuple algérien a connu deux colonisations : celle de la France puis celle du FNL ; et la seconde a été pire !"....

     

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