Egalité et Réconciliation
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L’élection américaine en direct (partie 3) : la bataille judiciaire

Après la Nuit américaine d’E&R (328.000 vues), le Combat pour la justice (293.000 vues), voici la Bataille judiciaire, troisième volet des élections américaines 2020 qui ne ressemblent décidément à aucune autre.

Pour ceux qui prendraient cette série en route, la lutte est acharnée entre la présidence et le clan Biden qui a déclaré sa « victoire » trop vite pour faire oublier la fraude massive de dernière minute sur les votes par correspondance dans les États qui étaient d’ailleurs en ballottage favorable pour Trump. Le Président ne renonce pas à sa victoire, le challenger tente la politique du fait accompli, soit un coup d’État médiatique.

C’est dans ces swing states que la justice américaine et les avocats du président Trump s’affairent pour séparer les bons des mauvais bulletins, le bon grain de l’ivraie. La parabole des Évangiles s’impose ici, car nous sommes en présence de deux visions du monde qui s’affrontent sans ménagement : celle des souverainistes (Trump et le peuple américain en demande de protection) face à celle des mondialistes (Biden, Soros, Gates, Epstein, les médias mainstream plus les minorités sexuelles et ethniques). Les croyants diront Dieu contre le Diable.

 


 

04h00 - Dans un témoignage vidéo, Melissa Carone, employée de Dominion Voting Systems en tant qu’entrepreneur chargé de surveiller les machines à compter les bulletins de vote, a déclaré avoir vu des employés du centre TCF faire passer plusieurs fois les mêmes lots de 50 bulletins par les guichets, parfois jusqu’à huit, neuf ou dix fois.

 

Traduction E&R de l’article TrendingPolitics.

 

De plus, elle a déclaré que bien qu’elle n’ait pas été autorisée à toucher les bulletins de vote ou à se tenir directement au-dessus des machines, elle n’a vu que des bulletins au nom de Biden pendant toute sa période de travail de 24 heures – pas un seul bulletin pour le président Trump.

Elle a également témoigné qu’il n’y avait pas de contrôle légal et légitime du processus de vote – que les démocrates "observaient" essentiellement les démocrates. Elle a également déclaré qu’elle avait vu des membres du personnel électoral dupliquer des bulletins de vote tout en changeant les votes pour d’autres, volant les résultats au grand jour.

Carone a également déclaré qu’elle avait fait part de ses découvertes au FBI, mais pour l’instant, rien n’indique que le Bureau – ou le ministère de la Justice – ait fait quoi que ce soit pour enquêter.

Ses révélations ont été faites, entre autres, par l’avocat de la campagne Trump, Sidney Powell, qui affirme qu’elle et d’autres juristes travaillant au nom du président ont découvert des preuves substantielles de prétendus paiements, modifications de votes et autres manigances liées au système Dominion et à certains élus de l’État qu’elle n’a pas nommés.

Et voici quelques éléments de réflexion : si une fraude électorale généralisée et ouverte devait avoir lieu contre ce président, il est tout à fait logique qu’elle se produise dans des bastions démocratiques comme Detroit, où un système de corruption est déjà en place.

Et jusqu’à présent, comme l’ont noté les rapports Rasmussen, Biden n’a surpassé la performance d’Hillary Clinton en 2016 que dans quatre villes : Milwaukee, Atlanta, Philadelphie et... Detroit où le vote a même dépassé le nombre d’électeurs inscrits.

 

Le témoignage de Melissa Carone (vidéo en anglais) :

 

Son passage chez Lou Dobbs, sur Fox News (vidéo en anglais) :

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17 novembre, 00h00 - Le 15 novembre, le Washington Post avait titré mensongèrement « La campagne de Trump abandonne une grande partie de son recours contre les résultats des élections en Pennsylvanie ».

Dans cet article, les journalistes Jon Swaine et Elise Viebeck ont rapporté que la campagne Trump abandonnait l’argument selon lequel les autorités électorales auraient rendus invalides plus de 600.000 votes en interdisant aux observateurs de Trump de regarder le décompte.

Or, comme l’ont rappelé de nombreux observateurs ainsi que Donald Trump ou son avocat Rudy Giuliani, ce n’est pas le cas :

 

Je pense que ce type a un défaut de maîtrise de la lecture. Il n’a pas lu les paragraphes 132 à 150 de la plainte. Je suppose que 680.770 bulletins par correspondance non inspectés et illicites, ce n’est pas assez. Bien, nous trouverons davantage encore avant le procès.

 

La spécialiste en droit constitutionnel et conseillère de Donald Trump Jenna Ellis développe l’information à 5’40 dans l’émission Breitbart News Sunday (en anglais) :

 

Dans le Michigan, de nombreux affidavits (témoignages sous serment engageant le témoin au risque de parjure, délit pouvant entraîner jusqu’à 5 ans d’emprisonnement) ont été signés démontrant de fortes suspicions de fraudes massives, au moins 300.000 bulletins d’après Rudy Giuliani qui développe le dossier juridique à Détroit dans la vidéo suivante (vidéo en anglais) :

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23h00 - Les statistiques, bien maîtrisées, mentent assez rarement. Elles sont tout au moins un indice, si ce n’est un début de preuve, vers une thèse, en l’occurrence celle de la fraude.

 

 

En Pennsylvanie, les bulletins de vote par correspondance ont été acceptés cette année à un taux près de 30 fois supérieur à celui prévu par les chiffres habituels historiques, ce qui soulève potentiellement des questions dans un État où le challenger démocrate Joe Biden maintient une avance de seulement quelques milliers de voix.

En effet, un examen comté par comté par Just the News des bulletins de vote par correspondance acceptés et rejetés dans tout l’État de Pennsylvanie montre que, une fois additionnés, l’État n’a rejeté que 951 des 2.614.011 bulletins de vote par correspondance cette année, soit un taux de 0,03 %.

Or, ce chiffre est nettement inférieur au taux historique de rejet des bulletins de vote par correspondance, qui tourne généralement autour de 1 %. Pour les électeurs qui votent par correspondance pour la première fois, le taux peut même grimper jusqu’à 3 %.

En 2016, l’État a enregistré environ 266.208 bulletins de vote par correspondance ; un peu moins de 1 % d’entre eux, soit 2.534, ont été rejetés, ce qui correspond à peu près aux prévisions historiques, selon l’enquête sur l’administration électorale et le vote de 2016.

À ce taux de rejet historique, environ 26.000 bulletins de vote par correspondance auraient du être rejetés du décompte final de la Pennsylvanie de cette année. De tels chiffres n’auraient pas été inattendus. Le mois dernier, par exemple, le Bucks County Courier Times a estimé que, sur la base des prévisions de participation aux votes par correspondance, environ 28.000 Pennsylvaniens auraient pu voir leurs bulletins rejetés, plutôt que les 951 qui l’ont finalement été !

Le vote par correspondance, sans surprise, a un taux de rejet nettement plus élevé que le vote en personne. Les électeurs qui utilisent les bulletins de vote par correspondance commettent souvent des erreurs, telles que des formulaires mal rédigés, des signatures non concordantes et une mauvaise comptabilisation des votes.

Ce chiffre augmente pour les électeurs qui votent par correspondance pour la première fois, le taux de rejet au sein de ce groupe atteignant parfois 3 %. Or, des millions d’Américains ont voté par correspondance pour la première fois lors des élections de 2020, en grande partie en raison des inquiétudes suscitées par la pandémie de COVID-19.

En Pennsylvanie, vendredi après-midi, la course entre le démocrate Joe Biden et le président républicain Donald Trump a été très serrée, avec la quasi-totalité des bulletins de vote comptés et Biden en tête avec environ 13.000 voix.

Il est aisé de conclure que si le taux de rejet avait oscillé entre 1 et 3%, soit entre 28.000 et 55.000 votes environ, en rappelant que la plupart de ces votes sont pour Biden, on imagine alors aisément que les 13.000 voix d’avance du candidat démocrate auraient fondu comme neige au soleil...

 

Inspiré de l’article de JusteTheNews, 16 novembre 2020.

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22h00 - Mark Zuckerberg et Jack Dorsey, les directeurs de Facebook et Twitter, sont convoqués par le Congrès afin de s’expliquer sur leur gestion de la désinformation lors de l’élection présidentielle. Les législateurs qui les interrogeront sont certes divisés sur la bonne tenue ou non des élections et la validité des résultats, mais on notera tout de même que le comité judiciaire du Sénat devant lequel Zuckerberge et Dorsey témoigneront demain est dirigé par Lindsey Graham, un proche de Trump, qui l’a récemment exhorté à ne pas abandonner et à continuer la lutte. À suivre…

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03h00 - Nous avions relayé en VO l’interview de Sidney Powell, une des principaux avocats de l’équipe Trump. La voici avec les sous-titres en français, sur la plateforme Odysee.

 

Ici, Vernon Jones, ancien démocrate qui a rejoint le camp Trump en 2020, s’exprime sur les élections en Géorgie, État pour lequel il est élu à la Chambre des représentants :

 

Que se passerait-il si tous les États n’avaient pas rendu un résultat officiel au 14 décembre ? La réponse, déjà abordée dans une vidéo importante que nous avions relayée plus bas, est reprise ici par Jenna Ellis, spécialiste en droit constitutionnel et conseillère de Donald Trump :

 

La version longue, en anglais, incluant une interview de Rudy Giuliani, ancien maire de New York et un des avocats de Donald Trump :

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02h00 - Le vote par correspondance est très susceptible d’entraîner des fraudes. Ce ne sont pas les complotistes trumpiens qui le disent, mais le vénérable et démocrate (et antitrumpiste primaire) New York Times, dans un article du 7 octobre 2012.

(...) Pourtant, les statistiques montrent que les votes exprimés par courrier ont moins de chances d’être comptés, plus de chances d’être compromis et plus de chances d’être contestés que ceux exprimés dans un isoloir. Les fonctionnaires électoraux rejettent près de 2 % des bulletins de vote envoyés par la poste, soit le double du taux de vote en personne.

« Plus vous forcez les gens à voter par correspondance », a déclaré M. Sancho, « plus vous générerez de bulletins non valables ».

Les experts électoraux affirment que les défis créés par les bulletins de vote envoyés par la poste pourraient bien affecter les résultats cet automne (2012) et au-delà.

Cette tendance se traduira probablement par une augmentation du nombre de votes non comptés, et elle augmente le risque de fraude. Bien que la fraude dans le vote par correspondance soit beaucoup moins courante que les erreurs innocentes, elle est beaucoup plus répandue que la fraude dans le vote en personne qui a attiré beaucoup plus d’attention, selon les administrateurs électoraux.

Le vote par correspondance est aujourd’hui suffisamment courant et problématique pour que les experts électoraux affirment qu’il y a eu de multiples élections où personne ne peut dire avec certitude quel candidat a été le vainqueur mérité. La liste comprend l’élection présidentielle de 2000, où les problèmes liés aux bulletins de vote par correspondance en Floride ont été peu remarqués, ainsi que d’autres questions.

Lors de la dernière élection présidentielle, 35,5 millions d’électeurs ont demandé des bulletins de vote par correspondance, mais seuls 27,9 millions de votes par correspondance ont été comptés, selon une étude de Charles Stewart III, politologue au Massachusetts Institute of Technology. Il a calculé que 3,9 millions de bulletins demandés par les électeurs ne leur sont jamais parvenus, que 2,9 millions de bulletins supplémentaires reçus par les électeurs n’ont pas été renvoyés aux responsables des élections et que les responsables des élections ont rejeté 800.000 bulletins. Cela suggère un taux d’échec global pouvant atteindre 21 %.

Certains électeurs ont vraisemblablement décidé de ne pas voter après avoir reçu des bulletins, mais M. Stewart a déclaré que beaucoup d’autres ont très probablement essayé de voter et ont été contrecarrés. « Si 20 %, ou même 10 %, des électeurs qui ont fait la queue le jour du scrutin étaient refusés », a-t-il écrit dans l’étude publiée dans le Journal of Legislation and Public Policy, « ce serait une honte nationale ».

