Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

La Commune de Paris (1871) partie XII

"Les dossiers de l’Histoire" de Henri Guillemin

Pour ce douzième épisode des Dossiers de l’Histoire consacrés à la Commune, Henri Guillemin dresse une sorte de bilan de cette « épouvantable tragédie », comme il qualifie les événements du printemps 1971.

Qui sont les communards ?

Pourquoi ont-ils suscité tant de haine ?

Quelle place donner à la Commune dans l’histoire du XIXe siècle ?

Partie 12 : ’’Le fond des choses" :

(Demain, partie 13 : ’’Lendemains" )

 
 






Alerter

10 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

  • #118132
    Le 15 mars 2012 à 16:52 par Marion
    La Commune de Paris (1871) partie XII

    « On a bien fusillé Varlin, Flourens, Duval, Millière,
    Ferré, Rigault, Tony Moilin, Gavé le cimetière.
    On croyait lui couper les bras Et lui vider l’aorte.

    Tout ça n’empêche pas Nicolas
    Que la Commune n’est pas morte,
    Tout ça n’empêche pas Nicolas
    Que la Commune n’est pas morte ! »
    Eugène Potier

     

    Répondre à ce message

  • #118409
    Le 16 mars 2012 à 01:33 par Bérenger
    La Commune de Paris (1871) partie XII

    Ce n’est pas vraiment en lien avec la commune, mais je ne résiste pas à vous donner cette citation (orale) de Guillemin sur Napoléon, dans le docu que je viens de terminer :




    Quand on essaye de trouver chez lui quelque chose qui marquerait de la hauteur,
    quelque chose qui lui donnerait une autre dimension, on ne le trouve pas.

    Comparez le donc à Hitler par exemple, qui est un autre ravageur. Hitler, c’était
    un homme agile qui avait le contact de la foule. Bonaparte déteste la foule, il a peur.
    Jamais vous ne trouverez chez Bonaparte quelque chose qui ressemble à cette espèce de
    souffle tellurique et démoniaque qui semblait soulever de temps en temps le dictateur
    nazi.

    Quand on le voit de près, c’est un petit bourgeois, usant de très grosses ficelles,
    cyniquement, et servis par une chance admirable. De même, voyez vous, que son aigle qui
    était un vautours, lui même personnellement me fait beaucoup moins penser à un lion
    qu’à un petit chacal affublé d’une crinière.

     

    Répondre à ce message

  • #118439
    Le 16 mars 2012 à 06:46 par Vautrin
    La Commune de Paris (1871) partie XII

    Bonjour à tous,
    De Gaulle a dit que nous étions des vaux !? Mais après tout qu’a t’il fait de mal ce vau si ce n’est boire le lait de la vache ? Ou est donc passé ce bon vieux coq sportif ?.. Comprenez une chose, frères et soeurs, pères et mères, enfants de la République Française, la libération de notre peuple ce fera uniquement par le peuple. Non pas par la politique, qu’elle soit de gauche ou de droite. Regardez, et vous verrez...

     

    Répondre à ce message

  • #118465
    Le 16 mars 2012 à 09:34 par borowic
    La Commune de Paris (1871) partie XII

    Clemenceau c est Hollande
    Thiers c est Sarko
    Marine c est Louise Michel
    Bismarck c est Christine Lagarde ou Barroso
    Napoleon 3 c’est DSK
    ....on continue

     

    Répondre à ce message

  • #118499
    Le 16 mars 2012 à 11:20 par borowic
    La Commune de Paris (1871) partie XII

    Louise Michel est une des grandes figures de la commune. Incorruptible inflexible infatigable elle incarnera jusqu a sa mort l esprit revolutoinnaire de la fin du XIX siecle.

    Le Prix Louise-Michel est attribué tous les ans à « une personnalité de haut rang remarquée pour ses vertus de dialogue, de démocratie, de développement et de paix ».

    Ce prix cree en 1982 par le Centre des études politiques et de sociétés de Paris (CEPSP)
    a deja consacre : Bouteflika Ben Ali Moubarak Felipe Gonzales Chirac

    cherchez l erreur ?

    Il y a pire je crois que l’oubli, c est la manipulation de la mémoire a des fins politiques

    http://www.lemague.net/dyn/spip.php...

     

    Répondre à ce message

    • #118548
      Le Mars 2012 à 13:36 par Marion Sigaut
      La Commune de Paris (1871) partie XII

      Louise Michel avait en plus de ça un coeur d’or, une sensibilité à fleur de peau, une bonté insondable, une générosité à toute épreuve.
      Elle fut la bonté faite femme, comme Monsieur Vincent fut en son temps la bonté personifiée.

       
  • #118882
    Le 16 mars 2012 à 23:53 par anonyme
    La Commune de Paris (1871) partie XII

    à 3 minutes, la citation du Cardinal de Retz :
    "Un système politique est condamné dès lors qu’on met à nu les ressorts secrets qui l"animent"
    oui, c’est comme l’Union "Européenne" !

     

    Répondre à ce message

  • #118935
    Le 17 mars 2012 à 03:42 par borowic
    La Commune de Paris (1871) partie XII

    @Marion Sigaut

    je crois qu’elle fut élevée dans un esprit d’ouverture et pas de confrontation
    je dirais meme qu il y a quelque chose de christique chez cette femme

     

    Répondre à ce message

  • #120536
    Le 20 mars 2012 à 13:45 par kirikoo
    La Commune de Paris (1871) partie XII

    Tiens, cette analyse brillante me fait penser à une phrase de Celine.

    L’âme des bourgeois : une trouille !, l’âme des prolos, une envie !. Enfin, une vague envie si l’on en croit ce récit.

    Ou encore : tous les bourgeois ont quelque chose de Landru (comprenne qui peut, pas si con...)

     

    Répondre à ce message