Néanmoins, le vote en personne est plus fiable, en particulier depuis que les administrateurs électoraux ont apporté des améliorations à l’équipement de vote après l’élection présidentielle de 2000.

Mais presque rien n’a été fait pour remédier aux problèmes particuliers posés par les votes par correspondance. Au contraire, le secrétaire d’État républicain de l’Ohio a récemment envoyé des demandes de vote par correspondance à tous les électeurs inscrits dans l’État. Et les législateurs républicains de Floride ont récemment révisé la loi de l’État pour permettre l’envoi des bulletins de vote où les électeurs le souhaitent, plutôt que de les envoyer uniquement à leur adresse enregistrée.

Les républicains sont en fait plus susceptibles que les démocrates de voter par correspondance. Lors des élections générales de 2008 en Floride, 47 % des électeurs absents étaient des républicains et 36 % des démocrates.

Il existe un consensus dans les deux camps sur le fait que le vote par correspondance, quel que soit son impact, est plus facilement abusé que d’autres formes de vote. Dans un rapport de 2005 signé par le président Jimmy Carter et James A. Baker III, qui a été secrétaire d’État sous le premier président George Bush, la Commission sur la réforme des élections fédérales a conclu que « les bulletins de vote par correspondance restent la plus grande source de fraude électorale potentielle ».

« Le problème », a déclaré Murray A. Greenberg, un ancien procureur du comté de Miami, « est en fait la collecte des bulletins de vote par correspondance dans les centres pour personnes âgées. En Floride, les personnes affiliées à des campagnes politiques "aident les gens à voter par correspondance", dit-il. "Et l’aide est entre guillemets. »

Les électeurs des maisons de retraite peuvent être soumis à des pressions subtiles, à une intimidation pure et simple ou à une fraude. Le secret de leur vote est facilement compromis. Et leurs bulletins de vote peuvent être interceptés à l’aller comme au retour.

Le problème ne se limite pas aux personnes âgées, bien sûr. Les bulletins de vote par correspondance facilitent également l’achat et la vente de votes. Ces dernières années, des tribunaux ont invalidé des élections municipales dans l’Illinois et l’Indiana en raison de bulletins de vote par correspondance frauduleux.

Le vote par correspondance a également joué un rôle crucial lors de l’élection présidentielle de 2000 en Floride, où la marge entre George W. Bush et Al Gore était très mince et où des centaines de bulletins de vote par correspondance ont été comptés en violation apparente de la loi de l’État. Les bulletins de vote défectueux, provenant d’Américains vivant à l’étranger, comprenaient certains sans cachet de la poste, d’autres oblitérés après l’élection, d’autres encore sans signature de témoin, d’autres encore postés depuis les États-Unis et d’autres encore envoyés par des personnes ayant voté deux fois. Tous auraient été disqualifiés si les lois électorales de l’État avaient été strictement appliquées.

Lors des dernières primaires, près de 40 % des bulletins de vote n’ont pas été déposés dans l’isoloir le jour de l’élection. Ils étaient répartis entre les votes anticipés dans les bureaux de vote, que M. Sancho, le superviseur des élections du comté de Leon, privilégie, et les votes par correspondance, qui le rendent nerveux.

« Il n’y a pas eu un seul cas de fraude lors du vote anticipé », a déclaré M. Sancho. « Les seuls cas de fraude électorale ont eu lieu lors des votes par correspondance. »

Selon les experts en droit électoral, il est difficile d’imaginer une fraude électorale en personne d’une ampleur suffisante pour faire basculer une élection, avec des dizaines, voire des centaines de personnes commettant un crime en public en se faisant passer pour quelqu’un d’autre, sans parler du risque exceptionnel.

Il existe des alternatives beaucoup plus simples et plus efficaces pour commettre une fraude à une telle échelle, a déclaré Heather Gerken, professeur de droit à Yale.

« Vous pourriez voler des bulletins de vote par correspondance, remplir une urne, soudoyer un administrateur électoral ou manipuler une machine de vote électronique », a-t-elle déclaré. Cela explique, dit-elle, « pourquoi toutes les preuves d’élections volées concernent des bulletins de vote par correspondance et autres ».

 

Une traduction E&R partielle de l’article du New York Times. Les mises en gras sont de nous.

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00h00 - Analyse de François Asselineau sur l’empressement révélateur à reconnaître Joe Biden comme 46e président des États-Unis.

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23h00 - Notre fil d’actualité étant, par nature, en temps plus ou moins réel, nous disposons de beaucoup d’informations en langue anglaise. Nous assurons les traductions écrites quand cela est nécessaire mais il y a toujours quelques jours de décalage avant que de généreux internautes ne produisent une traduction vidéo. Nous privilégions bien sûr les liens Odysee.

Sidney Powell, une des avocates principales de Donald Trump, répond aux questions de la journaliste de Fox News. On notera qu’un des arguments que l’avocate répète sur les différents plateaux de télévision est lié aux élections d’Hugo Chavez. Or, même Jimmy Carter, ancien président des États-Unis et prix Nobel de la paix (ce qui vaut ce que ça vaut), avait dit que les élections vénézuéliennes étaient parmi les plus sûres au monde (ce qui est plutôt juste avec un double système électronique + papier). Mais on comprendra que cet argument est plutôt un argument politique destiné à satisfaire ceux qui l’écoutent, et que de toute manière, ces sujets restent parmi les points faibles de l’analyse trumpienne, ou – plus probablement – des concessions qu’il doit faire pour avoir les mains libres par ailleurs.

 

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22h00 - Ce dimanche, les médias – en particulier français –, prenant leurs rêves pour la réalité, on fait leur gorges chaudes d’un tweet du Président américain. Celui-ci avait enfin concédé, ou commencé à concéder, sa défaite et la victoire de Joe Biden !

 

« Il a gagné parce que l’élection était truquée. Pas d’observateurs ont été autorisés, les votes comptabilisés par une société de gauche radicale, Dominion, avec une mauvaise réputation et un équipement même pas qualifié pour être utilisé par le Texas (où j’ai gagné de loin !). Médias silencieux et menteurs, et plus encore ! »

 

Mieux, Donald Trump avait concédé aussi sur la nature de l’événement en ne parlant plus de fraudes (fraud) mais de "trucages" (rig).

Patatras ! Comme pour leur répondre, il dégaina un nouveau tweet qui ne laissait plus de place au doute. Les journalistes qui ont glosé dessus (France Info, en particulier, à la pointe de la désinformation au quotidien – peut-être parce que leurs flux d’informations ne sont pas archivés en ligne, ce qui évite la honte publique ?) en seront pour leur frais.

 

« Il n’a gagné qu’aux yeux des médias menteurs. Je ne concède RIEN ! Nous avons encore un long chemin à parcourir. Il s’est agi d’une ELECTION TRUQUÉE ! »

***

04h00 - Peu de présidents en exercice soulèvent de telles foules enthousiastes. On se rappelle de Hugo Chávez, bien sûr, près de nous dans l’histoire et près de notre cœur. Mais c’est souvent lors de leurs funérailles que quelques grands hommes comme Victor Hugo, le général de Gaulle ou Nasser drainèrent de telles masses de personnes.

Bien sûr, il est difficile – puisque nous n’étions pas sur place – de connaître le nombre réel de manifestants. Un peu euphorique, Kayleigh McEnany, porte-parole nationale de la campagne de réélection de Donald Trump, a tweeté « Plus d’un million de marcheurs pour le président Trump ». Bien sûr le chiffre semble démesuré, et cela n’a pas manqué de faire l’objet de raillerie dans toute la presse américaine.

 

 

Les médias minimisent et parlent « de milliers de manifestants » ou, au mieux, de dizaines de milliers. Peu importe, ils étaient nombreux et motivés, scandant « quatre ans de plus » ou entonnant l’hymne national.

 

 

Des antifas et autres gauchistes étaient bien sûr à la manœuvre. Mais bien planqués derrière des barrières de policiers, ce qui était préférable vu le gabarit des supporters de Trump. D’ailleurs, ceux-ci ne sont pas tombés dans le piège de la provocation. Il n’y eut aucun heurt, sauf à la marge en fin de cortège, ce qui désola la presse. Lorsqu’un homme brandissant une affichette « Black Lives Matter » s’est rapidement fait encercler et chahuter par les manifestants qui l’accusaient de « semer la division », ceux-ci lui répondirent en chœur : « All Lives Matter » !

En revanche, en fin de manifestation, quand la foule se dispersait, les mêmes antifas firent montre de leur courage habituel en s’en prenant à quelques personnes isolées et moins bien bâties que les Proud Boys qui ne connurent, eux, aucune provocation. Faible avec les forts et forts avec les faibles.

 

 

Et bien sûr toujours à quarante contre un, et si possible par derrière :

 

 

On peut affirmer que cette engeance, peu nombreuse mais très nuisible, a eu beaucoup de chance de ne pas tomber sur quelques gros bras, parfois même armés, qui parsemaient une foule majoritairement familiale et, contre l’attente de la bien-pensance gauchiste, tout à fait représentative du peuple américain dans sa diversité.

***

00h00 - Une carte interactive intéressante rappelant le double clivage que nous avons déjà présenté précédemment : les côtes et les terres, les mégapoles et les petites villes et campagnes. Les zones bleues sont ridiculement petites. Mais situées dans des zones extrêmement denses.

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21h00 - Nous relayons ici un article de Geopolintel relatif à la fraude électorale via le logiciel Dominion :

L’armée américaine a saisi des serveurs en Allemagne liés au logiciel électoral Dominion

Des informateurs situés en Allemagne ont rapporté que l’entreprise Scytl hébergeait les données électorales américaines de manière illégale en Espagne. L’entreprise a été perquisitionnée par l’armée américaine et ses serveurs ont été saisis à Francfort.
L’entreprise espagnole Scytl, qui vend dans le monde entier des logiciels de gestion des élections utilisés aux États-Unis, est au bord de la faillite.
Le serveur utilisé pour la manipulation se trouvait en Allemagne.

 

(Vidéo en anglais non sous-titrée)

 

Qu’est-ce que Dominion Voting Systems ?

Dominion Voting Systems Corporation est une société basée en Amérique du Nord qui fournit des machines à voter et des tabulateurs aux États-Unis et au Canada. Pas moins de 28 États ont utilisé les machines de vote de Dominion, ou tabulatrices, pour scanner les bulletins de vote en papier lors des élections américaines. Les tabulatrices de Dominion sont programmées pour scanner les bulletins de vote en papier marqués à la main.

Une fois que les tabulateurs ont fini de scanner les bulletins, les bulletins en papier sont conservés et une bande de totalisation, indiquant le nombre de votes pour chaque candidat, est imprimée à partir de la machine. Les greffiers de comté utilisent le logiciel du système de gestion des élections, qui combine les totaux des tabulateurs, pour communiquer des résultats non officiels.

On apprend maintenant que l’horrible Dominion Voting System a été utilisé en Arizona et (beaucoup) au Nevada. Pas étonnant que le résultat ait été une défaite très serrée ! (Tweet de Donald Trump du 13 novembre 2020)

 

Pourquoi les votes des élections américaines de 2020 ont été comptés par la société espagnole Scytl qui est en faillite ?

Les votes exprimés par les Américains ont été comptés par la société espagnole en faillite Scytl. Tout comme Dominion Voting Systems, Scytl a un passé de fraude électorale dans différents pays. Cette question a amené les experts à se demander pourquoi la tâche délicate du comptage des votes a été sous-traitée par une société étrangère ?

Comment une entreprise espagnole en faillite pouvait-elle compter les votes américains en Espagne ?
En raison de cette fraude généralisée, le président de la Commission électorale fédérale américaine, Trey Trainor, estime que les élections présidentielles américaines de 2020 sont illégitimes.

[…]

 

Scytl a été déclarée en faillite en juin 2020

Ce qui est intéressant, c’est que la société espagnole Scytl a été déclarée en faillite en juin de cette année. La société a déposé son bilan dans le cadre d’une vaste analyse des vulnérabilités de sécurité liées au vote numérique.

Scytl a (ou avait) des connexions avec George Soros et le parti démocrate. Paul Allen, co-fondateur de Microsoft, a investi 40 millions de dollars dans Scytl via son entreprise Vulcan Capital.

[…]

 

Pour les élections US de 2020, la technologie Scytl a été utilisée dans :

- 32 États américains
- Plus de 800 juridictions électorales
- Impacté 78+ millions d’électeurs

 

Autres clients de Scytl :

- Ministère des Affaires étrangères France
- Ministère de l’Intérieur France
- La Haute Autorité des Primaires France
- Ministère de l’Éducation France
- Parlement européen
- Union européenne

Scytl aurait des relations avec George Soros et le parti démocrate. D’autre part, Scytl a déclaté avoir obtenu 40 millions de dollars d’investissement de la part de la société Vulcan Capital appartenant au co fondateur de Microsoft.

Dominion Voting Systems partage son bureau avec le groupe Soros, en collaboration avec un ami de Soros.

[…]

Lire l’intégralité de l’article sur geopolintel.fr

***

20h30 - Des images supplémentaires de l’apparition de Donald Trump à la Million MAGA March :

 

 

La Million MAGA March semble avoir été bien nommée. Difficile de dire si les supporters de Trump étaient un million ou plus, mais au moins plusieurs centaines de milliers, cela ne fait guère de doute.

 

 

L’Amérique représentée. Beaucoup de gens en famille, de tous âges, calmes. L’exact opposé des quelques antifas venus créer des problèmes…

 

***

19h00 - Sidney Powell, l’un des avocats de l’équipe Trump, a affirmé sur Fox News, que l’élection avait été truquée, qu’étaient concernés la Silicon Valley, les réseaux sociaux, mais aussi les médias traditionnels, que de nombreuses personnes étaient impliquées, dans ces différents secteurs comme chez les démocrates, que de nombreuses preuves avaient été collectées et qu’un grand ménage était nécessaire et sur le point d’avoir lieu.

La vidéo en anglais :

 

***

17h30 - Le président américain a fait une apparition lors de la Marche pour Trump (appelée aussi Million MAGA March – MAGA pour Make Americain Great Again), soulevant, on s’en doute, l’enthousiasme de ses partisans.

 

 

Si dans la capitale fédérale c’est Joe Biden qui a raflé la mise, et de loin (93 % des votes – pour l’instant), il n’en va pas de même dans tous les États alentours, où le score est parfois serré, en faveur de Biden avant que les bulletins ne soient recomptés, comme en Pennsylvanie, ou de Trump, comme dans l’Ohio, où la victoire, même en cas de fraude démocrate, est clairement pour le président sortant, ou a fortiori comme en Virginie occidentale, où il a presque atteint les 70 % (ne battant pas le record du Wyoming). De quoi trouver aisément des participants à cette grande marche de soutien à celui qui lutte contre les ennemis des États-Unis.

Vous pouvez suivre en direct cette grande marche ici :

 

 

***

07h30 - Ce samedi 14 novembre a lieu la Marche pour Trump (Trump March) à Washington. Une foule immense est attendue, une foule musclée aussi et déterminée. La manifestation commence à 12h00, soit 18h heures françaises. Nous suivrons l’événement sur ces colonnes.

***

07h00 - Donald Trump a re-twitté l’expérience du journaliste Victor Joecks qui a réussi à voter 8 fois.

 

 

Les responsables électoraux du comté de Clark ont accepté ma signature sur huit enveloppes de bulletins de vote lors de l’élection générale. C’est une preuve supplémentaire que la vérification des signatures est une mesure de sécurité déficiente.

Depuis des mois, les responsables électoraux ont dit aux habitants du Nevada de ne pas s’inquiéter de l’accumulation des bulletins de vote dans les poubelles des appartements ou de leur envoi à de mauvaises adresses.

« Les bulletins de vote par correspondance jetés ne peuvent pas être ramassés et votés par n’importe qui », selon une fiche d’information du bureau du secrétaire d’État. « Tous les bulletins de vote par correspondance doivent être signés sur l’enveloppe de retour des bulletins de vote. Cette signature est utilisée pour authentifier l’électeur et confirmer que c’est bien lui et non une autre personne qui a renvoyé le bulletin de vote par correspondance ».

Je voulais tester cette affirmation en simulant ce qui pourrait arriver si quelqu’un retournait des bulletins qui ne lui appartenaient pas. Beaucoup de gens ont eu cette possibilité. Billy Geurin, un résident de Las Vegas depuis dix ans, a trouvé cinq bulletins de vote non conformes dans la salle du courrier de son appartement. Un lecteur m’a envoyé par e-mail une photo d’une pile de courrier sur le bord de la route, qui contenait des bulletins de vote non retournés. Il existe de nombreuses photos d’exemples similaires sur les médias sociaux.

Neuf personnes ont participé à ce test. J’ai écrit leur nom à la main en utilisant mon écriture normale. Elles ont ensuite copié ma version de leur nom sur leur enveloppe de vote. Ce processus en deux étapes était nécessaire pour s’assurer qu’aucune loi n’était enfreinte.

Lundi, j’ai interrogé Joe Gloria, le greffier du comté de Clark, sur ce scénario. Si des bulletins signés par quelqu’un d’autre « passaient, nous aurions toujours la correspondance de signature pour l’identité », a-t-il dit. Lorsqu’on lui a demandé s’il était sûr que la protection permettrait d’identifier ces bulletins, il a répondu : « Je suis sûr que le processus a fonctionné tout au long de cette procédure  ».

Il s’est trompé. Huit des neuf bulletins de vote sont passés. En d’autres termes, la vérification des signatures a eu un taux d’échec de 89 % pour ce qui est de la détection des signatures non concordantes.

Cela pourrait expliquer comment un bulletin "signé" par Rosemarie Hartle, décédée en 2017, a pu passer la vérification des signatures, comme le rapporte 8 News Now. Cela pourrait expliquer comment Jill Stokke, une résidente de longue date de Las Vegas, a appris que la signature sur son bulletin de vote correspondait, alors qu’elle a dit ne jamais l’avoir reçu.

Les responsables du comté ne travaillent pas de manière proactive pour déterminer si des acteurs sans scrupules ont abusé de cette vulnérabilité de manière généralisée. Le bureau de Gloria n’a pas « d’équipe d’enquêteurs ». Il a dit que son bureau attrape les votes frauduleux « quand ils nous sont signalés ». Donc si un criminel n’admet pas avoir commis une fraude électorale, le comté de Clark a peu de chances de le découvrir. L’ignorance délibérée n’est pas une stratégie de sécurité électorale.

Laissez de côté la course à la présidence. Moins de 200 voix séparent les candidats en tête du district sénatorial n°5. En 2018, le sénateur d’État Keith Pickard a remporté sa course par 24 voix. Même de petites fraudes peuvent faire basculer les résultats.

On ne sait pas exactement dans quelle mesure les électeurs ont été victimes de fraude au Nevada. Mais il est clair que la vérification des signatures n’est pas le contrôle de sécurité infaillible que les responsables des élections avaient prévu.

 

Traduction E&R de l’article du Las Vegas Review Journal.

***

06h00 - Le 6 décembre 2019, quatre sénateurs démocrates mettaient déjà en garde contre le risque d’un « changement de vote » par le système Dominion.

Dans une lettre de décembre 2019 adressée à Dominion Voting Systems, qui a été impliqué dans une controverse après qu’une erreur humaine impliquant ses machines dans le comté d’Antrim (Michigan) eut entraîné des comptages incorrects, les sénateurs démocrates Elizabeth Warren, Ron Wyden et Amy Klobuchar et le membre du Congrès Mark Pocan ont mis en garde contre les rapports faisant état de « commutation de votes » par les machines, de « vulnérabilités non divulguées » et de résultats « improbables » qui « menacent l’intégrité de nos élections ».

Rien qu’en 2018, « les électeurs de Caroline du Sud ont signalé des machines qui changeaient leurs votes après les avoir saisis, des scanners qui rejetaient les bulletins en papier dans le Missouri et des machines en panne qui causaient de longues files d’attente dans l’Indiana », peut-on lire dans la lettre. En outre, les chercheurs ont récemment découvert des vulnérabilités non divulguées auparavant dans « près de trois douzaines de systèmes électoraux de base dans 10 États ». Et, cette année encore, après que le décompte électronique du candidat démocrate eut montré qu’il avait reçu 164 voix sur 55.000 lors d’une élection judiciaire dans l’État de Pennsylvanie en 2019, la présidente républicaine du comté a déclaré : « Rien ne s’est passé comme prévu le jour du scrutin. Tout s’est mal passé. C’est un problème ».

La lettre continue : « Ces problèmes menacent l’intégrité de nos élections et démontrent l’importance de systèmes électoraux forts, durables et non vulnérables aux attaques ».

Les républicains ont enquêté dans d’autres comtés du Michigan et ont suggéré la nécessité d’enquêter dans d’autres États où des machines Dominion ont été utilisées.

« Notre équipe est actuellement en train de contacter les greffiers des comtés du Michigan et d’examiner les résultats des élections dans chacun des comtés qui utilisent ce logiciel afin de déterminer l’ampleur de cette erreur », a déclaré le directeur de la communication du parti républicain du Michigan, Tony Zammit, au Washington Examiner le week-end dernier.

Notons qu’au Texas, Dominion Voting Systems a été rejeté à trois reprises par des experts du bureau du secrétaire d’État et du procureur général du Texas.

Le courrier originel est disponible sur le site du Sénat américain.

 

Traduction E&R, résumé de l’article du Washington Examiner.

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05h00 - Pour Trey Tainor, il est évident qu’il y a eu des fraudes lors de ces élections. Trey Tainor est le Président de la commission électorale fédérale (Federal Election Commission, ou FEC) qui est une agence réglementaire indépendante des États-Unis, chargé d’administrer et de faire appliquer la loi sur le financement des élections fédérales dans ce pays.

« Bien sûr qu’il y a eu des fraudes, autrement vous autoriseriez les observateurs à rentrer. Quand vous avez des déclarations affirmant que 10.000 votants au Nevada n’habitent pas au Nevada... » souligne-t-il en rappelant que le processus de scrutation nécessite des observateurs dont l’absence rend illégitime l’élection (vidéo en anglais).

 

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04h00 - La carte des représentants à la Chambre, majoritairement démocrates mais où les républicains ont fait des scores inattendus lors de ce renouvellement partiel, donne une bonne idée de la couverture rouge (républicaine) du pays. Cette carte éclaire le double clivage dont nous avions déjà parlé : les côtes versus les terres, les mégapoles versus les petites villes et campagnes.

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03h00 - Les machines à voter sont assez facilement manipulables. C’est ce que démontrait en 2016 Andrew Appel, professeur à Princeton, en modifiant le contenu d’un composant électronique. La bonne nouvelle, nous dit-il, c’est que cela ne peut pas se faire depuis la Russie (en référence aux rumeurs infondées d’une manipulation électorale russe), mais la mauvaise nouvelle est que cela peut se faire sans problème en local.

Enfin, si l’on écoute les démocrates, tout ce qui était fondé pour Trump en 2016 devient tout à fait infondé pour Biden en 2020... (vidéo en anglais)

 

 

Pour les anglophones qui nous suivent, voici un extrait d’un documentaire PBS sur le système de vote électronique en Géorgie et ses failles :

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02h00 - Facebook aurait-il rétrogradé Donald J. Trump, Présidents des Etats-Unis ? En effet, désormais sur son profil, il est écrit "Candidat politique" (Political candidate). D’aucuns disent que cette mention apparaît depuis longtemps, mais on se demande pourquoi l’équipe de Trump aurait modifié la mention "45e Président des Etats-Unis" ? Admettons qu’il s’agisse d’une rumeur infondée. Mais alors, ce qui est grave, c’est de ne plus être étonné d’imaginer que Facebook puisse faire cela. Nous avons atteint un tel niveau d’ingérence des sociétés privées, une telle corruption médiatique et une telle violence politique, que le pire devient possible. Et que l’on pourrait s’y habituer.

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00h00 - Comme le dit notre rubrique hebdomadaire : Non, rien...

 

Christiane Amanpour de CNN compare Trump et les Nazis...

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22h30 - Donald Trump tient une conférence de presse en ce moment où il aborde divers sujets relatifs à son mandat (Covid, vaccin, chômage, économie, pour l’instant).

Son dernier Tweet, une heure auparavant, concernait le système de vote Dominion. Celui-ci a été utilisé aussi en Arizona (et au Nevada), ce qui expliquerait la défaite de quelques voix.

 

 

Addendum  : 23h, heure française, Donald Trump n’a pas abordé la question des élections et est reparti sans répondre aux questions des journalistes.

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20h00 - Trump envisagerait l’idée d’un média numérique pour contrer Fox News.

 

Le président Trump a dit à des amis qu’il voulait lancer une entreprise de médias numériques pour démolir Fox News et saper le réseau favorable aux conservateurs, selon des sources Axios.

L’état des lieux : certains conseillers de Trump pensent que Fox News a commis une erreur en annonçant prématurément (avec l’appui de l’AP) la victoire du président élu Biden en Arizona. Cela a mis Trump en colère, et lui a donné du grain à moudre pour ses attaques sur le Net.

« Il a l’intention de détruire Fox. Il n’y a aucun doute là-dessus », a déclaré une source connaissant parfaitement les intentions de Trump.

Avec des téléspectateurs fidèles et une domination de longue date, le PDG Lachlan Murdoch de la Fox Corp. a déclaré lors d’une conférence le 3 novembre : « Nous aimons la concurrence. Nous avons toujours prospéré grâce à la concurrence. Fox News a été le réseau numéro un, y compris sur les réseaux de diffusion, de la fête du travail (1er lundi de septembre – NDT) jusqu’au jour des élections ».

Voici le plan de Trump, selon notre source :

- Il y a eu beaucoup de spéculations sur le fait que Trump ait lancé une chaîne câblée. Mais intégrer un réseau de télévision par câble serait coûteux et prendrait beaucoup de temps.

- Au lieu de cela, Trump envisage une chaîne de médias numériques qui serait diffusée en ligne, ce qui serait moins cher et plus rapide à démarrer.

- L’offre numérique de Trump ferait probablement payer une redevance mensuelle aux fans de MAGA. Nombreux sont les téléspectateurs de Fox News, et il viserait à terme à attirer les téléspectateurs de Fox News - et son service de streaming Fox Nation à 5,99 $ par mois, qui a un taux de conversion de 85 % des essais gratuits aux abonnés payants.

La base de données de Trump, qui contient des contacts par e-mail et par téléphone portable, constituerait un énorme avantage.

Les listes de Trump sont parmi les plus précieuses en politique - en particulier sa vaste base de données de numéros de téléphones portables pour les SMS. Axios croit savoir que Trump pourrait utiliser les rassemblements de comptage des votes pour saper la Fox.

« Il va passer beaucoup de temps à descendre la Fox », a déclaré la source. Trump se plaint de plus en plus du fait que Fox News interviewe plus de démocrates qu’auparavant. Il a mis le Net à contribution en faisant la promotion d’autres médias conservateurs, dont One America News et Newsmax.

« La Fox a beaucoup changé », a déclaré M. Trump lors de la dernière interview qu’il a accordée à la Fox & Friends le jour des élections. « Quelqu’un a dit : quelle est la plus grande différence entre cette situation et celle d’il y a quatre ans ? Et je dis "Fox" ». « Je ne me plains pas – je le dis aux gens », a ajouté M. Trump. « C’est l’une des plus grandes différences de cette saison par rapport à la précédente ».

 

Une traduction E&R de l’article du site d’informations américain Axios.

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13h00 - Le camp Biden n’est pas très reluisant. Cette fois-ci, nous ne sommes pas dans les swing states qui sont tous situés à l’est mais dans le sud, au Texas, cet État que les démocrates ont voulu prendre (les médias français parlaient même d’un basculement historique possible du Texas), car il incarne le cœur du vote républicain.

 

 

C’était le 18 octobre 2020 mais cela témoigne de la volonté forte des démocrates d’enfoncer un coin dans l’Amérique trumpienne. Libé en a même rêvé :

Scrutin après scrutin, les résultats le confirment : l’érosion républicaine dans le « Lone Star State » est réelle. Lors des élections de mi-mandat en 2018, le jeune congressman démocrate Beto O’Rourke avait donné des sueurs froides au sénateur sortant Ted Cruz, finalement réélu avec 2,6 points d’avance. Cette année, les démocrates espèrent davantage : ils misent sur une énorme participation, « une vague bleue » qui ferait basculer dans leur escarcelle le deuxième Etat le plus peuplé du pays, et le plus gros bastion des républicains. [...]

Ce serait une première depuis 44 ans. Et cela sonnerait le glas des espoirs de réélection du président. Steve Munisteri, l’ancien chef du Parti républicain du Texas, explique : « Si Donald Trump conserve tous les Etats qu’il a gagnés en 2016 mais qu’il perd le Texas, Joe Biden devient Président. » Le Texas offre 38 grands électeurs. Pour être élu, il en faut 270. « Ce sera vraiment difficile pour les Républicains de gagner un jour la présidence s’ils perdent le Texas, car New York et la Californie sont acquis aux démocrates », ajoute Munisteri. A eux seuls, ces trois Etats offrent 122 grands électeurs.

Au final, le Texas avec ses 38 GE est resté républicain avec 5.865.000 voix pour Trump, 650.000 de plus que Biden.

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08h00 - Pendant que les deux parties recomptent ou tentent de recompter leurs votes, un article ressort sur le Net qui dit le niveau de moralité du candidat Biden. C’est Le Monde, sans le savoir puisque l’article date du 26 septembre 1987, qui raconte la chute du candidat démocrate pour la présidentielle américaine de 1988.

Deux de chutes dans le camp démocrate. Après Gary Hart, victime de son attirance pour les jolis modèles, voici le tour de Joe Biden, victime de son goût immodéré pour les jolies phrases... empruntées aux autres. Le sénateur du Delaware, l’un des sept candidats à l’investiture du côté des démocrates, vient de jeter l’éponge, mercredi 23 septembre.

Ses ennuis avaient commencé il y a une dizaine de jours lorsqu’on s’aperçut que certains passages de ses discours, parmi les plus émouvants, n’étaient que la reprise presque mot pour mot de morceaux de bravoure anciens dus aux frères Kennedy ou au leader travailliste britannique Neil Kinnock.

C’était ennuyeux pour un homme éloquent mais qu’on soupçonnait déjà de manquer un peu d’idées bien à lui. Puis vint une seconde révélation : à la faculté de droit, il avait été puni déjà pour plagiat. Quand, enfin, on apprit que le sénateur avait considérablement enjolivé ses résultats universitaires, plutôt médiocres en réalité, c’en fut trop.

La situation, de l’aveu même de ses conseillers, n’était plus tenable, d’autant que le sénateur était constamment sous les projecteurs. Il préside la commission judiciaire du Sénat qui, jour après jour, passe au crible les qualités et les défauts du juge Bork, nommé à la Cour suprême par le président Reagan, mais qui doit encore obtenir sa confirmation.

Avec un grand sourire et une certaine élégance, Joe Biden a donc annoncé qu’il renonçait à sa candidature, qu’il reconnaissait avoir fait des erreurs, et n’en voulait à personne. " Je suis un grand garçon, parfois on gagne, parfois on perd. (...) Je suis furieux contre moi-même. " C’était, en plus sympathique et moins compassé, à peu près ce qu’avait dit Gary Hart, sinon que ce dernier a toujours nié la réalité du " délit ". Et, comme Gary Hart, Joe Biden entend préserver l’avenir, affirmant qu’il a le temps (il est âgé de quarante-quatre ans).

On rappelle à tout hasard que le Delaware est l’État numéro un de l’évasion fiscale américaine, un État qui compte plus de sociétés que d’habitants selon Les Échos :

C’est que par les temps qui courent, le Delaware n’a pas grand intérêt à faire parler de lui  : à mi-chemin entre New York et Washington, il s’agit d’un Etat qui a fait de l’évasion fiscale et de l’opacité son principal fonds de commerce. Fait incroyable, il compte désormais plus de sociétés (1,2 million) que d’habitants (950.000). La moitié des entreprises américaines cotées y sont enregistrées. On y retrouve deux tiers des 500 plus grands groupes du pays (Fortune 500) et des milliers de micro-sociétés ne comptant souvent aucun salarié.

La popularité du Delaware ne cesse de croître  : quelque 180.000 entreprises l’ont rejoint l’an dernier (soit presque 500 par jour  !), un record historique. «  C’est l’un des plus grands paradis fiscaux du monde  », résume John Kowalko, un élu local qui s’est mis à dos tous ses collègues à force de vouloir «  nettoyer  » la région. «  Le gouvernement local assume d’ailleurs totalement cet état de fait, ajoute-t-il. l y a quelques années, il avait affiché  : “Mieux que les îles Caïmans  !” sur son site Internet.  » Le slogan a disparu depuis.

Pour la petite histoire, Joe Biden a été sénateur fédéral pour le Delaware de 1973 à 2009, soit 36 ans de règne sur l’État le plus corrompu des États-unis. Des questions ?

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06h00 - Alors que le logiciel Dominion Voting Systems est de plus en plus surveillé lors de ces élections présidentielles contestées, le procureur général du Texas, Ken Paxton, déclare à Newsmax TV que son État a testé le logiciel et l’a rejeté.

« Il y a une raison pour laquelle le Texas l’a rejeté », a déclaré Ken Paxton à Grant Stinchfield, l’animateur de Stinchfield. « Nous ne l’avons pas fait arbitrairement. Nous savions que ces systèmes n’étaient pas fiables. Nous ne voulions pas leur faire confiance ».

« Nous ne voulions pas nous retrouver dans la même situation que certains de ces autres États où nous remettons en cause les résultats, donc nous pensons clairement que c’était un problème ».

M. Paxton a déclaré que le Texas a testé le logiciel Dominion jusqu’à trois fois, à partir de 2012, en constatant à chaque fois des défaillances du système, tant au niveau du matériel que des logiciels.

« Nous avons découvert que ces systèmes sont sujets à différents types de manipulation non autorisée et de fraude potentielle », a-t-il déclaré.

 

Traduction E&R de l’interview sur NewsMax.

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05h30 - Doublage français de la conférence de presse de la campagne de Trump qui a eu lieu ce lundi 9 novembre 2020 :

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05h00 - Kayleigh McEnany, porte-parole nationale de la campagne de réélection de Donald Trump, annonce que seront publiés de nouveaux affidavits (témoignages sous serment) pour la Pennsylvanie, incluant des textes et des courriels montrant que les électeurs des comtés à tendance démocrate ont été informés qu’ils devaient préparer leurs bulletins de vote par correspondance, tandis que ceux à tendance républicaine ne l’ont pas été.

 

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04h00 - Les responsables des élections en Géorgie ont déclaré que le processus de recomptage manuel sera terminé d’ici la semaine prochaine.

Lors d’une conférence de presse tenue jeudi, les responsables ont déclaré avoir reçu de nombreuses informations sur des irrégularités de vote qui pourraient avoir influencé l’élection. Ils ont souligné que Joe Biden ne devance actuellement le président Trump que de 14 000 voix et ont déclaré que des cas de fraude sont possibles.

Les responsables de l’État de Géorgie ont également rejeté les accusations de partialité politique des démocrates qui ont motivé leur décision de recompter les voix.

« Laissez-moi être parfaitement clair sur ce point », a déclaré Gabriel Sterling, responsable de la mise en œuvre du système de vote. « Si c’était 14.000 votes dans l’autre sens, nous ferions exactement la même chose ».

Le recomptage en Géorgie est largement attendu pour donner au président Trump 16 votes électoraux ainsi que pour exposer une tentative effrénée des démocrates de manipuler le vote.

« Nous voulons nous assurer que cette élection soit juste et transparente », a déclaré le représentant Vernon Jones (D-Ga.). « Plus important encore, ce n’est pas seulement pour les républicains mais aussi pour les démocrates ».

 

Une traduction E&R

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03h00 - Edward Snowden, lanceur d’alerte américain réfugié en Russie, appelle ses suiveurs sur Twitter à regarder en détail les membres de l’équipe de transition de Joe Biden, « que vous soyez pour ou contre Biden  ».

 

 

Edward Snowden relaye la discussion Twitter suivante dont voici la traduction E&R des différents sous-Tweets qui la composent :

 

Je ne pense pas que ce groupe de conseillers de la "communauté du renseignement" soutiendra l’abandon des charges contre Edward Snowden ou Daniel Hale. Ils ne s’opposeront peut-être même pas à la poursuite d’Assange, même si le ministère de la Justice d’Obama a refusé de l’inculper.

- Matt Olsen est un ancien fonctionnaire de l’administration Obama. Il a été directeur du National Counterterrorism Center, brièvement avocat général de la NSA, et directeur exécutif de la Gitmo Review Task Force.

Olsen est bénévole pour le groupe Intelligence Community.

En 2018, Olsen est allé travailler pour Uber en tant que directeur de la sécurité de la société. Uber s’est joint à d’autres sociétés et a dépensé des centaines de millions de dollars pour faire passer la proposition 22 en Californie. Elle garantit que les chauffeurs et les coursiers sont exemptés du salaire minimum.

Olsen a soutenu que ce que le lanceur d’alerte de la NSA Edward Snowden a révélé avait peu à voir avec la vie privée et les libertés civiles, un point de discussion que d’anciens responsables ont répété pour le discréditer. Il insiste également sur le fait que les terroristes ont modifié leur comportement pour éviter d’être repérés.

Olsen a défendu les perquisitions par des moyens détournés dans les communications Internet des Américains.

En tant que procureur général adjoint de la division de la sécurité nationale du DOJ de 2006 à 2009, Olsen a contribué à briser les barrières empêchant les procureurs d’utiliser les informations recueillies lors d’opérations clandestines et de surveillance sans mandat dans des affaires criminelles. Il a conçu l’extension de la FISA.

- Greg Vogle est un partenaire du groupe McChrystal, qui a été fondé par Stanley McChrystal, ancien commandant du Commandement des opérations spéciales conjointes (JSOC). Il était le chef de la station de la CIA en Afghanistan.

Vogle est volontaire pour le groupe Intelligence Community.

Vogle a été conseiller pour DGC International, un entrepreneur militaire américain fondé et dirigé par l’homme d’affaires afghan Mustafa Zamani.

Voici quelques exemples des services fournis par DGC pour que l’armée américaine puisse maintenir sa présence dominante au Moyen-Orient : (voir la pièce jointe au Tweet - NDT)

- Eric Velez-Villar a passé 30 ans au FBI et a finalement été cadre supérieur à la Direction des renseignements. Il est parti pour devenir chef de la sécurité des parcs et stations balnéaires de Disney et protéger les "informations sensibles" de l’entreprise.

Il est bénévole pour l’Intelligence Community Group.

- Carmen Middleton a également travaillé pour Disney. Elle est l’ancienne directrice exécutive adjointe de la CIA. Elle a été la plus haute latino de la CIA et a montré que des femmes comme elle peuvent aussi déstabiliser le monde au nom de la démocratie américaine.

Middleton est bénévole pour le groupe Intelligence Community.

- Bob Litt est l’ancien avocat général du Bureau du directeur du renseignement national (ODNI). Il a travaillé avec James Clapper et a été impliqué dans la réponse des services de renseignement américains à la dénonciation de Snowden.

Litt est bénévole pour le groupe Intelligence Community.

Lorsqu’un journal américain révélait un nouvel aspect du programme de surveillance de masse mis en œuvre par le gouvernement américain - par exemple, la façon dont la NSA stockait les données de localisation de "centaines de millions d’appareils" - c’est Litt qui se déployait pour s’assurer que cela n’allait pas dégénérer en scandale, ce qui a conduit à une réforme.

- Linda Thomas-Greenfield a été secrétaire d’État adjointe américaine aux affaires africaines et a été la première vice-présidente de la section Afrique du Albright Stonebridge Group.

Mme Thomas-Greenfield est bénévole et chef d’équipe pour le groupe du département d’État.

En tant que développeur et responsable de la politique américaine envers l’Afrique subsaharienne, elle a été le chef de file du Millenium Challenge Account du président George W. Bush.

Le MCA, c’est du néocolonialisme. Il est conçu pour privilégier les entreprises américaines et permettre l’exploitation des économies africaines émergentes.

C’est-à-dire que Thomas-Greenfield est le chef de file du groupe d’examen des agences du département d’État pourrait être l’une des indications les plus claires que Biden va nommer Susan Rice au poste de secrétaire d’État.

Lorsque Mme Rice a été attaquée dans les pages du New York Times pour "désastres diplomatiques", elle l’a défendue.

- Albright Stonebridge Group est un cabinet de conseil mondial présidé par l’ancienne secrétaire d’État Madeleine Albright, qui a défendu dans les années 1990 la politique des sanctions américaines contre l’Irak malgré le fait qu’un demi-million d’enfants soient morts.

Deux autres personnes du GSA font partie de cette équipe.

- Roberta Jacobson est une ancienne ambassadrice des États-Unis au Mexique et se décrit comme une experte des "affaires et de la politique en Amérique latine". Elle a travaillé pour le groupe Albright Stonebridge.

Elle est bénévole pour le groupe du Département d’État.

En 2014, l’opposition de droite soutenue par les États-Unis a profité du vide laissé par la mort d’Hugo Chavez pour évincer Nicolas Maduro.

Ils ont mis en place des guarimbas (blocus) dans les rues, ce qui a entraîné un certain nombre de décès.

Jacobson s’est joint à d’autres responsables pour ignorer leurs tactiques et soutenir leurs efforts.

- Tom Sullivan est le directeur de la planification fiscale internationale chez Amazon et le frère cadet de Jake Sullivan, conseiller à la sécurité nationale de Biden.

Il ne semble pas avoir d’expérience au Département d’État (ou au gouvernement fédéral), mais il fait partie du groupe de révision de cette agence.

- Derek Chollet and Ellison Laskowski sont tous deux affiliés au Fonds Marshall allemand. Le GMF a passé tout son temps avec l’administration Trump à soutenir un projet appelé Alliance pour la garantie de la démocratie.

Chollet et Laskowski font tous deux partie du groupe du Département d’État.

- Dana Stroul est boursière du Washington Institute for Near East Policy (WINEP). Il a été fondé par l’American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) ou le lobby israélien.

Stroul est bénévole pour le groupe du Département d’État.

Stroul a fait partie du groupe d’étude bipartite sur la Syrie nommé par le Congrès, qui a tracé la prochaine phase de la politique américaine de changement de régime en Syrie.

Pour TheGrayzoneNews, BenjaminNorton a couvert ce sujet et a présenté un plan en quatre volets pour la Syrie, dont Stroul s’est faite le champion. L’occupation de cette partie du pays et l’imposition de sanctions entraîneraient des souffrances massives et la mort de civils.

- Chris Lu a été secrétaire adjoint au travail du président Barack Obama et cheerleader du Partenariat Trans-Pacifique (TPP).

Il a été vice-président du comité des règles de la Convention nationale démocrate 2020.

Lu est bénévole et chef d’équipe pour le groupe du ministère du travail.

Chris Lu a été secrétaire adjoint au travail du président Obama.

En 2016, lorsque la question des accords commerciaux qui tuent l’emploi a été soulevée, Lu a répondu : « Le TPP est une grande opportunité pour les entreprises américaines qui vendent des produits à l’étranger, et les emplois qui dépendent des exportations sont mieux payés ».

- Neil MacBride était procureur des États-Unis dans le district Est de la Virginie. Il a été le conseiller juridique en chef de Biden lorsqu’il était sénateur américain.

MacBride est bénévole pour le groupe du ministère de la justice.

MacBride a supervisé l’enquête du grand jury contre WikiLeaks jusqu’à ce qu’il démissionne de son poste de procureur américain en août 2013. Il a poursuivi les dénonciateurs de la CIA JohnKiriakou et Jeffrey Sterling.

MacBride en juillet 2013 lors d’un événement du Forum sur la sécurité à Aspen. Il s’interroge sur le nombre record de poursuites pour fuite de l’administration Obama dans le cadre de la loi sur l’espionnage.

« As-tu dépassé les bornes, Neil ? » « Non, je ne crois pas », répond MacBride.

MacBride a défendu une assignation à comparaître délivrée contre le journaliste de NYT James Risen dans l’affaire Sterling. Il a fait valoir que le gouvernement devrait pouvoir obliger un journaliste à révéler ses sources confidentielles en le menaçant de prison s’il ne coopère pas.

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02h00 - Une grande marche pro-Trump est organisée ce samedi 14 novembre à Washington, ville à plus de 80 % démocrate. Des dizaines voire des centaines de milliers de manifestants sont attendus, dont les Proud Boys, ce groupe auquel Donald Trump a dit mystérieusement lors du premier débat avec Biden « Stand Back, Stand By » (« Reculez, tenez-vous prêts »). Groupe viril et conservateur, mais catalogué d’extrême-droite raciste, en omettant de rappeler que le dirigeant Enrique Tarrio est afro-cubain...

Quoi qu’il en soit il ne sera pas bon être gauchiste ou antifa et traîner dans les rues de la capitale américaine ce samedi.

MAGA : Make America Great Again

 

Les détails de l’événement vu par la chaîne de télévision CBSNews, avec une interview du patron des Proud Boys (vidéo en anglais) :

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00h00 - La Floride compte les votes par correspondance à l’avance. Le jour de l’élection, on ne compte donc que les bulletins du jour. C’est ainsi que malgré des sondages bidonnés pronostiquant 5 points de retard pour Trump, celui-ci l’emporte avec plus de 3 points d’avance (soit 8 points d’écart !). Puis, lorsque l’Ohio tombe, le doute n’est plus vraiment permis quant à la victoire de Donald Trump puisque le gagnant de cet État est toujours le gagnant de l’élection. Quant au Wisconsin et au Michigan, ces deux États penchent nettement vers Donald Trump.

Et c’est là que les équipes de Biden, devant le désastre annoncé, ont probablement dû mettre en place leur stratégie de bourrage d’urnes en profitant (grâce à l’inespéré Covid !) du vote par correspondance. En effet, vers 23h, alors que Donald Trump mène dans le Wisconsin, le Michigan, la Pennsylvanie, la Géorgie, la Caroline du Nord, les comptages sont arrêtés pour des raisons « techniques » et les scrutateurs républicains sont sortis des bureaux de vote. Quand ils reviendront le lendemain, ils constateront que les dépouillements ont continué avec l’arrivage de nombreux bulletins suspects miraculeusement arrivés dans la nuit du 3 au 4 novembre.

La stratégie de Trump s’articule autour de quelques axes. Dans un premier temps, le recomptage pourrait suffire à remporter l’élection sans même aller devant les tribunaux dans les États du Wisconsin, Géorgie et Arizona. Dans ce cas Biden et Trump se retrouvent à égalité à 269 grands électeurs. Dès lors c’est la Chambre des représentants qui décide, mais pas par la majorité des représentants mais par délégations d’États, soit 31 pour Trump contre 19 pour Biden. Trump est élu.

Si le recomptage ne suffit pas, le gouverneur de Pennsylvanie pourrait voir annulée la violation de la Constitution qu’il a autorisée (en acceptant les bulletins arrivés après le 3 novembre, y compris sans tampon de la poste). Si les 800.000 bulletins acceptés après 20h sont invalidés par la Cour Suprême ou même si une nouvelle élection dans cet État est mise en place, Trump remporte l’élection.

Les chances de l’emporter de Trump sont donc assez réelles.

L’élection américaine et les suites judiciaires vues par un avocat :

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22h30 - Un juge de Pennsylvanie a décidé que certains bulletins de vote par correspondance appartenant à des électeurs qui votent pour la première fois dans l’État et qui n’avaient pas confirmé leur identité avant le 9 novembre ne seront pas comptés, ce qui constitue une petite victoire pour la campagne Trump.

La juge Mary Hannah Leavitt, présidente de la Cour du Commonwealth, a déclaré jeudi que la secrétaire d’État de Pennsylvanie, Kathy Boockvar, n’avait pas l’autorité requise lorsqu’elle a publié une directive indiquant que ces bulletins devraient être comptés si l’identification des électeurs peut être confirmée avant le 12 novembre.

Bien que l’on ne sache pas exactement combien de bulletins de vote seront disqualifiés en raison de cette décision - le Département d’Etat de Pennsylvanie a refusé de commenter - il est probable que ce soit un petit nombre.

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22h00 - Pour Donald Trump, le logiciel Dominion a supprimé 2,7 millions de votes pour sa candidature. L’analyse des informations détecte en Pennsylvanie 221.000 votes en faveur de Trump qui ont été comptabilisés pour Biden, et 941.000 votes supprimés. Les Etats utilisant le système de vote Dominion ont fait basculer 435.000 voix de Trump à Biden.

 

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21h00 - Depuis que Fox News a rejoint le chœur des autres médias traditionnels, leurs scores d’audience n’en finissent plus de s’enfoncer dans les classements. Donald Trump et de très nombreux commentateurs appellent à rejoindre deux autres chaînes privées : Newsmax et OANN.

Les audiences de FoxNews se sont complètement effondrées. Les programmes du week-end encore davantage. Très triste de voir ce qu’il se passe, mais ils ont oublié ce qui a fait leur succès, ce qui les a amenés là. Ils ont oublié la poule aux oeufs d’or. La plus grosse différence entre l’élection de 2016 et celle de 2020 c’était FoxNews !

 

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17h30 - Donald Trump ne semble pas renoncer aux grands électeurs de l’Arizona.

« [L’écart avec Joe Biden est passé] de 200 000 à 10 000 voix. Si nous pouvons vérifier le total des votes exprimés, nous gagnerons facilement l’Arizona aussi. »

 

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17h00 - La porte-parole de Donald Trump Kayleigh McEnany a aujourd’hui présenté à la télévision américaine le recueil de témoignages de 132 pages déposé en justice dévoilant sous-serment les fraudes ayant eu lieu dans le seul comté de Wayne, dans le Michigan.
On y apprend notamment qu’un même lot de bulletins a été scanné et donc compté cinq fois. Soixante pourcents de ces bulletins avaient la même signature.

De son côté, Rudy Giuliani, ancien maire de New York et avocat personnel de Donald Trump, a affirmé que 650.000 bulletins de vote avaient été illégalement déposés à Philadelphie et Pittsburgh, en Pennsylvanie. Il a par ailleurs précisé que ceux (les médias) qui prétendaient que l’équipe de campagne de Trump n’avait aucune preuve étaient des menteurs.

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10h00 - Biden remporte définitivement l’Arizona et ses 11 GE.

 

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05h00 - Laurence s’inquiète du recomptage manuel en Géorgie. Cela nous ravit de si bon matin.

 

***

04h00 - Jon Voight, célèbre acteur américain que l’on a pu voir dans le film culte Délivrance (1972), dans le très bon Runaway Train (1985) ou même apercevoir dans Heat (1996), et père d’Angelina Jolie, a diffusé une courte vidéo sur son compte Twitter. Le cœur à gauche, lorsqu’il était jeune, soutien de JFK et contre la guerre du Vietnam, il bascule à droite avec l’âge, s’interrogeant sur la libération sexuelle qui amenait des jeunes filles de 15 ans à se retrouver enceintes, mais aussi sur la drogue dont il ne voyait que les ravages. Malheureusement défenseur d’Israël par ailleurs, il soutient la candidature de Trump pour lequel il prononce un discours lors de la cérémonie d’investiture, le 20 janvier 2017.

Vidéo en anglais, traduction E&R ci-dessous.

Mes chers amis, je me tiens ici devant vous, dégoûté de ce mensonge selon lequel Biden a été choisi.

Comme si nous ne connaissions pas tous la vérité.

Et quand on essaie de tromper, on sait qu’on ne peut pas s’en tirer, qu’il y aura un prix à payer.

Ceux qui sautent de joie maintenant se dirigent vers l’horreur qui les attend car je sais que les promesses qui ont été faites au peuple américain par la gauche ne seront jamais tenues.

Mes amis, de toutes les couleurs, les races et religions, c’est aujourd’hui la plus grande bataille depuis la guerre civile : celle de la vertu contre Satan. Oui, Satan.

Parce que les gauchistes sont le mal, corrompus, et ils veulent anéantir notre nation. Nous ne devons pas l’autoriser.

Nous devons combattre cette corruption qui a pris le dessus et nous battre pour le bien qui semble perdu.

Donnons notre confiance à Dieu, et battons-nous maintenant pour la victoire de Trump, car nous savons tous que ce décompte des voix, c’est de la corruption, comme ils le sont eux-mêmes. Alors ne reculons pas. Menons ce combat comme si c’était notre dernier combat sur terre.

Comme a dit Mohamed Ali, ce n’est pas terminé jusqu’au dernier coup de poing.

Que Dieu vous bénisse

 

***

12 novembre, 02h00 - Ce 11 novembre, 53% des américains approuvent le travail de Donald Trump, d’après l’enquête quotidienne de l’institut Rasmussen. Le tableau complet des résultats depuis le 1er jour de son mandat est consultable sur le lien suivant.

 

Date Index Approuve
fortement
Désapprouve
fortement
Total
Approuve
Total
Désapprouve
11 nov. +4 43% 39% 53% 36%
10 nov. +3 42% 39% 52% 47%
09 nov. +1 40% 39% 52% 47%
06 nov. -3 38% 41% 50% 48%
05 nov. -6 37% 43% 48% 50%
04 nov. -5 38% 43% 49% 50%
03 nov. -4 39% 43% 49% 50%

***

23h00 - L’effondrement journalistique est total quand le journaliste, en plus d’être mauvais, pauvre en style et sans analyse, s’attaque à son propre camp et rejoint l’ennemi. Catherine Nay, qui profiterait avec avantage d’une retraite à la campagne, gratifie les lecteurs conservateurs de Valeur Actuelles d’un édito nul, malhonnête, capitulard voire servile.

 

***

22h00 - Où en est-on du comptage réel ? Si l’on prend en compte les résultats fantasmés des démocrates (et donc des médias), voici la carte que l’on nous offre à voir (Biden 290 - Trump 214) :

 

Mais si l’on enlève les 7 Etats qui ne sont pas encore définitivement comptés, soit parce que le décompte se poursuit encore, soit parce qu’un re-comptage va être opéré, soit encore parce que des poursuites judiciaires sont en cours, alors la carte ressemble plutôt à cela (Trump 229 - Biden 227) :

 

Ce qui peut donc aussi donner ce résultat si les fraudes sont reconnues par les juges qui vont devoir statuer prochainement et que les fameux bulletins "illégaux" cités par Donald Trump sont donc éliminés du décompte (Trump 311 - Biden 227) :

 

Résumé en images pour les anglophones :

***

21h00 - Parmi toutes les histoires de fraude, il y a celle soulevée par Project Veritas (groupe d’activistes plutôt à droite qui ont soulevé beaucoup de lièvres depuis 2010 via des caméras cachées) et qui concerne un employé de la Poste américaine (USPS) qui affirme avoir entendu des supérieurs hiérarchiques parler de l’antidatage de bulletins qu’ils avaient effectué. Il fut immédiatement suspendu de son emploi sans solde :

 

 

C’était sans compter sur l’enregistrement audio de son interrogatoire qui montre la pression qui lui fut mise pour se rétracter. Ce qu’il ne fit pas. Mais la presse déclara tout de même le contraire, dans un énième mensonge.

Cette affaire qui a commencé à faire grand bruit fut retweetée par Donald Trump himself ce mercredi 11 novembre. C’est pourquoi nous la relayons.

Voici le témoignage de l’employé Richard Hopkins qui confirme et maintient son témoignage initial concernant les fraudes électorales (vidéo en anglais) :

 

 

Voici le tweet de Donald Trump suivi de la traduction E&R de l’article du Washington Times cité en référence :

 

Quelques heures après l’annonce par les démocrates de la Chambre qu’un employé de la poste de Pennsylvanie s’était rétracté sur des allégations de falsification de bulletins de vote, le facteur a nié, affirmant qu’il s’en tenait à sa déclaration initiale et qu’il s’était fait "avoir" par les enquêteurs fédéraux.

Richard Hopkins, un facteur d’Erie, en Pennsylvanie, a déclaré dans des vidéos publiées mardi par Project Veritas qu’il n’avait jamais eu l’intention de revenir sur ses allégations de fraude électorale après avoir été interrogé par des enquêteurs du Bureau de l’Inspecteur général des services postaux américains.

"Je suis en train de regarder en ce moment même un article écrit par le Washington Post. Il dit que j’ai fabriqué les allégations de falsification des bulletins de vote", a déclaré M. Hopkins dans une vidéo publiée sur Twitter. "Je suis ici pour dire que je n’ai pas rétracté mes déclarations. Cela n’a pas eu lieu. Ce n’est pas ce qui s’est passé".

Le conseiller juridique en chef du Projet Veritas, Jered Ede, a accusé les enquêteurs d’avoir contraint M. Hopkins à signer une déclaration sous serment rétractant ses affirmations, de ne pas lui avoir donné accès à son avocat et de refuser de lui fournir une copie du document signé.

"Il a été contraint", a déclaré M. Ede au Washington Times. "Ils l’ont forcé à exécuter cette déclaration peu enthousiaste sous serment. Ils l’ont fait pendant un interrogatoire où, une fois de plus, ils lui ont refusé la possibilité d’être représenté par un avocat, alors qu’il leur avait confirmé qu’il en avait un.

À l’insu des enquêteurs fédéraux, M. Hopkins portait un micro lors de l’interview fournie par le projet Veritas, en raison de ses craintes d’être harcelé au travail par des superviseurs ou des responsables syndicaux.

***

20h00 - Quel délice de suivre les soubresauts inquiets de la journaliste ex-macroniste franco-americano-israélienne Laurence Haim. De plus en plus inquiète quant aux recomptages et aux suites judiciaires, elle donne en quelque sorte le pouls d’un système qui transpire désormais à grosses gouttes. Sauf qu’elle, peu fine et peu stratège – ou un poil honnête ? –, elle le dit !

Tout d’abord les sénatoriales. Le parti républicain remporte 50 sièges désormais et 2 sont encore en ballottage et se décideront le 5 janvier. La majorité absolue est presque assurée pour le camp Trump, ce qui empêcherait Biden de gouverner. S’il devenait Président (tweet suivant)...

 

 

Biden président, donc, c’est un fait qui semble s’éloigner doucement dans l’esprit de notre commentatrice. Et nous ne saurions lui donner tort.

 

 

Reconnaissons à Laurence Haim qu’elle, au moins, se trouve sur place et voit visiblement mieux ce qui se trame que tous nos journalistes et éditorialistes coincés confortablement à Paris dans un entre-soi auto-satisfait totalement étranger à la réalité. Pour cette clique, le monde est un spectacle qu’ils fabriquent eux-mêmes. Jusqu’au jour où ils rencontrent le mur du réel.

***

19h00 - Nous arrive de la plateforme lbry.tv le discours entier du président Trump qui avait été censuré par les grandes chaînes américaines le 6 novembre 2020. Il a été traduit en français :

 

 

Mieux, la chaîne dite républicaine Fox News, qui avait clairement lâché Trump le 4 novembre après la proclamation des résultats par le camp Biden et le coup de force démocrate appuyé par la majorité des médias mainstream, vient peut-être de tourner casaque et épaule, pour l’instant, et à travers son journaliste Tucker Carlson, le président en exercice dans son combat pour la justice.

 

***

17h00 - Trump n’est pas encore réélu, mais Biden n’est pas non plus élu. Le fracas de la bataille judiciaire qui agite le Système médiatico-politique américain ne semble pas être venu aux oreilles du site d’information (?) du service public audiovisuel, qui tente toujours le passage en force, malgré les avertissements de Laurence Haïm, pourtant pro-démocrate notoire.

Nous étudierons dans un article à part la faillite totale des médias mainstream français dans cette élection pas comme les autres et qui tient le monde entier en haleine (du coup on parle moins du Covid).

Ne nous privons pas du plaisir de mettre en exergue l’introduction du grand journaliste Zagdoun, qui devient du coup la célébrité du jour. Attention, les complotistes, ça va chauffer !

Que se passe-t-il dans la tête d’un conspirationniste quand la théorie du complot à laquelle il croit se heurte à la réalité ? La victoire de Joe Biden à l’élection présidentielle américaine met à l’épreuve la foi des QAnon.

Pour ces complotistes d’extrême droite, Donald Trump est une figure héroïque, quasi messianique, partie en guerre contre un « État profond », une élite démocrate mondialisée, de mèche avec un réseau pédophile et sataniste, qui gouvernerait les États-Unis, voire le monde, en secret depuis des décennies. Le héros devait révéler cette cabale au grand jour, faire arrêter ses membres. Mais au moment où la prophétie devait enfin se réaliser, sa présidence s’achève par une défaite. Voilà qui jette le trouble dans les esprits.

Nous avons laissé les guillemets à État profond qui bien sûr, n’existe pas. Il n’y a jamais eu de structure de pouvoir parallèle au gouvernement officiel. Trump s’est battu pendant quatre ans contre du vent, comme Don Quichotte. Quant au réseau pédophile sataniste, c’est une invention de A à Z ! D’ailleurs, Epstein n’a jamais existé.

***

16h00 - L’Alaska et ses 3 GE devraient tomber dans l’escarcelle de Trump. Selon les postes avancés sur Tweeter, il en serait de même pour la Caroline du Nord et ses 15 GE. Pour ce qui concerne les sénateurs, c’est presque plié : les républicains ont de grandes chances de conserver la majorité absolue à la Chambre haute.

 

 

Après avoir claironné la victoire de Joe Biden, la chaîne mondialiste CNN rétropédale et publie une nouvelle carte électorale du pays :

 

 

Du côté du comité Trump France, si rien n’est gagné, on savoure l’évolution du score :

 

 

Mais France 24, la chaîne d’information internationale publique en français, rappelle à Donald, malgré son succès en Alaska qui en appelle peut-être d’autres, qu’il ferait bien d’accepter sa défaite :

***

14h00 - Réorganisation générale au sommet du ministère de la Défense américain : la purge se confirme !

***

10h00 - Panique chez les dépouilleurs (démocrates) !

 

 

Et pendant ce temps, en Macronie, on fait comme si de rien n’était. La culture du déni, elle est vraiment dans l’ADN de notre Système médiatico-politique !

 

 

Le journal gratuit 20 Minutes détaille l’entretien entre le président français et le candidat démocrate :

Emmanuel Macron s’est entretenu pour la première fois ce mardi après-midi avec Joe Biden, le président élu américain, avec lequel il espère collaborer sur les grands dossiers internationaux, a annoncé l’Élysée. Parmi les sujets évoqués entre les deux hommes : l’Otan, mais aussi la pandémie et le changement climatique.

Joe Biden a fait part de sa volonté de « redynamiser les relations bilatérales et transatlantiques, notamment à travers l’Otan et l’Union européenne », souvent malmenées par Donald Trump. Lors de leur premier échange téléphonique, les deux hommes ont évoqué leur future coopération sur la lutte contre la pandémie et « la menace du changement climatique », ainsi que sur « la sécurité et le développement en Afrique », selon un communiqué publié par l’équipe de transition du démocrate.

C’est la menace du retour de l’atlantisme, qui signifie la totale perte de souveraineté de la France. Et du même coup du peuple américain, qui ne pense pas forcément comme le Pentagone, ce faiseur de guerres.

***

08h30 - Nouvelle déconvenue pour les démocrates qui espéraient remporter le Sénat, qui compte 100 membres (2 par État élus pour 6 ans, d’où les élections à mi-parcours par rapport à la présidentielle qui a lieu elle tous les 4 ans) : le sénateur républicain Thom Tillis a conservé son siège en Caroline du Nord et porte le score pour le camp Trump à 49 contre 48. Les trois autres sièges à pourvoir sont ceux de l’Alaska (1) et de Géorgie (2), l’État (conservateur) dont Trump conteste le comptage dans l’élection pour le président.

France Info rappelle l’importance de la chambre haute :

Il faudra alors que les démocrates remportent ces deux derniers sièges pour rattraper les républicains. Ce serait alors la voix de la future vice-présidente Kamala Harris qui départagerait les votes en cas d’égalité 50-50. Or aucune loi ne peut être adoptée sans la chambre haute, qui a aussi le pouvoir d’approuver les nominations présidentielles : ses ministres, ses ambassadeurs, et les juges, notamment à la Cour suprême.

***

06h30 - L’ancien maire de New York et avocat de Donald Trump, Rudy Giuliani s’exprime sur les preuves et les déclarations sous serment (affidavits).

Aujourd’hui, la campagne de Donald Trump a intenté un procès pour invalider des centaines de milliers de bulletins de vote frauduleux dans le district ouest du Michigan. D’abord la Pennsylvanie, puis ensuite le Michigan ira à Trump. Les déclarations sous serment seront publiées demain. Vous serez sous le choc.

 

***

05h30 - Toujours dans la même émission de Sean Hannity, celui-ci fait un long récit de l’ensemble des fraudes recensées puis expose les implications profondes concernant la solidité du système démocratique américain (vidéo en anglais).

 

***

05h00 - Dans l’émission dont parlait Donald Trump dans son précédent tweet, Kayleigh McEnany, porte-parole nationale de la campagne de réélection de Donald Trump, a passé en revue les preuves choquantes des irrégularités électorales. Ces preuves sont consignées dans un dossier de 234 pages de déclarations sous serment et signées qu’elle dévoile aux téléspectateurs (vidéo en anglais).

 

***

02h30 - Les médias américains et les démocrates sentiraient-ils le vent tourner ? C’est ce qu’indique à l’instant avec force inquiétude la journaliste franco-américano-israélienne Laurence Haïm, qui avait rejoint l’équipe d’Emmanuel Macron en 2017, et qui est actuellement consultante pour la chaine LCI à Washington.

 

***

02h00 - Donald Trump fait monter le suspense.

"Peu importe l’État dans lequel vous vous trouvez, ce système de vote informatisé est largement ouvert à la fraude et à l’intrusion" @LouDobbs. C’est vrai, et attendez de voir ce qu’il va se passer !

 

***

11 novembre, 00h30 - Donald Trump annonce que la corruption autour des bulletins sera mise au jour ce soir à 21h (3h du matin, heure de Paris) dans l’émission de Sean Hannity sur FoxNews.

 

***

23h30 - Pennsylvanie. Jérome M. Marcus, avocat en droit privé à Philadelphie : « j’étais à Philadelphie pour assister à des fraudes. Voici comment ça s’est passé ».

Une traduction E&R de l’article de The Federalist relayé à 1h du matin, heure de Paris, par Donald Trump.

Le problème était la demande du président Trump de modifier la façon dont les bulletins de vote par correspondance de la Pennsylvanie sont examinés au Centre des congrès de Philadelphie.

Les médias traditionnels mentent lorsqu’ils prétendent que toutes les allégations de fraude électorale du président Trump sont sans fondement. Je le sais, car j’ai plaidé une affaire au nom du président devant la cour fédérale de Philadelphie.

Il s’agissait de la demande du président Trump d’obtenir une ordonnance modifiant la manière dont les bulletins de vote par correspondance de Pennsylvanie sont examinés au Centre des congrès de Philadelphie. CNN et d’autres prétendent qu’il a "perdu". C’est faux : il a gagné. Comme j’ai présenté cet argument au nom de la campagne du président, je peux vous dire ce qui s’est réellement passé.

Le président Trump est allé au tribunal à propos de deux problèmes : premièrement, seule une poignée d’observateurs républicains – bien moins que les démocrates n’en avaient – ont été admis dans la salle du Centre de convention de Philadelphie où des inspections étaient menées. Deuxièmement, les quelques personnes qui ont pu entrer n’ont pas été autorisées à s’approcher suffisamment pour voir ce qu’il se passait réellement. Les questions les plus importantes à se poser sont les suivantes : Pourquoi toutes ces cachotteries ? Qu’est-ce qui est caché ?

Sur le site de comptage du Centre des congrès, j’ai personnellement observé des dizaines de volontaires de la campagne Trump se faire interdire l’accès à la salle de comptage alors qu’ils étaient correctement enregistrés en tant qu’observateurs. C’est pourquoi j’ai demandé à Pam Bondi et à Corey Lewandowski, qui étaient sur place, d’autoriser le dépôt d’une requête pour qu’un tribunal fédéral ordonne au bureau des élections de mettre fin à ces absurdités.

Plus de dissimulation encore : malgré une ordonnance contraignante de la Cour du Commonwealth de l’État, la poignée d’observateurs républicains qui pouvaient entrer dans la salle n’étaient pas autorisés à monter jusqu’à la barrière placée à six pieds (environ 2 mètres – NDT) des tables les plus proches où le travail était effectué. Ainsi, même s’ils se trouvaient dans la pièce où se déroulait le travail, ils n’avaient aucun moyen de savoir ce qu’il se passait. S’il n’y a pas de fraude, pourquoi la Commission électorale contrôlée par les démocrates ne veut-elle pas laisser les gens s’approcher suffisamment pour voir ce que font ses membres ?

Donc, sur un ordinateur portable emprunté vers 14 heures le jour des élections, j’ai tapé un très court document pour engager un procès fédéral et demander que le tribunal fédéral intervienne pour interdire ces pratiques déloyales. Vers 16h30, son dépôt a été autorisé par la campagne.

Le juge fédéral a ordonné une audience qui a commencé à 17h30 et qui a duré deux heures. En audience publique, le juge a contraint le comité électoral à accepter que les républicains puissent avoir jusqu’à 60 représentants dans la salle. C’est une énorme victoire, non seulement pour les républicains, mais aussi pour tous ceux qui veulent vraiment avoir un décompte des votes digne de foi.

Il a également contraint le conseil à accepter que tous les observateurs, démocrates ou républicains, puissent atteindre la barrière des deux mètres. Alors que les démocrates prétendaient que, bien sûr, ils avaient toujours laissé les gens entrer et les laisser monter jusqu’à la barrière, j’avais une longue liste de témoins qui étaient prêts à témoigner que c’était faux. Le juge a dit aux défendeurs, en insistant, que s’ils ne faisaient pas ce qu’ils avaient promis dans sa salle d’audience, il avait toute autorité pour leur faire tenir leur parole.

Après avoir obtenu cet accord de la commission électorale, le tribunal a rejeté la requête du président en vue d’un redressement judiciaire comme étant sans objet. C’est ce que font souvent les tribunaux lorsqu’ils obtiennent un accord entre les parties. Cela signifie que le tribunal n’a pas à rendre une ordonnance, qui serait susceptible d’appel, accordant ou rejetant la requête, et cela signifie que le tribunal n’a pas à rédiger un avis. Ce qui ne veut pas dire que la demande faite au nom du président Trump pour mettre fin à la fraude électorale était sans objet, malgré la fausse image que CNN et d’autres grands médias lui ont donnée. Tout cela a été une victoire pour le président Trump et pour tous ceux qui croient en un gouvernement ouvert.

Je ne suis plus surpris par les nouvelles anti-Trump provenant de CNN. Mais je ne peux pas comprendre pourquoi les dirigeants républicains de Pennsylvanie ont laissé entendre qu’il n’y avait aucune raison de penser que quelque chose de mal ou de frauduleux se passait dans le comptage des votes de la Pennsylvanie.

Si cela était vrai, pourquoi le gouvernement de la ville contrôlée par les démocrates travaillerait-il si dur pour empêcher les républicains d’entrer dans la pièce où ces votes sont comptés ? Dans un monde où chaque voiture qui circule dans la rue est filmée, pourquoi tout ce comptage n’est-il pas effectué en plein jour, sous surveillance ? Qu’ont-ils à cacher ?

D’autres personnes ont rassemblé des preuves substantielles qu’il y a effectivement des choses à cacher, notamment cette vidéo montrant, entre autres, des images de fonctionnaires portant des masques de Joe Biden qui remplissent des blancs lors de votes par correspondance déjà soumis. L’audition à laquelle j’ai assisté n’avait pas pour objet cela, mais elle portait sur les conditions qui rendent cela possible.

Quiconque souhaite un décompte légitime des votes ne doit pas s’efforcer d’empêcher les observateurs d’entrer dans la salle où les votes sont comptés. Pourtant, pour une raison quelconque, la ville de Philadelphie a envoyé trois avocats, dont l’avocat de la ville lui-même, à une audience pour essayer de persuader un juge fédéral qu’il ne devrait même pas prendre la peine de répondre à la demande du président Trump.

Heureusement, le juge fédéral n’a pas suivi ce conseil, et il a forcé le comité électoral à faire ce qu’il fallait. J’appelle cela une victoire solide pour tout le monde, sauf pour ceux qui ont quelque chose à cacher. Pour une raison quelconque, toute cette dissimulation était le fait des démocrates, pour Biden.

***

23h00 - Michigan. L’équipe de campagne de réélection du président Trump est en train d’intenter un procès devant la cour fédérale pour tenter d’empêcher le Michigan de certifier ses résultats jusqu’à ce que le processus de vote puisse être revu.

Une traduction E&R de l’article du Washington Examiner relayé à 1h du matin, heure de Paris, par Donald Trump.

L’action en justice doit être déposée mardi soir, exactement une semaine après l’élection, devant le tribunal de district américain pour le district ouest du Michigan. La poursuite allègue plusieurs cas de malversations électorales et comprend des déclarations sous serment, a déclaré Matt Morgan, avocat général de la campagne de réélection de Trump, lors d’une conférence de presse.

L’équipe de M. Trump a déposé une plainte devant le tribunal du Michigan le lendemain de l’élection, alléguant qu’un plaignant qui était « accrédité et formé en tant que challenger électoral » a été « exclu du comité de dépouillement pendant le processus de révision des bulletins de vote en l’absence de l’électeur ». Un juge du Michigan s’est prononcé contre cette action en justice jeudi.

Cette nouvelle action en justice fédérale prétend que de nombreux observateurs républicains du comté de Wayne, où se trouve Detroit, ont été exclus du processus de comptage des votes par correspondance et ont été intimidés et harcelés. Elle cherche également à obtenir des informations sur la technologie de vote utilisée dans tout l’État après qu’un défaut de mise à jour du logiciel dans le comté d’Antrim a causé un pépin, entraînant le comptage incorrect de 6.000 votes pour Joe Biden plutôt que pour Trump.

« La plainte est basée sur des déclarations sous serment montrant que les candidats désignés n’ont pas pu être observateurs de manière normale comme l’exige la loi », a déclaré M. Morgan, ajoutant qu’il y avait des témoignages de « langage désobligeant » utilisé contre les républicains au Centre TCF, le lieu central où les bulletins de vote par correspondance du comté de Wayne ont été comptabilisés.

Morgan a déclaré que la plainte demandera au secrétaire d’État du Michigan de ne pas certifier les résultats des élections « jusqu’à ce que nous ayons pu vérifier et confirmer que les bulletins de vote qui ont été déposés ont été comptabilisés conformément à la loi ».

Thor Hearne, avocat de la campagne Trump, a déclaré lors de l’appel que les irrégularités dans le comté de Wayne étaient « omniprésentes ».

Le président présumé élu Joe Biden a devancé Trump dans le Michigan de 146.123 voix, avec 50,6 % des voix, contre 47,9 % pour Trump. Lorsqu’on lui a demandé lors de la conférence de presse si la campagne pense de manière réaliste que Trump pourrait remporter une victoire dans cet État avec une telle marge, le directeur de la communication de la campagne de Trump, Tim Murtaugh, n’a pas exactement répondu.

« Chaque fois que nous intentons un procès, nous le faisons parce que nous pensons que l’action en justice est justifiée et parce que nous pensons que nous allons gagner », a déclaré M. Murtaugh. « Et chaque dépôt de plainte et chaque action que nous entreprenons nous rapproche de l’objectif de voir le président réélu... Nous pensons que le président Trump sera finalement déclaré vainqueur de cette élection ».

Les autorités électorales du Michigan ont nié toute fraude lors de l’élection, et le secrétaire d’État du Michigan, Jocelyn Benson, a fait l’éloge du processus de vote de cette année.

« Au Michigan, je suis fière de confirmer que tous les bulletins de vote valides, et seulement les bulletins valides, ont été comptés, de manière sûre et précise, et que nos résultats reflètent la volonté du peuple », a déclaré Mme Benson.

***

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  • #2598490

    Voici la carte électorale américaine, telle qu’elle pourrait se présenter une fois annulés les votes frauduleux (publiée par Radio-Québec et Cossette) :
    https://pbs.twimg.com/media/EnCQ02R...

    Biden 128, Trump 410. C’est tout

    Oui, je sais, pour le moment c’est juste un rêve. Mais on a le droit de rêver non ?

     

    Répondre à ce message

    • #2598709

      Je précise : c’est la chaîne OAN (que Trump encourage ses suiveurs à regarder, après la trahison de Fox News) qui publie cette carte électorale, en précisant, "après prise en compte des données de SCYTL... Mais c’est beau, le rouge, parfois... vous trouvez pas ?

       
  • #2598524

    Le petit tour du monde de Pompeo est assez intriguant, notamment sa petite visite à Macron(laquais de service). Quelqu’un peut me dire ce qu’il en pense ? Sinon pour Trump il faut patienter vous vous doutez bien qu’il ne va pas dévoiler ses cartes sur Twitter, il se peut même qu’il fasse des annonces uniquement pour tromper l’opposition et tous les agents du mossad qui le piste à la minute près sur les réseau sociaux.

     

    Répondre à ce message

  • #2598527

    Bonsoir E&R..... Pas de news depuis 4h du mat la veille soit 38h sans rien !!!!!
    Je suis anti Tweeter. FB et Google.... Ni TV... Il ne me reste que vos infos et analyses (de qualité) pour rester au jus.
    Merci pour votre taf et j’espère en votre célérité.

     

    Répondre à ce message

    • #2598608

      Tu as 2 excellents articles ci dessous. Sinon il y a le compte twitter de Comité Trump France ( pas besoin de compte et d’abonnement).

      Sidney Powell : "Joe Biden devrait concéder tout de suite l’élection avant de se retrouver derrière les barreaux."

      Trump "Le Grand État du Michigan, avec des votes bien supérieurs au nombre de personnes qui ont voté, ne peut certifier l’élection. Les démocrates ont triché énormément et se sont fait prendre. Une victoire républicaine !"

      New York times :Le président Trump a reçu 10,1 millions de votes de plus aux États-Unis qu’il y a quatre ans, y compris dans des régions à majorité d’électeurs hispaniques.

      https://www.egaliteetreconciliation...
      https://www.egaliteetreconciliation...

       
    • #2598657
      Le Novembre 2020 à 20:54 par rectificateur
      L’élection américaine en direct (partie 3) : la bataille judiciaire

      @ Anonyme :



      New York times :Le président Trump a reçu 10,1 millions de votes de plus aux États-Unis qu’il y a quatre ans, y compris dans des régions à majorité d’électeurs hispaniques.



      Il y a énormément d’hispaniques en Californie (plus de la moitié des "Blancs"), du coup, le passage en rouge de cet État qu’on a vu sur la carte d’AON ne serait peut-être pas si absurde que ça. On a un peu tendance à oublier que la Californie ce n’est pas que les hipsters de la Silicon Valley...

      Je vous remets pour le plaisir une petite comparaison de l’enthousiasme pro-Trump et pro-Biden chez les hispaniques :

      https://www.youtube.com/watch?v=XSH...

       
    • #2598658

      #anonyme.....

      Merki

       
  • #2598674

    Je viens de survoler des articles de la presse mainstream...Hallucinant !
    Deux mondes totalement étrangers se font face.

    Biden..c’est la transition et des nominations comme si c’était tout ce qu’il y a de plus normal puisqu’il est toujours surnommé "président élu".
    BFMTV indique qu’il a reçu le briefing défense des agences gouvernementales...pour apprendre plus loin,qu’en fait,c’est de la part d’agences non-gouvernementales... !!
    Mensonges passagers. On les compte plus. Biden a causé à Bibi et Modi...c’est tout pour aujourd’hui.

    Trump ? Un vilain garçon qui vit dans le déni. Refuse la défaite et n’a pas de preuves de ses accusations de fraude. Parait qu’il a faillit bombarder l’Iran cette semaine. Ses conseillers l’en ont empêchés de justesse. Un fou vous dis-je.. !!

    Deux mondes et un seul spectacle. Deux partitions pour un orchestre. La désinformation dépasse toutes décences. Un marécage covid qui attend le drainage complet. Rien n’existe que la victoire démocrate pour ceux qui ne le saurait pas. Répéter 10000 fois et ça peut valoir comme une vérité mais ce ne sera pas la vérité.

     

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  • #2598691

    L’Associated Press a rapporté que le professeur Jeffrey Sonnenfeld de Yale Management ( connu pour être un formateur des traites de l etat profond) a organisé une réunion secrète par vidéoconférence le 6 novembre avec plus de deux douzaines de PDG de grandes entreprises américaines pour discuter de ce qu’il faut faire si Trump refuse de quitter ses fonctions ou prend d’autres mesures pour rester au pouvoir au-delà de la prévue le 20 janvier inauguration de Joe Biden. Sonnenfeld a révélé que les dirigeants de Disney, la société d’investissement Blackstone, Johnson & Johnson, Walmart, Apple, Starbucks et General Electric ont assisté à la réunion secrète. Ils affirment tous qu’il n’y avait aucune preuve de fraude généralisée lors des élections de 2020.

    Bref que des entreprises de propagande de l état profond qui risquent gros très gros

     

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  • #2598705
    Le 18 novembre 2020 à 21:53 par labelette
    L’élection américaine en direct (partie 3) : la bataille judiciaire

    Salut ER
    Plus aucune info sur cet article depuis 1 bon jour, alors que vous l’alimentiez plusieurs fois par jour depuis le 3 novembre.

    Que pensez vous de l’accusation de la célèbre procureur fédérale Sidney Powell "le logiciel Dominion a été utilisé pour truquer des élections à l’étranger notamment au Vénézuela au profit d’Hugo Chavez" ?
    Merci !

     

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  • #2598715

    En Géorgie à Dekalb, 9000 vote attribués en excédent "par erreur" à Biden.

    Suivez sur brietbart.

     

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  • #2598735

    Pour réveiller les morts il faudrait leur faire écouter cette remarquable conférence de Youssef HINDI : https://www.youtube.com/watch?v=N_1...
    Hélas, elle s’adresse seulement à quelques intellectuels à l’esprit ouvert et déjà alertés par certaines lectures. C’est à dire peu de monde.

     

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  • #2598982

    Les menaces de guerre contre l’Iran et de bombardement de sites nucléaires iraniens n’auraient-ils pas un rapport avec la tournée en Europe et dans le golfe du gros Pompéo ? Comme avant la guerre contre l’Irak quand l’ignoble Baker faisait sa tournée pour Bush ? ... très inquiétant tout ça...

     

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  • #2598996

    la chaîne NewsMax pro-Trump est disponible en live et replay, avec sous-titres français en option..
    https://www.youtube.com/watch?v=9py...

     

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